Vue
d’un
extra
sensoriel sur la situation humaine actuelle
A sensory
extra's view of the current human situation
18 juillet
2024
http://the-key-and-the-bridge.net/a-sensory-extra-s-view.html
Qu’est-ce
qu’un extra sensoriel ?
Une
personne humaine ou non, il n’y a pas que les êtres humains
sur la planète Terre, ni dans l’Univers, douée d’une plus
ou moins grande sensibilité, la sensibilité d’un voyant le
plus bas dans l’échelle des voyants étant déjà sans
comparaison avec celle des personnes dites normales, et ayant de
plus la capacité à imager ce qu’il ressent, cette sensibilité
étant donc en étroite liaison avec son sens de la vue. Il doit
aussi être capable de transmettre oralement les images qu’il
perçoit de la réalité, et les transcrire par l’écrit ou le
dessin s’il le peut, c’est plus rare pour un voyant, de façon
à rendre ses vues intelligibles pour les non-voyants, les plus
ou moins aveugles.
Je suis un de ces voyants, et de
plus capable de dessiner et d’écrire, et encore de plus,
totalement immergé dans le politique dans son sens le plus
global et profond.
En quoi consiste la voyance ?
Par
exemple à ressentir à un point extrême une situation, ou une
ou des personnes rencontrées, dans mon cas, pour d’autres, je
ne sais pas, l’unique personne qui est dans la même catégorie
que la mienne, et que je connais,
exerce
dans la thérapie, comme magnétiseuse, c’est loin du
politique. Elle soigne les entités
individuelles,
moi, je tente de soigner le global, au-delà même de la notion
d’entité. Elle a déclaré à quelqu’un qui vit avec moi et
qui se fait aussi soigner par elle, que cela devait être
épuisant de vivre avec moi qui absorbe tout ce qui passe dans
son environnement.
Par exemple, dans des cas extrêmes,
quand ma vie est en danger, cela est arrivé plusieurs fois que
ma vie ait été en grand danger dans le cadre de mes activités
politiques, quand
on
m’a tendu des pièges qui devaient m’être fatals, le
ressenti du danger durant une scène qui en apparence est
anodine, un piège ne devant pas apparaître comme étant un
piège, et qui est vécue comme anodine par une personne normale,
provoque chez moi des sensations physiques extrêmes sous la
forme de signaux d’alarmes au sens propre, j’entends une
sonnerie d’alarme stridente si forte que mes oreilles en sont
saturées, un son purement à l’intérieur de ma tête
résonnant dans
mon
crane comme une cloche battant à la volée. Cela m’a sauvé la
vie.
Je ris toujours intérieurement quand une
personne se présente à moi pour me tromper (dans l’univers
politique il n’y a que tromperie). Avant même qu’elle ait
ouvert la bouche, je me suis déjà imprégné de l’émotion
qu’a suscité cette personne, un peu comme si j’avais mangé
son fluide et en avait apprécié toute les saveurs, comme une
éponge, cela se passe instantanément, et instantanément ma
ligne de conduite est déjà décidé et mise en place, le navire
est déjà mis en ordre de combat. Avant même que le combat ait
commencé, il est déjà gagné, l’adversaire n’a même pas
encore commencé à bouger, et chez moi, l’action est
concomitante de la sensation, sensation égale action, sensation
et action sont une.
C’est au point que jeune j’ai
désiré éprouver ce que c’était que de se faire berner, et
je me suis fait sciemment berner, tout en observant dans le
moindre instant de son œuvre le trompeur. Il fallait au moins le
vivre une fois. Et comme pour tout vrai joueur, la mise perdue a
été très importante, sinon, cela n’aurait pas été vécu.
Je reste à jamais imprégné de la substance de ce trompeur et
de cet épisode, cela m’est d’une infinie valeur.
Comme
tous les extra sensoriels, ceux qui ont au-delà des sens
normaux, en réalité, au-delà des sens, je vis des évènements
impossibles à relater aux personnes normales, j’emploie le
terme d’évènements, car il est vague, déjà les qualifier
est un problème, le vocabulaire étant produit par des normaux,
il n’y a pas de terme adapté pour décrire ce que peuvent
vivre des extra sensoriels.
Tout dernièrement je
connais un nouveau type d’évènements, et c’est sans doute
en relation avec la situation globale actuelle de notre
malheureuse espèce humaine.
Sa situation se dégrade
à un tel point que pour un chercheur en politique comme je suis,
je me suis engagé dans de nouveaux domaines, là encore
j’emploie le terme domaine qui est vague, car il n’y a pas de
terme adéquate.
Il s’agit de présences, terme
utilisé faute de mieux.
De présences si proches que
je me suis surpris à les écarter de la main, comme on écarte
des mouches de son visage, et comme j’aime les insectes, comme
j’aime tout ce qui vit, je les écarte très doucement.
Comme
tout ce qui est fondamentalement étranger, cela provoque une
angoisse, légère dans mon cas, car je suis constamment à
l’étranger du fait que je suis moi-même un étranger au sein
des normaux, depuis ma naissance, et que je suis habitué à
l’étranger, donc à l’angoisse que provoque l’étranger,
l’inconnu.
Quant à la représentation de ces
présences, outre qu’elles sont amicales, il s’agit d’entités
colorées en deux dimensions, de contour plus ou moins humaines,
voilà pour un genre, pour un autre, une sorte de masse sphérique
faite de sorte de rubans blancs.
Je connais ce que je
nomme des manifestations, faute de mieux, depuis environ l’âge
de 16 ans, avec une période intense vers 18 à 20 ans, ensuite
cela a été de plus en plus rare, épisodiquement une fois par
ans, ou tous les deux trois ans.
C’est à
l’adolescence que l’être humain est le plus ouvert sur le
monde, et chez moi, cette ouverture couplée avec ma sensibilité
a provoqué des visions du réel quasi insoutenables, des visions
d’un immense champ de bataille, des armées en lutte, un peu
dans le genre des tableaux de Jérôme Bosch qui lui d’évidence
était un extra sensoriel, et dans mon cas, avec son et lumière.
Il s’agissait plus que de visions, car cela s’accompagnait de
vibrations.
Mais ce qui m’a le plus marqué, est le
phénomène mal dénommé de décorporation, car il ne s’agit
pas de décorporation, mais d’un état d’être autre, d’être
et de conscience autres, être et conscience étant fondus,
impossible à décrire, autre s’entend aussi en tant que
changement de dimension, dimension étant de même un terme
inadéquat, le langage étant fait par et pour les normaux, les
limités, le langage des normaux ne peut être utilisé en ce qui
concerne les faits extra normaux, cette communication étant une
épreuve car il est impossible de traduire en langage normal ce
que vit un anormal.
Ce qui m’a motivé pour faire
cette communication est le venue de ces nouveaux évènements,
que faute de mieux je dénommerais présences, de plus
apparaissant après une période d’une cinquantaine d’années
durant laquelle il n’y eut que deux types d’évènements,
improprement dénommés faute de mieux, vision et changement de
dimension.
Pas un des acteurs qui s’occupe de
politique globale n’est au niveau de ce qui est en train de se
passer avec notre malheureuse espèce humaine.
C’est
ce que je traduits avec le venue de ces présences.
C’est
au-delà de la destruction atomique, au-delà de la destruction
de la totalité de la biosphère, au-delà de l’idée même de
destruction, il ne s’agit pas de destruction, c’est
infiniment pire, la mort est préférable à ce qui est en train
d’advenir.
Il n’y a pas pour le moment de
conception, de terme pour saisir le point où nous sommes
arrivés, et où nous nous engageons.
Quant en ce qui
me concerne, par ces nouvelles manifestations, il s’agit de la
première fois dans ma vie que je suis en présence d’une
entité autre que ma propre
espèce.
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