Adresse
au Cardinal Secrétaire d’État Cardinal Pietro
Parolin
Governatorato dello Statodella Città del Vaticano
00120 Citta del Vaticano
Objet :
Révision
de l’ancien et du nouveau testament et de la torah, à la
lumière de l’actuel génocide de Gaza, et mise en perspective
avec les courants de pensées asiatiques du taoïsme et du
bouddhisme.
http://the-key-and-the-bridge.net/Discorso-al-cardinale-Pietro-Parolin.html
Langues français
et italien
De la part de Michel Dakar, le 21 février
2024, Villequier en France
De :
Michel
Dakar
9, Route de Barre-y-va
Villequier
76490
Rives-en-Seine
France
A :
Monsieur
le Cardinal Secrétaire d’État Cardinal Pietro
Parolin
Gouvernorat de l'État de la Cité du Vatican
00120
Cité du Vatican
Villequier, le 21 février
2024
Objet :
Révision de
l’ancien et du nouveau testament et de la torah, à la lumière
de l’actuel génocide de Gaza, et mise en perspective avec les
courants de pensées asiatiques du taoïsme et du
bouddhisme.
Monsieur le Cardinal,
A
la lumière de l’évènement actuel du génocide de la
population de Palestine par les juifs, un éclairage fondamental
est apporté sur le judaïsme et le christianisme dont votre
organisation est l’un des éléments centraux.
Il
m’a semblé opportun de vous en entretenir et de communiquer à
l’ensemble de l’humanité l’aperçu que cet éclairage
révèle.
Tout d’abord, il s’agit bien des juifs
qui opèrent ce génocide, car l’État d’Israël est l’État
des juifs, c’est sa propre définition. Si il existe des juifs
qui sont opposés au génocide, ils doivent donc se retirer de
l’État d’Israël, c’est à dire se déclarer non-juif,
perdre leur qualité de juif, et le faire publiquement,
officiellement, par exemple comme ces catholique qui font
administrativement une démarche de débaptisation. Chaque
personne qui se dit juive participe à ce génocide.
L’actuel
génocide de Gaza renvoie à la création même du judaïsme.
Le
judaïsme a été fondé sur sur le droit à l’élimination des
populations indigènes de la Palestine, soit le droit de
génocide, ce génocide étant légitimé par une autorité
supérieure, dénommée dieu, autorité supérieure à toutes
autres autorités supérieures possibles, qualifiée d’unique.
Il s’agit de ce qui fut dénommé le dieu unique, ce qui
signifie qu’on ne peut faire un recours contre ses décisions à
aucune autre autorité, qu’il n’existe aucune possibilité de
contester ses décisions. Vous avez repris ce principe en
édictant que le Pape ne peut se tromper, sous la formulation de
l’infaillibilité papale.
Il s’agit d’un état
juridique, dans l’antiquité la religion englobait le domaine
du juridique, l’ancien testament et la torah étant un corpus
de textes juridiques.
La population juive, les juifs,
sont donc conditionnés à
l’acte de génocide, c’est le fondement de leur mental, la
religion étant aussi un dispositif de conditionnement mental de
la population, opérant dès la naissance et même avant la
naissance, dès la conception, et même encore avant, en
instaurant les règles de rencontre et de comportement entre
géniteurs, en fait à chaque instant de l’existence jusqu’à
la mort et même après, de qui lui est assujetti. Dans le cas
des juifs, ce conditionnement s’inscrit dans la chair, par la
circoncision, dans l’alimentation et par de multiples autres
biais, en fait par tous les biais possibles, on pourrait dire que
la personne juive existe dans une ambiance, une atmosphère de
génocide.
Ceci posé, venons-en à la religion
chrétienne, qui vous concerne directement.
Évidemment,
il est facile de le comprendre, un tel socle culturel ne peut pas
soutenir une société heureuse, où l’individu s’épanouit.
Il ne peut y régner que l’agressivité, la tension,
l’hostilité, la méfiance, la défiance, la frustration,
l’angoisse, le stress, ce que l’on voit d’évidence en
Israël.
Face à cet absence de bonheur, en réaction,
un jeune juif ambitieux et opportuniste, sans doute ayant eu une
formation de rabbin, a créé une secte dont il fut le dirigeant,
ce que vous nommez en tant que catholique une hérésie, comme
celle des cathares, par exemple, prônant l’amour
réciproque.
Il fut immédiatement réprimé puis
exécuté,
ses disciples durent fuir hors de l’emprise juridique
juive.
Ils essaimèrent sur le pourtour méditerranéen,
s’implantèrent dans l’Empire romain qui les persécuta du
fait qu’ils étaient toujours assujettis au
dieu unique, et ne reconnaissaient donc pas le personnage divin
qu’était l’empereur romain auquel tous sujets devaient
rendre un culte.
Et voilà qui est dit, ils étaient
toujours au fond assujettis au dieu unique, lequel était
structurellement le garant légal du droit de génocide, c’est
même son essence, c’était d’ailleurs l’unique raison de
leur persécution par Rome, cet assujettissement excluant.
Ils
avaient simplement posé une façade d’amour sur un corps
génocidaire.
Au sein d’un empire finissant, cette
secte juive prospéra malgré la répression, d’autant qu’elle
était attractive, on dirait maintenant démagogique, « les
premiers seront les derniers », « aimez-vous les uns
des autres », « heureux les simples d’esprits »,
« il est plus facile pour un chameau de passer par le chat
d’une aiguille qu’un riche d’entrer au paradis » et
j’en passe et des meilleures ….
Le pouvoir romain qui s’affaiblissait y vit un
outil pour maintenir son ordre au sein de la plèbe nombreuse,
oisive, toujours remuante et dangereuse, qu’il lui fallait
entretenir et qu’il maintenait jusqu’alors par le système
conventionnel de la carotte et du bâton, soit d’un côté le
pain et les jeux, et de l’autre par une police secrète
d’espions et une
impitoyable et cruelle répression.
Il suffisait de
mettre à son service les néo-rabbins, fondamentalement et même
supérieurement impitoyables et cruels à tout ce que son
appareil répressif avait produit jusqu’alors, tout en arborant
un sourire bienveillant en offrant la félicité et le bonheur,
vous dites en tant que chrétien, les béatitudes. On rajouta au
corpus démagogique la maxime « il faut rendre à César ce
qui est à César et à dieu ce qui est à dieu ».
Ce
service d’ordre se révéla si efficient que le néo-judaïsme
et ses néo-rabbins furent promus religion d’État, et
l’Empereur devint le chef du néo-judaïsme, le néo-grand
rabbin suprême.
Le christianisme fit florès, la
recette était excellente, sous une apparence bienveillante,
compassionnelle, d’amour, généreuse, accueillante,
égalitaire, un fond agressif, malveillant, haineux, impitoyable,
cruel.
Le judaïsme antique assujettissait quelques
milliers d’individus, le néo-judaïsme s’étendit sur des
continents, adoptés par toutes les castes au pouvoir locales,
hormis celles asiatiques, et celles ayant adoptées une forme
concurrente de néo-judaïsme, ultérieure, dénommée
islam,
qui fit florès pour les mêmes raisons.
Mais la
maison mère rattrapa son retard et repris son ascendant sur ses
succursales.
Elle prospéra à l’ombre de ses deux
avatars, car elle n’était pas gênée par des grimaces et des
contorsions hypocrites qui affaiblissait sa détermination et son
efficience et entravaient sa capacité de conquête et de
domination, des considérations morales et humanistes de pure
façade mais qui finirent par mécaniquement compliquer
l’application du droit de génocide, dont les formes moins
rigoureuses se nomment droit de conquête, prise de guerre,
domination, hégémonie, cartel, monopole etc ...
Elle
se servit même de ses deux avatars comme fluide porteur.
Comme
l’ont fait les bolcheviques, qui d’ailleurs étaient très
majoritairement voir exclusivement des juifs, elle appliqua le
principe de la minorité active, celle qui fait l’histoire,
attaquant directement à la tête le pouvoir, pour s’y
substituer, l’accaparer, et dominer la masse.
Nous
en sommes là.
Quant à la mise en perspective avec
les courants de pensées asiatiques, tels le taoïsme et le
bouddhisme, voire l’hindouisme, soit l’Asie, qui fut le pôle
de résistance unique au monde face à la conquête juive par ses
chevaux de Troie chrétien et musulman, cette mise en perspective
tient en un mot, le « moi ».
Le plus
profond de la pensée asiatique est le taoïsme, celui des
premiers penseurs, d’il y a environ 2500 ans, la religion qui
en découla n’a aucun rapport avec ces penseurs, ce que je
nomme taoïsme n’est pas une religion, mais une recherche
existentielle.
Ce qui apparaît à travers la
recherche de ces penseurs dits « taoïstes », le tao
étant la voie, l’acte d’avancer, en chinois, est que ce que
nous nommons le « moi », une construction sociale, on
dirait actuellement un conditionnement, qui efface la vraie
personne, qui elle est une manifestation de la totalité,
l’Univers si on veut.
Mais cela va encore plus loin,
car ce dépassement du « moi », des limites sociales,
fait dépasser les notions de différentiation, entre un humain
et un autre, et entre humains et
autres espèces
et autres états d’existence, les notions d’action et de
passivité, de désir et de non-désir etc …
En
fait, le taoïsme ouvre sur l’universel.
L’un des
vôtres, le père jésuite Léon Wieger, a été l’un des
traducteurs des trois principaux chercheurs antiques du taoïsme.
Il est décrié car il avait été envoyé pour détruire le
taoïsme et on considère que son travail est biaisé par son
conditionnement catholique.
Mais c’est
paradoxalement celui qui a sans doute été le plus proche de
l’essence du taoïsme, car c’était probablement un mystique
et que sa sensibilité lui faisait dépasser son enfermement
catholique. Au fond, il a trouvé sa voie dans le tao, qui est en
effet la voie, c’est à dire une méthode de recherche
existentielle, une méthode non figée d’ailleurs qui est elle
même une recherche sur la méthode, et sur l’attitude même de
rechercher, d’avancer, le chercheur devenant le chemin et le
chemin le chercheur, le contenu le contenant, l’intérieur
l’extérieur, l’observateur l’objet observé, les
contraires, les opposés se fondant.
La différence
entre les recherches asiatiques, taoïsme, bouddhisme et
hindouisme, et la religion juive et ses avatars chrétien et
musulman, c’est que d’un côté, le « moi » tend
à l’effacement pour laisser place à l’Univers, et que de
l’autre, le « moi » est renforcé, jusqu’à
devenir l’Univers, et induit une rupture avec l’Univers, ce
que les anciens grecs dénommaient solipsisme, le solipsisme
menant à l’hubris, l’aveuglement dû à la démesure du
pouvoir, moyen que les anciens dieux grecs employaient pour
perdre les hommes. C’est ce à quoi nous assistons avec le
développement actuel de la civilisation humaine influencée par
le judaïsme et ses avatars.
Le taoïsme rejoint la
voie politique, car la condition sine qua non pour permettre au
« moi » de s’effacer et que l’individu trouve sa
dimension universelle et au-delà toute l’espèce humaine, est
que le « moi » ne soit pas contraint par le système
social, ce qui n’est possible que dans un système
égalitaire.
Je vous prie de recevoir, Monsieur le
Cardinal, l’expression de mes respectueuses salutations.
M.
DAKAR
Lettre adressée en
recommandé international
Copie communiquée à votre
annexe locale, l’Abbaye Saint Wandrille Rançon, à
Rives-en-Seine
Discorso
al Cardinale Segretario di Stato Card. Pietro Parolin
Governo
dello Stato della Città del Vaticano
00120
Città del Vaticano
Oggetto:
Revisione
dell'Antico e del Nuovo Testamento e della Torah, alla luce
dell'attuale genocidio a Gaza, e messi in prospettiva con le
scuole di pensiero asiatiche del Taoismo e del Buddismo.
http://the-key-and-the-bridge.net/Discorso-al-cardinale-Pietro-Parolin.html
Lingue
francese e italiana
Da
Michel Dakar, 21 febbraio 2024, Villequier in Francia
Di
:
Michele
Dakar
9,
Route de Barre-y-va
Villequier
76490
Rives-en-Seine
Francia
HA
:
Signor
Cardinale Segretario di Stato Cardinale Pietro Parolin
Governatorato
dello Stato della Città del Vaticano
00120
Città del Vaticano
Villequier,
21 febbraio 2024
Oggetto:
Revisione
dell'Antico e del Nuovo Testamento e della Torah, alla luce
dell'attuale genocidio a Gaza, e messi in prospettiva con le
scuole di pensiero asiatiche del Taoismo e del Buddismo.
Signor
Cardinale,
Alla
luce dell'attuale genocidio della popolazione della Palestina da
parte degli ebrei, viene gettata una luce fondamentale
sull'ebraismo e sul cristianesimo, di cui la vostra
organizzazione è uno degli elementi centrali.
Mi
è sembrato opportuno parlarvene e comunicare a tutta l'umanità
l'intuizione che questa intuizione rivela.
Innanzitutto
sono proprio gli ebrei a compiere questo genocidio, perché lo
Stato di Israele è lo Stato degli ebrei, questa è la sua stessa
definizione. Se ci sono ebrei che si oppongono al genocidio,
devono quindi ritirarsi dallo Stato di Israele, cioè dichiararsi
non ebrei, perdere il loro status di ebrei, e farlo
pubblicamente, ufficialmente, ad esempio come questi cattolici
che amministrativamente intraprendere un processo di
debattezzazione. Ogni persona che si definisce ebrea partecipa a
questo genocidio.
L’attuale genocidio a Gaza risale
alla creazione stessa del giudaismo.
L’ebraismo
è stato fondato sul diritto all’eliminazione delle popolazioni
indigene della Palestina, cioè sul diritto al genocidio, essendo
questo genocidio legittimato da un’autorità superiore,
chiamata dio, un’autorità superiore a tutte le altre possibili
autorità superiori, qualificate come uniche. Questo è quello
che veniva chiamato il dio unico, il che significa che le sue
decisioni non possono essere appellate a nessun'altra autorità,
che non c'è possibilità di contestare le sue decisioni. Lei ha
ripreso questo principio affermando che il Papa non può
sbagliare, sotto la formulazione dell'infallibilità papale.
È
uno stato legale, nell'antichità la religione comprendeva
l'ambito legale, essendo l'Antico Testamento e la Torah un
insieme di testi legali.
La
popolazione ebraica, gli ebrei, sono quindi condizionati all'atto
del genocidio, è il fondamento della loro mente, essendo la
religione anche un dispositivo di condizionamento mentale della
popolazione, operante dalla nascita e anche prima della nascita,
dal concepimento, e anche prima , stabilendo le regole di
incontro e di comportamento tra progenitori, di fatto in ogni
momento dell'esistenza fino alla morte e anche dopo, di chi ad
essa è soggetto. Nel caso degli ebrei, questo condizionamento è
inscritto nella carne, attraverso la circoncisione, nel cibo e
attraverso molteplici altri mezzi, anzi con tutti i mezzi
possibili, si potrebbe dire che la persona ebrea esiste in
un'atmosfera, un'atmosfera di genocidio.
Detto
questo, veniamo alla religione cristiana, che vi riguarda
direttamente.
Ovviamente,
è facile capire, una tale base culturale non può sostenere una
società felice, dove l’individuo prospera. Possono regnare
solo aggressività, tensione, ostilità, sfiducia, sfiducia,
frustrazione, angoscia, stress, che vediamo chiaramente in
Israele.
Di
fronte a questa infelicità, per reazione, un giovane ebreo
ambizioso e opportunista, sicuramente di formazione rabbino, creò
una setta di cui era il capo, che da cattolico tu chiami
un'eresia, come quella dei Catari, perché esempio, sostenendo
l’amore reciproco.
Fu immediatamente represso e poi
giustiziato, i suoi discepoli dovettero fuggire dall'influenza
legale ebraica.
Si
diffusero nel Mediterraneo, si stabilirono nell'Impero Romano che
li perseguitò perché erano ancora soggetti all'unico dio, e
quindi non riconoscevano il carattere divino che era l'imperatore
romano al quale tutti i sudditi dovevano rendere culto.
E
così si dice, essi furono sempre sostanzialmente soggetti
all'unico dio, che era strutturalmente il garante legale del
diritto di genocidio, ne è addirittura l'essenza, era del resto
l'unico motivo della loro persecuzione da parte di Roma,
escludendo così la sudditanza. .
Avevano
semplicemente messo una facciata d’amore su un corpo genocida.
In
un impero morente, questa setta ebraica prosperò nonostante la
repressione, soprattutto perché era attraente, si direbbe oggi
demagogica, "i primi saranno ultimi", "amatevi gli
uni gli altri", "felici gli ingenui", "è più
facile che un cammello passi attraverso l'ago di un ago piuttosto
che un ricco entri in paradiso" e chi più ne ha più ne
metta e il migliore….
L'indebolimento
del potere romano lo vide come uno strumento per mantenere il
proprio ordine tra la plebe numerosa, oziosa, sempre inquieta e
pericolosa, che doveva mantenere e che fino ad allora aveva
mantenuto con il sistema convenzionale della carota e dei
bastoni, da un lato il pane e circhi, e dall'altro da una polizia
segreta di spie e da una repressione spietata e crudele.
È
bastato mettere al suo servizio i neo-rabbini, fondamentalmente e
anche soprattutto spietati e crudeli verso tutto ciò che il suo
apparato repressivo aveva prodotto fino ad allora, mentre
ostentavano un sorriso benevolo e offrivano felicità e felicità,
tu dici da cristiano, il beatitudini. Al corpus demagogico è
stata aggiunta la massima «bisogna rendere a Cesare ciò che è
di Cesare e a Dio ciò che è di Dio».
Questa
attività di polizia si dimostrò così efficiente che il
neo-giudaismo e i suoi neo-rabbini furono promossi a religione di
stato, e l’imperatore divenne il leader del neo-giudaismo, il
supremo neo-rabbino capo.
Il
cristianesimo fiorì, la ricetta era ottima, sotto un aspetto
benevolo, compassionevole, amorevole, generoso, accogliente,
egualitario, uno sfondo aggressivo, maligno, odioso, spietato,
crudele.
L'antico
giudaismo soggiogò alcune migliaia di individui, il neogiudaismo
si diffuse nei continenti, adottato da tutte le caste dominanti
locali, tranne quelle asiatiche, e quelle che adottarono una
forma concorrente di neogiudaismo, più tardi, chiamata Islam,
che fiorì per gli stessi motivi. motivi.
Ma
la società madre riuscì a recuperare la sua influenza sulle sue
filiali.
Ha
prosperato all’ombra dei suoi due avatar, perché non è stato
intralciato da smorfie e contorsioni ipocrite che ne indebolivano
la determinazione e l’efficienza e ne ostacolavano la capacità
di conquista e di dominio, da considerazioni morali e umanistiche
di pura facciata ma che finivano per complicare meccanicamente il
applicazione della legge del genocidio, le cui forme meno
rigorose si chiamano diritto di conquista, cattura di guerra,
dominazione, egemonia, cartello, monopolio ecc.
Ha
persino usato i suoi due avatar come fluido vettore.
Come
fecero i bolscevichi, che peraltro erano in stragrande
maggioranza o addirittura esclusivamente ebrei, applicò il
principio della minoranza attiva, quella che fa la storia,
attaccando direttamente il potere alla testa, per sostituirlo,
monopolizzarlo e dominare le masse.
Noi
siamo qui.
Per
quanto riguarda la prospettiva con le correnti di pensiero
asiatiche, come il Taoismo e il Buddismo, anche l’Induismo,
l’Asia, che fu l’unico centro di resistenza al mondo contro
la conquista ebraica da parte dei suoi cavalli di Troia cristiani
e musulmani, questa prospettiva è racchiusa in una sola parola ,
"Me".
Il
pensiero asiatico più profondo è il Taoismo, quello dei primi
pensatori, di circa 2500 anni fa, la religione che ne è derivata
non ha alcun legame con questi pensatori, quello che io chiamo
Taoismo non è una religione, ma una ricerca esistenziale.
Ciò
che emerge dalle ricerche di questi pensatori cosiddetti
“taoisti”, dove Tao in cinese significa la via, l’atto di
andare avanti, è che ciò che chiamiamo “io”, una
costruzione sociale, appare attualmente come un condizionamento,
che cancella la persona reale, che è manifestazione della
totalità, dell'Universo se vuoi.
Ma
questo va ancora oltre, perché questo superamento dell’“io”,
dei limiti sociali, supera le nozioni di differenziazione, tra un
essere umano e l’altro, e tra l’uomo e le altre specie e gli
altri stati di esistenza, le nozioni di azione e passività,
desiderio e non desiderio ecc.
In
effetti, il Taoismo si apre all’universale.
Uno di
voi, il padre gesuita Léon Wieger, è stato uno dei traduttori
dei tre principali ricercatori antichi del taoismo. È criticato
perché è stato inviato per distruggere il taoismo e la sua
opera è considerata influenzata dal suo condizionamento
cattolico.
Ma
paradossalmente fu lui quello senza dubbio più vicino
all'essenza del taoismo, perché probabilmente era un mistico e
la sua sensibilità gli permise di andare oltre il suo
confinamento cattolico. In sostanza, ha trovato la sua strada nel
tao, che è appunto la via, cioè un metodo di ricerca
esistenziale, un metodo peraltro non fisso che è esso stesso una
ricerca sul metodo, e sull'atteggiamento stesso della ricerca,
dell'andare avanti, il ricercatore diventa il percorso e il
percorso il ricercatore, il contenuto che lo contiene, l'interno
l'esterno, l'osservatore l'oggetto osservato, gli opposti, gli
opposti che si fondono.
La
differenza tra la ricerca asiatica, Taoismo, Buddismo e Induismo,
e la religione ebraica e i suoi avatar cristiani e musulmani, è
che da un lato l’“io” tende a scomparire per far posto
all’Universo, e dall’altro il “me” si rinforza, fino a
diventare l’Universo, e induce una rottura con l’Universo,
quello che gli antichi greci chiamavano solipsismo, solipsismo
che porta all’arroganza, alla cecità per eccesso di potere, un
mezzo che gli antichi dei greci usavano per distruggere gli
uomini. Questo è ciò a cui stiamo assistendo con l’attuale
sviluppo della civiltà umana influenzata dal giudaismo e dai
suoi avatar.
Il
Taoismo si inserisce nel percorso politico, perché la condizione
sine qua non affinché l’“io” svanisca e l’individuo
trovi la sua dimensione universale e al di là dell’intera
specie umana, è che l’“io” non sia vincolato dalle
condizioni sociali. sistema, che è possibile solo in un sistema
egualitario.
Voglia
gradire, Signor Cardinale, l'espressione dei miei deferenti
saluti.
M.
DAKAR
Lettera
inviata tramite posta raccomandata internazionale
Copia
inviata alla filiale locale, Abbazia di Saint Wandrille Rançon,
a
Rives-en-Seine
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