L’unique espèce vivante sur la Terre qui n’a jamais été elle-même
Partie 6 :
le
sens fondamental de l’empathie, une porte ouvrant sur l’Univers, volontairement ignorée et censurée depuis environ dix millénaires.

Michel Dakar à Villequier en France le 8
janvier 2023

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1 - Le
sens fondamental de l’empathie, une porte ouvrant sur l’Univers, volontairement ignorée et censurée depuis environ dix millénaires


Ce qu’on nomme « empathie » est en réalité le ressenti du Monde, et non pas seulement la capacité à ressentir ce qu’un autre que soi ressent, cela va très loin au-delà.

Ce sens de l’empathie est ce qui est le plus fondamental dans la vie et les êtres, ce sens est présent dès qu’il y a existence, que cela soit dans ce qu’on nomme vie organique ou la matière, qui est une forme de la vie, selon le mode de pensée occidental scientifique, qui est infiniment réducteur, le sens de l’empathie existe chez les atomes et diverses corpuscules que « découvre » la physique dite fondamentale occidentale.

En réalité, le sens de l’empathie est ce que recherchent les physiciens fondamentaux d’obédience psychique occidentaux, dans ce qu’ils dénomment la force suprême, ultime, unificatrice de toutes les autres forces, qu’ils dénomment par exemple « interactions fortes et faibles », force électromagnétique, gravitationnelle, etc …

Ceux qui se sont approchés le plus de la conscience de l’empathie sont les taoïstes originels, dans la matrice profonde, la femelle silencieuse, le néant créateur, le non-agir, etc …

De façon concomitante, les premiers bouddhistes se sont aussi approchés de cette conscience, qui a pris tout son épanouissement avec l’empereur chinois Liang Wudi, vers l’an 540, lequel avait si développé le sens de l’empathie, qu’il ne supportait plus le système sur lequel est fondé la vie, qu’on peut résumer par « la vie de nourrit de la vie », au point où il restreignait sa nourriture car il avait conscience que le moindre grain de riz qu’il ingérait était vie et ressenti. On raconte qu’il serait mort peu à peu d’épuisement.

Liang Wudi est l’unique homme de pouvoir de toute l’histoire humaine digne de son rôle de guide de la population. Il était lui-même ce que les premiers taoïstes dénommaient la femelle silencieuse, la vallée, le creux.

Le sens de l’empathie développé fait abandonner comme des îles lointaines qui peu à peu s’effacent jusqu’à disparaître de l’horizon, et même du souvenir, l’intelligence, la science, la technique, le sens de l’empathie est la porte qui ouvre sur la totalité et le pouvoir réel infini, sauf que ceux qui ouvrent cette porte se sont détachés du pouvoir, de la possession, de la domination, de la propriété, les anciens anarchistes et communistes originels constituaient la branche européenne occidentale de l’humanité qui avait approché de l’épanouissement du sens de l’empathie.

L’état actuel de la population humaine commune, incluant ceux qui dominent et ceux qui sont dominés, se caractérise par l’atrophie voulue et qui se développe depuis environ dix millénaires, du sens de l’empathie, au point où ce sens vital semble bientôt sur le point de disparaître, les occidentaux étant à la pointe de la destruction du sens de l’empathie.

Les sites internet dits « gore », qui sont le produit des officines secrètes d’opérations psychologiques sur la masse occidentale, visent à la destruction totale du sens de l’empathie, en premier au sein de la population occidentale, et secondairement au sein de l’humanité toute entière.

L’humanité telle que la voit les penseurs du « nouvel ordre mondial », de Davos, dont le juif israélien homosexuel Harari vivant en kibboutz, et le juif français néoconservateur Attali, est une forme de non-vie privée du sens de l’empathie, ce qui n’existe pas jusqu’à présent, n’a jamais existé, ne peut exister, et se situe hors du concept d’existence. Il s’agit donc d’évidence d’un phénomène d’enfermement psychique, de rupture totale d’avec l’Univers, ce que les anciens penseurs grecs appelaient solipsisme, typique d’une mentalité collective de ghetto, d’une sorte d’enkystement mental tendant à prendre forme dans la matière et à transformer l’environnement physique sur le modèle d’une représentation mentale devenant tellement atrophiée que l’Univers devient comme un noyau desséché se recroquevillant à l’infini sur lui-même jusqu’à disparaître.

Un site gore occidental de « psyops » de masse se distingue particulièrement, lequel est : https://www.livegore.com/



2 - Le problème crucial extrêmement douloureux qu’ont à affronter les quelques rares possédant encore un sens développé de l’empathie en cette période d’exacerbation de la destruction du sens de l’empathie, douleur qui n’a fait que croître depuis environ dix millénaires

Le sens de l’empathie fait ressentir le fond mental omniprésent, le bruit de fond social, qui imprègne la société humaine depuis qu’elle s’est organisée en classes hiérarchisées il y a environ dix millénaires, en premier au Proche-Orient, à Sumer et en Mésopotamie, dans les cités-états, devenant le modèle qui s’est généralisé sur toute la surface du globe terrestre, et auquel à présent nul n’échappe, les seules tentatives pour s’extraire de ce modèle, taoïste, bouddhiste, anarchiste et communiste, ayant échouées, le judaïsme lui étant à l’opposé la forme parfaite inégalée et indépassable de ce modèle de classes hiérarchisées.

Ce bruit de fond qu’ont à affronter ceux qui ont la porte ouverte de l’empathie, les « vrais vivants », est la terreur, l’onde de terreur omniprésente, qui traverse tous les êtres, toutes les structures, l’onde de terreur étant la musique qui baigne en permanence et partout où que l’on soit, l’être humain depuis environ dix millénaires.

Tout le psychisme humain s’est depuis fondé sur le refus de ressentir cette onde, cette vibration de terreur, donc sur le déni du réel, car cette onde de terreur est devenue comme l’assise même de tout ce qui existe dans l’Univers mental humain.

La destruction du sens de l’empathie est le stade ultime auquel est parvenu l’humanité pour ne pas à avoir à ressentir l’onde de terreur qui imprègne son existence de la naissance à la mort.