Au
cœur du problème humain
Les vraies nature et fonction des
« psy », psychiatre, psychologue et psychanalyste
dans la société, et ce que le « psy » dévoile en
profondeur sur la société
At the heart of the human
problem
The true nature and function of “psychologists,”
psychiatrists, psychologists, and psychoanalysts in society, and
what “psychologists” reveal in depth about
society
Communication de Michel Dakar, le 21
août
2025 à Villequier en
France
http://the-key-and-the-bridge.net/at-the-heart-of-the-human-problem.html
1 – Le « psy » fil d’Ariane.
2
– Différence fondamentale entre un individu normal
dominant-soumis, et l’individu anormal, dit « fou »,
le sens de l’empathie.
3 – L’unique découverte du
dispositif « psy », la dissociation de l’individu.
4
– Documentation (films, documentaire, livre, compte Tik Tok).
5
– Illustration.
Dessin : pointage mensuel au Commissariat
psychiatrique
politique
http://the-key-and-the-bridge.net/pointage-psychiatrique.pdf
http://the-key-and-the-bridge.net/pointage-psychiatrique.html
6
– Texte sur la psychiatrie écrit en juillet 2018
1
– Le « psy » fil d’Ariane.
Certains
faits de société sont de véritables fil d’Ariane permettant
de sortir du labyrinthe de la confusion et de l’illusion qui
entravent la prise de conscience du monde social où nous
existons.
Il est est ainsi des « psy ».
Un
autre exemple de fil d’Ariane est celui de la mafia sicilienne,
qui permet de comprendre ce qu’est une organisation dédiée au
pouvoir, à la puissance, et qui porte au jour les mécanismes
intimes de toute organisation de pouvoir.
Le « psy »,
lui, porte au jour bien plus que les mécanismes de
l’organisation de pouvoir, mais ce qui fonde le pouvoir.
Le
« psy » n’est qu’une partie d’un ensemble
fondamental dans le fonctionnement d’un organisme de pouvoir,
cet ensemble fondamental est dénommé censure, ou l’interdit
de penser, ce que George Orwell dénommait dans son roman 1984,
« l’arrêt du
crime »
– le crime par excellence, suprême, étant le crime par la
pensée.
Mais Orwell à travers le roman 1984 traitait
du pouvoir lui-même, de la société de pouvoir, hiérarchique,
fondée sur la domination d’une fraction infirme sur une masse
soumise. Il faut rappeler qu’Orwell après avoir fait carrière
en Inde coloniale occupée par les Anglais comme officier de
police responsable d’un district, était devenu anarchiste.
Il avait comparé
l’humanité
de l’avenir
à
un visage plaqué sur le sol maintenu et écrasé sous la semelle
d’une botte. Il ne s’est pas trompé.
La botte est
l’ensemble du dispositif interdisant la pensée, qu’on
dénomme vulgairement censure, dont le « psy » fait
partie.
Mais le psy est le fer de lance du dispositif
de censure, de la botte écrasant le visage, l’humain, la
vie.
Car le psy est en charge de ceux qui sont trop
doués de capacités de vie, incluant les politisés et les
non-politisés, qui ne peuvent pas se couler dans le moule de
l’individu soumis qui est l’unique format accepté par la
société de pouvoir.
Le but du psy est comme celui
des anciens inquisiteurs de l’église catholique, de persuader,
de convaincre, de convertir, dans le cas de l’église
catholique, l’hérétique qu’il se trompe et qu’il n’y a
pas de vraie foi autre que celle catholique, dans le cas du psy,
qu’il n’y a pas d’autre société possible que celle de la
société de pouvoir, et qu’il n’y a que la soumission qui
soit possible si l’individu n’appartient pas à l’élite
dominante, c’est à dire qu’il n’y a pas d’autres
manières d’être que celle de dominer ou d’être dominé.
Le
psy est l’équivalent des anciens inquisiteurs, ou des toujours
présents commissaires politiques de l’ancienne URSS remis en
fonction par la Russie en 2018.
Mais le psy va
beaucoup plus loin que les inquisiteurs et commissaires
politiques, car ils touche au plus intime de l’acte d’exister,
de la vie, voici pourquoi.
Ce qui touche à l’essence
même de la vie est l’incapacité à se soumettre à un ordre
hiérarchique, soit la soumission, et la domination.
La
soumission et la domination ne sont pas des actes naturels pour
l’être humain, et pour une société humaine.
La
relation de soumission-domination existe dans les sociétés
animales et ordonne ces sociétés mais est inadéquate pour
l’être humain et la société humaine.
Tout le
drame de l’espèce humaine est qu’elle ne parvient pas à
s’extraire de son socle animal alors qu’elle possède la
capacité à exister hors de la relation
soumission-domination.
Ceux qu’on dénomme « fou »,
incluant les politiques internés sous le prétexte de maladie
mentale (c’est le cas de l’auteur de cette communication en
ce moment, même si l’internement s’est changé en une
liberté conditionnelle avec pointage mensuel chez un psychiatre
de la préfecture) -
les
fous politiques donnant
une
envergure sociale, volontaire, organisée, structurée, réfléchie
au refus d’accepter l’inacceptable, le contre-nature pour un
humain, la relation soumission-domination, est l’individu dont
l’essence de vie est si puissante qu’il ne peut la tordre
pour se mouler dans les limites de l’individu du type unique de
la société de pouvoir, soit l’individu dominant-soumis, ce
qui est le seul modèle
accepté
dans
cette société.
2 – Différence
fondamentale entre un individu normal dominant-soumis, et
l’individu anormal, dit « fou », le sens de
l’empathie.
Le sens de l’empathie est ce qui
différencie l’individu normal dominant-soumis, et celui
anormal.
Le sens de l’empathie est bien plus
que
ce que le concept réducteur que
la
société dominant-soumis défini.
Le sens de
l’empathie est la capacité à connaître la force vitale
fondamentale, ce que les anciens penseurs chinois du 5ème siècle
avant notre ère avait défini comme étant le « tao »,
cette même force
ayant
procédé
à l’émergence
du
bouddhisme, et du mouvement anarchiste occidental.
Tout
ce qui existe possède ce qu’on nomme « sens de
l’empathie ».
Les animaux possèdent ce sens
qui dans leur cas s’accorde parfaitement avec l’exercice du
rapport dominant-dominé, ils vivent en harmonie avec le tao tout
en connaissant le rapport dominant-dominé, qui dans leur cas est
fluctuant, jamais fixe, évanescent.
Mais dans le cas
de l’animal humain, car l’humain est aussi un animal,
l’expansion de sa capacité intellectuelle et l’expansion de
sa capacité à l’empathie interdisent de continuer dans la
voie comportementale animale, du rapport dominant-dominé.
C’est
ce qu’avait résumé Danielle Elisseeff avec l’empereur
chinois Liang Wudi, converti au bouddhisme, qui jugeait
intolérable que la « vie se nourrisse de la vie ».
Documentation
:
Livre de Danielle Elisseeff: Histoire de la Chine Les
racines du présent. Éditions du Rocher
1997.
http://aredam.net/Histoire-de-la-Chine-Danielle-Elisseeff-Les-racines-du-present-1997.html
Passage sur l’empereur Liang
Wudi
http://the-key-and-the-bridge.net/liang-wudi.pdf
Ce qui s’oppose à l’évolution humaine pour
s’extraire de l’ordre ancien animal est la force d’inertie,
le conservatisme, la pesanteur des structures qui se sont mises
en place avec l’apparition de la vie biologique sur la planète
terre, il y a environ 4 milliards d’années.
Cette
force d’inertie s’est formalisée dans les religions du
Proche-Orient, judaïsme et ses progénitures
christianisme
et islam, et plus à l’Est avec l’hindouisme, une manière de
judaïsme non-universaliste, auto-centré, et dans l’instauration
généralisée de l’ordre ancien animal qu’on dénomme
société hiérarchisée.
Les poussées novatrices
adaptées à l’état intellectuel et émotionnel humain sont le
taoïsme, le bouddhisme et l’anarchisme.
C’est
cette inadaptation au présent et cet enfermement dans le passé
qui provoque l’état de guerre permanent, qui existe à la fois
au sein de chaque société, et entre sociétés étrangères
entre elles.
Cet état de guerre inhérent à cette
inadaptation ne cessera que quand le type de société
dominant-dominé sera abandonné.
3 –
L’unique découverte du dispositif « psy », la
dissociation de l’individu.
Le dispositif « psy »
est l’une des manifestations de la force d’inertie tendant à
conserver l’espèce humaine dans l’état social
dominant-dominé.
Le dispositif « psy » a
au moins fait une découverte, mais dont ce dispositif ne peut
évidemment pas en comprendre la signification.
Cette
découverte est celle de la dissociation mentale de
l’individu.
Cette dissociation se manifeste
clairement chez les individus ayant subi très tôt dans leur vie
une domination extrême.
Mais l’état de
dissociation est présent chez tous les individus dits normaux,
soit structuré intérieurement selon le principe fondamental de
la société normale, soit le rapport dominant-dominé.
L’état
dissocié est l’état normal.
Seul l’état
dissocié permet de réduire, voire de détruire, ou d’enkyster
le sens de l’empathie pour que l’individu puisse supporter de
vivre dans une société hiérarchisée.
Le sens de
l’empathie est un sens intégrateur, l’individu s’intègre
dans l’Univers grâce à ce sens, et il est s’auto-intègre,
il devient
un,
unique, ce que signifie individu.
L’état normal
dissocié est un état anti-intégrateur, il chasse le sens
intégrateur
de
l’empathie.
Le sens de l’empathie permet d’aller
vers le Un, le tout, à la fois global, l’Univers, la totalité,
et intérieurement, vers l’épanouissement individuel. L’accès
à la totalité, à l’Univers, n’est possible que chez les
individus épanouis.
L’enkystement du sens de
l’empathie a pour corollaire de couper l’individu de
l’Univers, car le sens de l’empathie relie aussi l’individu
à l’Univers, et à le fragmenter en des sous-individualités
multiples..
Ce qu’on nomme état dissocié, est une
division de la personnalité en deux sous-personnalités, voire
plus, chaque sous-personnalité prenant l’un des deux rôles
présents dans la société hiérarchisée, soit le rôle du
dominant, soit le rôle du dominé, et à d’autres variantes à
l’infini de ces deux rôles entremêlés, hybridés.
L’individu
normal peut ainsi supporter de vivre en société hiérarchisée,
soit comme dominant car il possède aussi une sous-personnalité
dominée qui lui permet de communiquer avec la masse dominée qui
ne lui est pas étrangère et dont il fait partie, soit dominée
avec une sous-personnalité dominante, qui lui permet d’accepter
les ordres du dominant en qui il se reconnaît.
La
division de la personnalité est due au dressage, au
conditionnement dès l’enfance, et même dès la
naissance.
Les anormaux sont soit ceux qui n’ont pas
été dressés dès l’enfance à la division de leur
personnalité, soit ceux dont le dressage a été trop violent,
et cela produit des personnalités
trop
divisées, ce que le dispositif « psy » dénomme les
TDI troubles dissociatif de l’identité.
Mais ce que
le « psy » ne peut voir chez les dits TDI, étant
lui-même dissocié, est qu’il ne s’agit pas d’un état
anormal, mais hyper-normal, d’un excès de normalité.
Ce
qui est anormal est de ne pas être dissocié, et ces anomalies
finissent souvent dans les hôpitaux psychiatriques.
Ce
que les « psy » dénomment paranoïa, schizophrénie
et autre manie, sont des manifestations d’un état
dissociatif.
Pour résumer, le « psy » est
en charge de mettre à l’écart les individus non-dissociés,
qui deviennent souvent dérangeants pour l’ordre car politisés,
et les trop dissociés, qui deviennent dérangeant pour l’ordre
car ils ne peuvent tenir une place sociale prédéterminée.
Le
dispositif psy est la parois du kyste qui enserre le sens de
l’empathie, ou le mur qui sépare les personnalités multiples
entre elles d’un individu dissocié. Le mur qui exclu le sens
de l’empathie au sein de l’individu, et le mur qui sépare
les personnalités multiples entre elles, est le même.
Le
personnel « psy » se recrute parmi les individus les
plus dissociés, qui ne peuvent trouver à s’intégrer
socialement que comme incarnation de la séparation intérieure
qui doit exister chez l’individu normal dans une société
hiérarchisée.
Le « psy » s’identifie
à un mur qui enclos, qui coupe, qui sépare, qui casse une
continuité.
4 –
Documentation
(films, documentaire, livre, compte Tik Tok).
Trois
films :
Giordano Bruno, 1973, de Giuliano Montaldo, en
italien, sous-titré en anglais
https://ok.ru/video/1402171886105
Galileo, 1968, de Liliana Cavani, en
français
https://ok.ru/video/9116869659161
L’œuvre au noir, 1987, de
François
Delvaux, en
français
https://archive.org/details/delvaux-1988-l-oeuvre-au-noir/Delvaux-1988-L_oeuvre+au+noir.mp4
Un documentaire :
Schizophrénia, 2001,
Vita Zelakevciute, en français
Internement des dissidents
dans l’ex-URSS
https://ok.ru/video/9422975929082
Un documentaire fiction :
Le jeu de la
mort, 2009, Gilles Amado, Thomas Bornot, en
français
https://ok.ru/video/9449400634106
Un compte Tik
Tok
https://www.tiktok.com/@ombre_lumiere222
« Anti-psychiatrie », ou une autre
forme de psychiatrie
Un livre :
Le Moi
divisé, 1960, Ronald
Laing
https://www.aredam.net/ce-que-donne-a-reflechir-l-antipsychiatre-ronald-d-laing.html
Un film :
Family life, 1971, Ken
Loach
https://ok.ru/video/9303715023566
5 – Illustration.
Dessin :
pointage mensuel au Commissariat psychiatrique
politique
http://the-key-and-the-bridge.net/pointage-psychiatrique.pdf
http://the-key-and-the-bridge.net/pointage-psychiatrique.html
6
– Texte sur la psychiatrie écrit en juillet 2018
(Fautes
d’orthographe conservées)
Ce que donne à réfléchir
l'antipsychiatre Ronald David Laing.
Texte de Michel Dakar,
chercheur en politique globale, Villequier ex-France, province de
l'Empire israélo-US en voie de désintégration, le 20 juillet
2018.
http://www.aredam.net/ce-que-donne-a-reflechir-l-antipsychiatre-ronald-d-laing.html
Un
psychiatre et un antipsychiatre sont une même chose, le mot
psychiatre désignant un obstacle à l'émancipation de l'ordre
social, qu'il soit anti ou non ne change rien à sa fonction. On
est ou on n'est pas un psychiatre, un antipsychiatre est un
psychiatre.
Le psychiatre assume pour les autres
membres du groupe le rôle d'obstacle à l'émancipation de
chaque individu du groupe envers le groupe. Tous les membres du
groupe portent un psychiatre en eux, sauf ceux qui cherchent à
s'émanciper de l'ordre du groupe, les dissidents.
Les
dissidents peuvent apparaître selon les circonstances
géographiques, historiques et politiques, sous diverses
appellations, comme des hérétiques, des dissidents politiques
du type soviétiques, des malades mentaux psychopathes et autres
appellations médicales dont la plus connue est schizophrènes.
Ordre religieux, politique et médical, ces trois
domaines ne font qu'un, il s'agit de l'ordre du groupe et il est
par essence totalitaire, c'est à dire qu'il dépossède
l'individu de son individualité, de sa personnalité, de son
être.
Le dissident est celui qui possède son
individualité, sa personnalité, son être, à l'opposé des
uniformes, des non-personnes, des non-êtres, qui ont perdu leurs
individualités, leurs personnalités, leurs êtres.
Ce
qu'on nomme malade mental, fou, appartient à la catégorie
générale des dissidents, et à l'une de ses sous-catégories,
celle des dissidents dont les capacités pour faire face à la
pression du groupe n'étaient pas suffisantes pour qu'il puisse
se préserver et qui a dû utiliser la fuite pour ne pas devoir
se soumettre à l'ordre du groupe, c'est à dire devenir lui-même
un uniforme, une non personne, un non-être. La fuite est dans le
cas de ce type de dissident est dans la création d'une attitude,
d'un comportement qui le met hors d'atteinte du groupe, tout en
étant présent physiquement au sein du groupe, ce qui fait
enrager le groupe. Le dissident de ce type se fait
« insaisissable », les délégués du groupe que sont
les psychiatres, les psychologues, les psychanalistes s'épuisent
à interprêter le comportement de ce type de dissident,
comportement qui est conçu justement pour être
ininterprétable.
Ainsi, ceux qu'on nomme les malades
mentaux, enfermés dans les hôpitaux psychiatriques et
« soignés » par le corps dit médical, sont les
seuls individus et les seuls qui soient sains dans ces lieux. Ils
sont incarcérés par des vrais malades dépossédés de leurs
personnalités, des non-personnes, des non-êtres. Pour sortir de
ces lieux, l'individu sain doit feindre de devenir malade, comme
les psychiatres et autres soignants.
La profession de
psychiatre fait partie de cette catégorie de profession que les
anciens anarchistes qualifiaient de haïssable, comprenant les
hommes de loi, les bourreaux, les policiers, les militaires de
carrière, les religieux. On peut y rajouter les professions
modernes comme les politiciens, les propagandistes, les employés
des médias, des secteurs de l'information, de la culture, de la
distraction et du sport.
Le cas de Laing est rare, car
il s'agit de l'un de ces employés de ces professions haïssables,
qui s'est réveillé, quoique pas entièrement. Il est resté en
demi-sommeil toute sa vie, pour finir par se rendormir
totalement, devenant sur la fin, une sorte de gourou sectaire. Il
était si mal à l'aise dans sa peau, qu'il se faisait
réconforter par ceux qui étaient intitulés malades mentaux.
Lui au moins le déclarait ouvertement, et même l'écrivait.
Cela doit être le cas de beaucoup de non-personnes qui font
profession de « soigner » les « malades
mentaux », qui en réalité pansent leurs mal-être grâce
à ceux qui sont sains.
On peut imaginer comme pour
Laing, un juge se réveillant en plein tribunal et se demandant
ce qu'il accomplit là, de même pour un bourreau en train de
procéder à une exécution publique, un tortionnaire torturant
un prisonnier politique etc …
On attend celui ou
celle qui inventera le gaz à disperser qui réveille les
non-êtres.
Il existe deux types d'aliénés, l'aliéné
de soi, c'est à dire l'étranger à lui-même, c'est le cas des
non-personnes, des non-êtres membres du groupe, et l'aliéné au
groupe, c'est à dire l'étranger au groupe, qui est le
dissident, c'est à dire une personne, un être.
Ronald
D. Laing a passé sa vie dans un état de confusion constant,
étant à la fois pourvoyeur d'inconscience, de répression
mentale, d'endormissement, et d'éveil, de libération. Ses
livres sont à prendre comme les manifestations d'un combat
intérieur qui n'a jamais pris fin. Il n'a visiblement pas
compris la nature de ce combat, ni qu'un combat se livrait en
lui.
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