Détruire
les racines de la vie
Le but ultime du futur ordre
mondial
Mais peut-il être atteint ?
Communication
de Michel Dakar, le 24 janvier
2024
http://the-key-and-the-bridge.net/destroy-the-root-of-life.html
Nous
ne sommes pas du tout pris dans une spirale négative de
régression, mais au contraire nous parvenons à l’apogée du
système social fondé sur le principe du binôme maître-esclave,
l’inégalité, la société de classes, le rapport de
domination et de soumission.
Ce système s’est mis
en place il y a environ 10 000 ans lors de l’organisation
humaine en société sédentaire, provoquant la rupture de la
société humaine de son environnement naturel par la formation
des cités, puis la formation au cœur de ces cités d’un
pouvoir centralisé, ce pouvoir central et ses affidés formant
la classe des maîtres, le reste de la communauté humaine, la
masse, formant les serviteurs des maîtres, plus clairement
dénommés esclaves.
Pour maintenir cet état par
essence instable, car frustrant et douloureux pour la masse,
apparue la religion, un procédé d’intériorisation dans
l’esprit de chaque individu, de la structure en classe de la
société où il naît, vit et meurt, et le personnage du prêtre
en charge, du conditionnement des individus, appartenant à la
caste des maîtres.
Au début, le chef de la caste
des maîtres, le roi, était aussi le grand prêtre, royauté et
prêtrise étaient confondues en un seul personnage.
La
société humaine devenant de plus en plus complexe, il fut utile
au fonctionnement social de créer des castes intermédiaires
entre celle des maîtres et celle des esclaves, les individus
appartenant à ces castes jouissant de plus ou moins
d’indépendance, d’autonomie.
Il s’agissait d’un
nécessaire octroi de parcelles d’autonomie, de pouvoir par la
caste des maîtres à des classes inférieures, dans son intérêt,
car des fonctions sociales plus complexe nécessitaient que des
individus jouissent de plus de prérogatives, de capacité
d’initiatives que les simples esclaves.
Maintenant
on retourne à la source.
Il n’est plus besoin de
ces classes d’intermédiaires, le progrès des technologies
permettant de les effacer, et de ne conserver que les deux
classes originelles, celles des maîtres et celle des
esclaves.
Mais alors qu’à l’origine, il fallut
créer le phénomène religieux afin de maintenir les individus
appartenant à la masse dans l’acceptation de leur « non-vie »,
il faut que la classe des maîtres trouve à présent un nouveau
procédé afin de maintenir stable ce système maître-esclave
par essence instable.
Les moyens technologiques
modernes, qui n’existaient pas il y a environ 10 000 ans,
permettent maintenant de s’attaquer à la racine même de ce
qui rend ce système instable.
Ce qui rend ce système
de classes instable n’est pas autre chose que la vie.
Tout
ce qui vit désire le bonheur, le système maître-esclave est à
l’opposé de la vie, du bonheur.
C’est pourquoi
toute sa brève histoire de 10 000 ans, durée qui est quasi
impalpable par rapport à la durée de l’apparition de la vie
sur Terre, environ 4 milliards d’années (400 000 fois plus
longue), n’est que le récit d’un effort perpétuel, une
guerre multiforme permanente, pour se maintenir en place.
La
technologie actuelle permet de s’attaquer à ce qui fait la
vie, soit à la racine de la vie.
Il s’agit de
détruire le désir de vivre, en détruisant le désir de vivre,
l’esclave sera heureux d’être à sa place, ou plutôt il ne
sera pas heureux, car il ne ressentira pas le malheur, il sera
au-delà du malheur et du bonheur.
Ce qui est au-delà
du bonheur et du malheur ne vit pas, c’est une chose.
Il
faut donc réduire ce qui vit à l’état de chose.
C’est
pourquoi toute la science, qui en fait a disparue, il n’y a
plus de science actuellement, mais toute la technologie est
orientée vers la destruction des racines de la vie.
Dans
le domaine biologique, cette destruction frappe le code
génétique, cela apparaissant à travers ces pseudo-vaccin
anti-covid, manipulant le code génétique à base d’acides
nucléiques, les virus génétiquement modifiés mis en
circulation pour justifier l’introduction forcée de ces
pseudo-vaccins, en agriculture et dans l’élevage, les
modifications génétiques apportées aux plantes et aux
animaux.
La question se pose, est-il possible à la
vie de se détruire elle-même ?
Car cela revient
à cela, l’espèce humaine et son épisode récent remontant à
10 000 ans fait partie de la vie, le système maître-esclave
fait partie de la vie, il s’agit donc bien d’une évolution
de la vie qui mène à la destruction de la vie.
La
réponse est évidemment non.
La vie est
indestructible, elle est au-delà de la création et du néant,
elle ne connaît pas la durée, un commencement et une fin, elle
est perpétuelle transformation.
Ce qui va se passer,
c’est que la facette minuscule de la vie dénommée espèce
humaine, va se chosifier, elle va devenir une chose comme un
caillou, une planète dite morte, comme la Lune.
Il ne
faut pas oublier une chose, d’importance, c’est la notion de
système.
Un système est déjà une chose. C’est
une mécanique, un objet qui fonctionne. Un système a un début,
une fin, une détermination - unique, c’est de fonctionner, ce
qui signifie se perpétuer.
Le binôme maître-esclave
est un système, c’est une forme de non-vie, qui parvenant au
stade épanouit de son évolution matériellement se chosifie,
c’est ce à quoi nous assistons.
Dans un système,
toutes se parties, ses éléments sont des choses, des rouages,
comme dans un moteur.
Le maître, comme l’esclave
sont des choses.
L’idéal d’un système qui est
une chose, est de devenir éternel.
Ce qui tend à
l’éternité et qu’on connaît déjà, ce sont par exemple
les pyramides égyptiennes, qui sont des choses-tombes.
Notre
espèce va donc devenir une espèce-tombe.
La question
qui reste à poser est la suivante :
Est-il
possible pour ses composants de sortir d’un état de
système ?
Cela revient à poser la question plus
spécifique :
Est-il possible de changer d’ordre
social, de passer d’un ordre inégalitaire à un ordre
égalitaire ?
Un ordre égalitaire n’étant pas
un système et ne transformant pas ses composants en choses.
La
preuve en est que, pour qu’il y ait système, il faut au moins
qu’il y ait deux types de composants au minimum, de façon à
ce qu’il y ait articulation et fonctionnement mécanique. C’est
le cas d’un ordre où existe deux types d’humains, le maître
et l’esclave.
Or, dans un ordre égalitaire il
n’existe qu’un type d’humain, un humain qui n’est ni
maître ni esclave.
A nous de choisir.
Texte
transmis aux russes, chinois, iraniens, turcs, et autres
anti-Occidentaux, car en Occident, il n’y a plus rien à
espérer.
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