En réalité, par l'essentiel et primaire effort de ne pas s'illusionner, nous savons déjà ce que notre regard nous avait déjà appris, avant toute découverte des objectivations (ne pas y manquer The Dimming) de divers pathogènes mesurés dans ces nappes et panaches de gaz laissés dans les airs, terres et eaux qu'ils contaminent : une culture critique toute rudimentaire est l'intime assurance à la réalisation nette — et que nous ne pouvons honnêtement écarter — que les autorités ne déversent pas sur nous du Channel 5 ou de la vitamine D en goutte. Le constat de notre empoisonnement, celui d'une programmatique de destruction du vivant, est irréfutable, comme est irréfragable, entre autres, le plan Kalergi, pour un gouvernement mondial devant s'accomplir par une minorité d'élite, mixte entre les castes régnantes des élites juives et les reliquats d'aristocraties européennes chrétiennes, dominant une masse informe d'autant plus manipulable et malléable qu'elle serait composée d'un aréopage d'ilotes métissés dans tous sens, sans racines, sans histoire, sans identité et mémoire, et dont nous avons tous les jours les manifestes, tristes et macabres réalisations exposées devant les yeux sur des paysages entiers. Ce plan n'en est plus depuis longtemps au stade de « théorie » et ne relève que très peu du « complot », puisque ses résultats que nous ne pouvons pas ne pas voir sans nous mentir sont également l'objet d'une lourde et irrespirable publicité, (anti)raciste, immigrationniste. Et si nous savons qu'une statue de la Bête de l'Apocalypse trône au siège new-yorkais de l'ONU, nous méconnaissons plus souvent qu'au moins une rue de la ville de Luxembourg et une voie du quartier de Chaillot du 16e arrondissement parisien portent le nom complet de Richard Coudenhove-Kalergi... Les autorités ne peuvent opposer, comme à n’importe quel de leurs forfaits, aucune réponse à toute question bien posée, mais seulement, avant les coups, le silence, le dénigrement, l'improbité et la censure. Et ce seul fait que les politiques appliquées pour nous et sans nous soient niées alors que leur évidence répond des plus sensibles réalités appelle notre courroux...