Un
pas vers la liberté sociale de l'espèce humaine
A
step
towards social freedom for the human race
Emdé, 1er
août
2024
http://the-key-and-the-bridge.net/a-step-towards-social-freedom-for-the-human-race.html
Il est grand temps de commencer à traiter le
problème intrinsèque à la malheureuse espèce humaine, il n’y
a pas le choix, la seule autre perspective étant le suicide,
c’est à chacun de décider, moi, je fais le choix de chercher
à avancer dans la voie de la résolution, la vie méritant
d’être connue, et j’aime les quelques rares humains
non-conformes et
les animaux, les plantes, l’Univers, je fais cela pour eux, les
autres, les humains conformes, doivent disparaître de
l’existant.
L’espèce humaine est enfermée en
état de système, cela depuis la période dite pompeusement
historique, soit le néolithique et la création des société
dites modernes, fondées en hiérarchies, classes, dominateurs et
dominés, possédants et possédés.
Un état de
système est une mécanique aveugle, sans âme, sans but, sa
seule logique est de fonctionner, son seul impératif est
l’élimination des causes des entraves à son fonctionnement,
ce qui compose le système, les pseudo-êtres dits humains,
n’étant que des choses, des éléments de la mécanique
globale.
Il s’agit donc pour ces éléments de
prendre conscience de leur non-vie, pas un seul de ces éléments
n’étant hors système, l’auteur de cette communication étant
lui-même une chose, sans aucune liberté.
Il faut
pour commencer apprendre à voir la réalité comme elle est,
soit à être dans le réel.
Être dans le réel
consiste en premier à ne pas se considérer comme extérieur au
système, et savoir qu’on n’est
soi-même
qu’un rouage du système avec aucune marge de manœuvre
indépendante, qu’on n’est qu’un rouage dont le mouvement
n’est que le produit des autres mouvements des rouages auxquels
on est engrené, qu’il n’y a aucun libre-arbitre (dans mon
passé, on m’a raconté la réflexion d’un humain arrivant en
fin de carrière, et qui avait compris qu’il n’avait même
pas le choix du
couteau employé par
le
bourreau), ainsi il ne faut surtout pas employer l’expression
« les gens ci, les gens ça », qui dénote qu’on ne
se considère pas comme les gens, soit au fond qu’on
s’imagine être hors
du système.
Deuxièmement, il faut apprendre à voir
que chaque acte que l’on fait est le produit du système, et
n’est en aucune manière
un acte de sa volonté et de son choix.
Troisièmement,
il faut cesser de considérer que qui que ce soit possède une
autonomie, que
qui que ce soit est
un être ou une entité en soi, le seul être, la seule entité
est le système, tout ce qui est, être individuel, entité comme
état, nation, groupe d’humains définis par leurs statut
social, leur race, leur religion etc … ne sont que des rouages,
ou des ensembles de rouages du système.
Ainsi, la
guerre des
juifs contre l’humanité, celle
de
l’Occident
(dirigé
par les juifs) contre
les
russes,
chinois, iraniens et
autres,
ne sont que des engrènements d’ensembles
de rouages tous appartenant au système, le rouage juif, le
rouage russe, et autres rouages n’étant que des briques
constituant la construction du système, et chacun n’ayant au
fond pas d’identité propre,
pas de personnalité, pas plus que dans une machine, le rouage ou
l’ensemble de rouages
placé à tel endroit de la machine ne
possède
une personnalité, mais est au mieux défini sur le schéma
global de la machine comme la pièce n° 1/3-C37-2897-Y,
par exemple.
Il n’y a pas d’ennemis, d’alliés
et d’amis, pas de bons et de méchants, pas de justes et
d‘injustes, pas de victimes et de criminels, il n’y a que des
pièces du système, articulées les unes aux autres, en fait
chaque pièce est articulée à toutes les autres pièces du
système.
Quand on commence à considérer la réalité
de cette manière, alors vient le moment où on peut commencer à
réfléchir à comment passer d’un état de système à un
autre état où chacune
des précédentes pièces formant le système devient en soi un
univers, soit devient
un individu possédant comme caractéristiques
l’autonomie et le libre-arbitre, car on voit la réalité, et
voir la réalité est le premier pas dans la métamorphose du
système en non-système.
Alors
pourquoi cet état de guerre entre groupes de pièces du système,
que ces groupes de pièces soient dénommées nations, états,
alliances, groupes sociaux internes aux nations, entre pièces
individuelles, pourquoi dans le système le sentiment prédominant
est-il la haine, la violence, l’hostilité
et la division ?
C’est
la haine, la violence, l’hostilité, la division qui
maintiennent l’espèce humaine en état de système, la haine,
la violence, l’hostilité, la division sont des fabrications
du système, sans la haine, la violence l’hostilité, la
division l’état de système se transformerait en un autre
état, et le système ayant pour détermination unique, une fois
qu’il s’est installé, de perdurer, de fonctionner, il
s’auto-organise pour le faire en créant les conditions
adéquates pour se conserver en l’état, les conditions
adéquates sont ce qu’on interprète, ce qu’on perçoit,
comme étant la haine, la violence et l’hostilité, la
division.
La haine, la violence, l’hostilité, la
division sont des perceptions que l’on a de la réaction du
système, de la machine, face à la prévision de sa possible
évolution et de sa disparition comme machine, comme état de
système.
La haine, la violence, l’hostilité, la
division sont des noms pour désigner le fluide dans lequel
baigne le système pour pouvoir fonctionner, comme il faut que
certaines parties des machines baignent dans l’huile pour ne
pas gripper.
Ce ne sont pas les rouages ou les
ensembles de rouages qui n’ont aucun libre-arbitre, qui
provoquent les guerres et l’état de haine, de violence,
d’hostilité et de division, ces perceptions sont inhérentes à
l’état de système, tant que l’état de système existera,
il y aura la haine, la violence, l’hostilité et la division,
et cela jusqu’au moment où cet état provoquera la destruction
du biotope et la disparition physique du système entraînée
par
la destruction du biotope.
C’est en prévision de
cette disparition du biotope que le système s’oriente
machinalement vers une forme d’existence non-biologique, à
présent, car le biotope terrestre est à l’agonie.
Il
reste à traiter des « voyants », c’est à dire des
pièces du système qui ont la faculté de voir la réalité.
Ce
sont des étrangers au système qui gîtent en son sein, ils sont
à la fois à l’intérieur et à l’extérieur.
Leur
lien avec le biotope global, c’est à dire l’Univers est plus
fort que leur lien avec le système, cela explique qu’ils
puissent avoir tout en étant plongés dans le système, une
vision comme de l’extérieur du système et se rendre compte de
l’état de système de l’espèce humaine.
Dans les
temps passés, on les appelaient sorciers ou sorcières, mages,
chamans, devins, maintenant certains continuent à exercer au
sein du système comme « magnétiseurs », sourciers,
radiesthésistes.
Pour le système qui est une machine
sans conscience, sans âme, ils constituent une zone aveugle, une
zone de non-existence, car ils sont à l’intérieur du système
une zone hors-système, une intrusion de l’Univers, qui lui est
hors-système, l’Univers n’étant pas un état de
système.
C’est la raison pour laquelle le système
ne les rejette pas comme il devrait le faire, ils ne dérangent
pas le système, le système ne peut les appréhender.
L’état
de système est un état non-durable, car l’Univers n’est pas
un système, et un état de système ne peut exister durablement
coupé de l’Univers, c’est une forme d’existence
transitoire vouée à la disparition.
Pour qu’un
état de système perdure il faut qu’il conforte sa rupture
d’avec l’Univers, et plus il se coupe de l’Univers, moins
il est viable, et plus il se rapproche de sa fin.
Les
voyants ne sont qu’une manifestation de l’Univers à
l’intérieur du système, ils sont la manifestation de
l’Univers pour que se fonde l’état de système dans le
non-état de système global qu’est l’Univers.
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