L’unique
espèce vivante sur la Terre qui n’a jamais été
elle-même
Partie 8
La
vraie
vie et la fausse vie
Michel Dakar à Villequier en
France, le 12
février
2023
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La
vraie vie et la fausse vie
Le taoïsme et le
bouddhisme, ainsi que les voie politiques dénommées anarchisme
et communisme, ne font que montrer ce qu’est
la
vraie vie.
La vraie vie est exprimée par 26
vignettes
placées
après
cette introduction, et la fausse vie par la
vignette
numéro 17.
La fausse vie qui est illustrée par la
vignette 17 exprime le principe du pouvoir, le contrôle sur la
vie et les êtres.
Chaque vignette est suivie d’un
commentaire.
Cette page est un cours d’éducation à
la vraie vie.
1
Petit
troupeau de deux chèvres et de trois boucs, formant une
communauté, vivant en harmonie, à la fois des individus
autonomes, et se fondant dans le groupe, où ils trouvent force,
échange, chaleur et amour. Ils n’ont pas de chef, n’obéissent
pas, et pourtant ils se déplacent ensemble, dorment ensemble.
Ceux qui veulent s’isoler le font. Ils illustrent ce que
pourrait être la vie en société humaine si cette espèce était
équilibrée. Eux forment une espèce qui est capable de durer,
ce qui n’est pas le cas de l’espèce humaine dans sa état
mental actuel. Ils sont parfaitement inscrits dans leur
environnement qu’ils enrichissent par leur présence et dont
ils tirent leur subsistance.
Un animal cela ne se vend
pas
Le bouc à l’extrême gauche, noir et blanc a
été donné. Son ami humain avait passé une annonce pour le
donner car il ne pouvait plus matériellement le garder. Il me
déclara qu’un animal cela ne se vendait pas. Aussi reçut-il
un grand nombre de visites de mangeur de viande qui voyait là un
repas gratuit. Il nous reconnu immédiatement comme ayant le
respect des animaux, et nous donna à nous ce bouc. Nous lui
donnâmes un pot de notre miel en remerciement. Le bouc
immédiatement dès que je l’approcha, fit mine de me charger,
mais très lentement, il se dressa sur ses pattes arrières, et
retomba très doucement sur le sol, sans me toucher. J’appuyais
doucement ma main sur son front entre ses cornes. Voilà comment
se passa sa venu ici et sa séparation avec son ami humain bien
aimé. La brebis qui fut sa compagne durant des années tenta de
poursuivre le camion qui l’emmenait.
Dans ma vie, ce
sont les gens les plus simples, sans diplôme, sans
reconnaissance sociale, sans prestige, qui m’ont appris quelque
chose. Je n’ai jamais entendu ailleurs qu’un animal cela ne
se vend pas. Un autre humain de rien m’a déclaré que les
animaux pensait, il a déclaré aussi à propos de la disparition
des arbres en cours, qu’une forêt sans arbres, c’était
impensable.
Dans le domaine politique aussi, ce sont
les gens de rien qui m’ont aussi appris, jamais les pontes.
Je
pense à celui qui m’a dit à propos de mon affiliation un
temps à la ligue des droits de l’homme, que si j’étais à
cette organisation c’est qu’ javais l’esprit confus, ou à
cet autre qui m’a fait comprendre que tout était mécanique et
prévisible (maintenant tu vas voir comment cela va se passer),
ou à cet autre qui vivait sans filet pour se rattraper, qu’il
fallait être insaisissable.
Il y eut aussi ma
formation politique par les graffitis, à Paris, dans le 18ème
arrondissement, infiniment mieux que Science Po, en trois écrits
muraux :
1 – WC de la mairie du 18ème :
« Classe politique classe parasite »
2 – Rue
Marx Dormoy, sur un mur pignon en hauteur, à environ 10 mètres
de haut, au-dessus d’une affiche : « Plus le singe
monte haut dans l’arbre, plus on voit son cul. Et juste
en-dessous : proverbe africain ».
3 – Rue Marx
Dormoy, intersection avec une impasse donnant sur les voies
ferrées aboutissant gare du nord, sous la plaque identifiant
l’impasse : « Impasse du curé », écrit à la
peinture noire : « La religion est une
impasse ».
Suite :
Partie en bleu
publiée à part
:
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Un
habitué des communautés Emmaüs, au cours d’un voyage ancien
(1995), du côté de Caen, m’avait déclaré après que je l’ai
informé que j’étais dans cette communauté depuis deux
semaines, que j’avais du mérite, car c’était dur d’y
faire sa place, car les humains c’est comme les animaux, ils
font leurs territoires.
C’est là tout le problème,
nous sommes des animaux, mais une espèce animale récente, même
encore dans l’enfance, sans l’expérience, la culture et le
long passé qui a permis aux espèces plus anciennes de trouver
un équilibre et de façonner une manière d’être viable, de
plus avec des moyens intellectuels sur-développés qui
n’autorisent pas les erreurs d’organisations. Nous faisons
notre territoire avec des moyens qui nous permettent de l’enclore
en en excluant tout autre, ce qui n’est pas le cas des autres
animaux, et nous créons un système hiérarchique absolu et
parfait, et qui tend à devenir immuable, alors que chez les
autres animaux, ce système est fluctuant et sans cesse remis en
question. C’est cette labilité qui rend le système social des
animaux autres qu’humains viable, et qui leur permet d’évoluer
et de s’adapter, d’être en harmonie avec l’univers, les
autres espèces. Le système social de l’animal humain est
proche de la pétrification, la lutte des classes communiste
n’est plus, les classes sont devenues de castes, où chacun est
définitivement à sa place et ne peut en changer, comme dans
l’ancienne société indienne. C’est tout l’enjeu de
l’actuelle guerre d’Ukraine, pour la caste du pouvoir
occidentale, il s’agit de la lutte finale pour devenir la caste
du pouvoir définitive de l’Humanité, et d’arrêter le cours
de l’histoire, d’être au sommet de l’échelle sociale de
l’animal humain, et cela pour l’éternité. C’est le vieux
rêve véhiculé par l’idéologie juive, le peuple élu, choisi
par le destin (ou dieu), pour régner sans partage sur l’espèce
humaine et au-delà sur l’univers, ce vieux rêve ayant été
repris par les américains avec la destinée manifeste. Le seul
problème est que c’est une manière d’être non-viable,
auto-destructive, d’une part car la caste du pouvoir se
fossilise, devient rapidement stupide et que plus rien n’évolue
et qu’au contraire toute la société régresse, c’est ce à
quoi nous assistons en Occident, et c’est au fond l’unique
raison pour laquelle la Russie, la chine et autres sont certain
de vaincre l’Occident, et c’est ce à quoi on assiste en
Israël, et de façon caricaturale, grotesque, selon le vieille
adage « qui veut faire l’ange fait la bête »,
mauvais adage car les dites bêtes, les animaux classiques, sont
infiniment supérieurs aux animaux humains juifs ou américains,
et à tous ceux qui s’enkystent dans une caste immuable au
sommet, et que d’autre part, dans un système social humain de
ce type, la lutte est sans fin pour rester au sommet, à
l’intérieur même de la caste du pouvoir, et que cette lutte
finit par épuiser la caste et la société elle-même, et c’est
aussi à cela que nous assistons en Occident et en
Israël.
L’unique solution, voie pour l’animal
humain est la collaboration et non l’affrontement, c’est ce
qu’ont compris les tenants des courants anarchiste et
communiste, la fin de la création de territoires privés et
l’instauration d’un territoire collectif partagé par tous,
donc la fin d’un système animal classique de hiérarchie, de
classes, de castes, de la propriété privée, du pouvoir.
En
illustration, il existe un fameux film des années 1990, tiré de
l’œuvre de Jonathan Swift
(https://fr.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Swift)
:
Les voyages de Gulliver de Charles Sturridge
1996
https://ok.ru/video/93736340054
Compléments
documentaires (Swift, un anarchiste méconnu) :
Modeste
proposition (sans doute étudiée par le club de Davos, et à
l’origine du programme d’élimination des 9/10ème de
l’humanité)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Modeste_Proposition
Instructions aux domestiques
:
https://www.detambel.com/f/index.php?sp=liv&livre_id=1091
L’art du mensonge
politique :
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Art_du_mensonge_politique
Argument sur l’abolition du
christianisme :
https://shs.hal.science/file/index/docid/174259/filename/Abolition-Swift-Jaffro.pdf
2
Noyer
mort, qu’on a dû faire abattre
abattu.
Le peuple des arbres, êtres sensibles, pensant et réfléchissant
comme tous les êtres, souffre terriblement des conditions créées
par les humains. Tous les arbres sont malades et de plus en plus
meurent, comme ce noyer qui était vieux mais qui aurait dû
durer encore plusieurs dizaines d’années. Empoisonnement par
les innombrables toxiques chimiques et radiologiques déversés
par les activités humaines (deux centrales nucléaires à
environ 50 kilomètres et des dizaines d’industries chimiques
proches), rythme infernal et qui s’accentue d’année en année
des sécheresses à répétition dont ils ne parviennent plus à
se remettre, ondes artificielles émises par les appareils des
humains qui les affaiblissent. Il nourrissait des familles
d’écureuils qui chaque année venaient y faire leurs
provisions de noix pour l’hiver, ainsi que de nombreux oiseaux
et rongeurs.
3
Pot
du miel produit sur le terrain, datant de 2015. Des ruches (entre
2 et 4) ont été implantées sur le terrain en 2009, soit il y a
13 ans. Cette année les deux dernières sont mortes, et on
baisse les bras, car ce n’est pas la peine de s’acharner.
Sécheresses, puis trop d’eau, ondes, poisons chimiques, les
insectes importés via les envois internationaux frénétiques de
marchandises, et qui arrivent dans des endroits tel ici où ils
n’ont pas de prédateurs naturels comme les frelons asiatiques
et qui prolifèrent et dévorent tous les autres insectes, dont
les abeilles. Quand je vois un papillon, je me fais la réflexion
« tient un survivant », l’année dernière j’ai été
croisé à hauteur de tête par un scarabée lucane, dénommé
aussi cerf volant, le plus gros scarabée en France, un vol lent,
le corps vertical, vrombissant, et de splendides défenses comme
les bois des cerfs. Cela m’a rendu triste, je voyais l’un des
derniers de l’espèce. Terminé les nuages de papillons, de
mouches, de guêpes, de bourdons, de frelons et autres, qu’il
fallait traverser près des vignes plantées sur le terrain, à
l’époque de l’année où le raisin fermente et où les
insectes s’alcoolisent au point où ils viennent se cogner à
pleine vitesse contre votre tête. La paix des déserts est en
train de s’installer. Le manque d’insecte entraîne la
raréfaction des oiseaux qui s’en nourrissent, et cela commence
à se faire ressentir.
4
Pierre
tombale du bélier Valentin, décédé l’année dernière (à 9
ans) d’avoir trop été heureux, et d’avoir brûlé la
chandelle par les deux bouts. Pour ressentir la mort il faut
avoir aimé l’être qui disparaît, sans amour pas de ressenti
de la mort, et donc pas de ressenti de la vie, c’est la mort
qui fait le prix de la vie, et c’est la vie qui fait le prix de
la mort. Alexandra David Neel sur la fin de sa vie (90 ans), à
l’approche de sa mort, avait déclaré « voilà venir
l’instant que j’ai attendu toute ma vie », la mort est
en effet l’instant que l’on attend toute sa vie, et cet
instant est illustré par une historiette taoïste, d’un sage
qui juste après la mort de sa femme, joue d’un instrument de
musique et chante plein de joie, car sa femme a rejoint le tao.
Quand on aime, la mort est le moment où on retrouve tous ceux
qui sont morts et qu’on a aimé, c’est un moment heureux, de
bonheur. Mais pour vivre la mort comme ce qu’elle est, pour un
moment de joie, comme devrait l’être la naissance, il faut
être capable d’aimer. Et quand on est capable d’aimer des
individus en particulier, on aime la totalité de ce qui est, on
est le tao.
Tout le contraire du tao, est illustré par ce
site des services spéciaux occidentaux d’ingénierie psychique
de masse (probablement anglo-juif et basé à Londres, les mêmes
produisant les vidéos de DAESH et autres ISIS
et
Al Qaida ...), qui est à la pointe du cauchemar sans limites que
tente d’instaurer l’Occident sur toute l’espèce humaine et
les autres formes de vie à jamais, que
voici:
https://www.livegore.com/
5
Ruche
morte, comme une ville morte humaine, il ne reste que des
cadavres, cela illustre ce qui va advenir de l’humanité, les
insectes étant simplement en avance sur l’humanité.
6
7
8
Il
s’agit d’abeilles mortes malgré qu’elles semblent
vivantes. Elles ont été protégées de la poussière car la
ruche était hermétiquement fermée par la cire que les abeilles
collent dans tous les orifices et les fentes, sauf pour le lieux
unique d’entrée et de sortie.
9
10
Peuple
des plantes, qui sentent, pensent réfléchissent, quand elles
sont respectées, elles resplendissent.
L’agriculture
a été comme l’élevage, la mise en esclavage d’autres
formes de vie que celle humaine, et cela a servi
d’expérimentation pour la réduction en esclavage de
l’humanité par elle-même.
Il faudrait tout revoir
dans notre rapport avec les plantes et les
animaux.
L’agriculture et l’élevage, la
sédentarisation de l’espèce humaine au néolithique a été
une régression qui a continuée par la formation des village et
des villes, de la société hiérarchisée en classes, de
l’institution de la propriété, de l’exploitation, de la
domination, de l’accaparement, de la thésaurisation, dont nous
vivons maintenant la conclusion, c’est à dire globalement
notre disparition en cours. Cette évolution depuis environ 10
000 ans est non-viable ; et trouve maintenant son
aboutissement.
Ce n’est pas que l’Occident qui est en
voie de disparition, mais l’ensemble de l’humanité,
l’Occident ne faisant que devancer les autres puissances.
Une
fois l’Occident disparu, les autres peuples disparaîtront.
Il
semble peu probable qu’une autre population parvienne à
s’extraire de l’ornière dans laquelle s’est encastrée
l’espèce humaine lors de la période dite moderne de son
histoire, au néolithique.
11
Peuple
des courges
Les fruits, les légumes, et dans ce cas,
les réceptacles des graines, vivent, pensent, ressentent, et
continuent une vie paisible et heureuse.
Il n’y a que les
animaux humains stupides et disgracieux pour faire du terme
« légume » une injure.
Tout le problème
que doit se poser un animal humain est celui-ci, comment détruite
une vie en la mangeant, comme dans ce cas ces courges et les
enfants, les graines qu’elles renferment.
Un film
illustre l’existence des plantes, un sujet même ignoré par
les courants taoïste et bouddhiste, il s’agit d’« Ayurveda,
l’art de vivre » de
Pan Nalin, 2001
(https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=57414.html)
C’est
un film qu’il faut absolument voir, hélas, il ne semble pas se
trouver sur le site russe
ok.ru :
https://fr.shopping.rakuten.com/offer/buy/47715878/Ayurveda-DVD-Zone-2.html
12
Peuple
des arbres, et de l’eau
Le peuple des arbres mène
une existence difficile à saisir pour un animal humain, surtout
pour les plus stupide, l’animal humain moyen étant d’ailleurs
inférieur en éveil à la plupart des autres sortes
d’animaux.
Le peuple des arbres possède un rythme de vie
qui n’est pas le nôtre.
Le peuple de l’eau, qui
comprend à la fois l’eau elle-même, dans ce cas le fleuve, et
les animaux qui l’habitent, de même est très difficile à
aborder pour les animaux humains par nature stupides, car
enfermés par un intellect sur-développé.
C’est là
une grande partie du problème humain, la sur-croissance de
l’intellect, lequel écrase les autres sens, et rétrécie la
capacité globale à rencontrer l’univers et les autres formes
de vie.
Un animal humain qui est éveillé se reconnaît par
le fait qu’il ressent une immense frustration à être coupé
de l’univers et des autres formes de vie.
13
14
Les
animaux non-humains sont infiniment plus proche de l’universel
que les animaux humains.
C’est l’état monstrueux
des humains qui ont dégénéré depuis leur évolution en
système coupé de l’universel par leur installation en
agglomérations coupées de l’extérieur par des murs et des
fossés, et l’instauration de l’élevage qui n’est que la
destruction de la vie d’espèces animales libres, et de
l’agriculture, qui est de même la destruction d’espèces de
vie dénommées plantes, libres, qui a provoqué la mise à
l’écart de l’animal humain de l’universel, l’élevage
étant le sommet de cette monstruosité, car comme me l’avait
dit une personne sans prestige, simple vendeuse sur un stand
d’une fermière au marché de Lillebonne, c’est impensable
d’élever des animaux, de les mettre au monde, de les nourrir,
de les soigner, pour les tuer.
A partir du moment où
cela a été possible, la chute de l’animal humain a été
irréversible, et se continuera jusqu’à sa disparition.
On
peut voir dans cette réflexion de cette vendeuse, qui d’ailleurs
servait aux client le pâté préparé par la fermière, une
sorte d’ogresse sympathique, que les plus profondes vérités
ne viennent pas des couches considérées comme élevées dans la
société, mais des sans grades, comme de cet homme qui m’avait
donné le bouc Tibouc, qui avait déclaré qu’un animal cela ne
se vend pas.
Les actuelles péripéties de la guerre
d’Ukraine, ne sont que des malheureuses farces dans la suite
d’évènements qui doit conduire à la disparition de l’espèce
humaine.
C’est sûr qu’on va se sentir soulager
quand le judéoccident aura fini de s’effondrer, mais ce qui le
remplacera ne tardera pas à apparaître tout aussi nocif et
monstrueux. Cela ne fait aucun doute, et cela sera jusqu’à ce
que toutes les forces de cette malheureuse espèce auront été
épuisées, et il semble que le mouvement va en s’accélérant,
et que cela ne prendra pas des siècles, mais quelques dizaines
d’années.
On ne verra pas sans doute le 22ème
siècle, le 22ème siècle sera débarrassé des malheureux
humains, et la vie reprendra son cours.
15
16
Pois
chiches germés, à manger crus.
Le problème de
s’alimenter a été illustré par l’unique animal humain
ayant détenu le pouvoir, l’empereur chinois Liang Wudi qui
vécu vers environ l’an 550 de notre ère, qui était tant
conscient de détruire des vies pour conserver la sienne en se
nourrissant, qu’il est réputé être mort d’inanition. Un
pois chiche est une vie qui a autant d’importance que celle
d’un animal, ou d’un animal humain.
17
Apogée
de la régression, l’âme animale détruite par la machine.
Le
cercueil de l’espèce animale humaine.
18
Peuple
des arbres, souffrant de multiples maux dus aux multiples poisons
propagés par l’animal humain.
De plus en plus
d’êtres-arbres morts au milieu d’arbres en vie.
19
Êtres-arbres
morts au milieu d’êtres-arbres en vie
20
La
réunion des plus hautes représentations spirituelles de
l’animal humain, africaines et asiatiques (Lao Tseu et
Bouddha)
21
L’être-herbe
est la forme de vie la plus méprisée par l’animal humain
moderne et régressif, mais la forme de vie la plus en rapport
avec l’universel
22
Manger
des œufs est un acte qui pose un problème immense, car il
s’agit de détruire un être en gestation
23
Êtres
poisson réduits à l’état d’objets (on notera l’hypocrisie
abjecte et stupide de l’animal humain moderne : pêche
responsable »)
24
Racine
de gingembre qui ne demande qu’à retrouver la terre, ail qui
ne demande qu’à être planté dans le sol, oignon idem, demi
fuit du citronnier avec ses graines, morceau de racine de curcuma
25
Dernière
visite des pauvres ères employées à effectuer des incursion
secrète à domicile, et ayant mélangé dans un même bocal des
grains de riz et d’avoine, ce qui a permis à des êtres riz et
des êtres avoines de se rencontrer
26
Amie
mouche sur vitre, devant le paysage, au loin la forêt de
Brotonne, devant le fleuve Seine
27
FIN
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