Du
				judaïsme au sionisme 
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				Du
				judaïsme au sionisme, par des extraits de la Torah (Deuteronome
				et Psaumes), et des citations d'auteurs, d'idéologues et de
				chefs d'Etat sionistes, où, de la perpétuation à travers les
				siècles d'une idéologie de la haine, du racisme, de la
				xénophobie, du génocide, de l'accaparement, et de la
				domination. 
				1
				- Extraits du Deuteronome et des Psaumes. 
2 - Citations de
				sionistes célèbres. 
				  
				  
				  
				1
				- Extraits du Deuteronome et des Psaumes : 
				 
				  
				Deuteronome
				6 – 10 à 6 – 11, 
				«
				Lorsque Yahweh, ton dieu, t'aura fait entrer dans le pays qu'il a
				juré à tes pères, à Abraham, à Isaac et à Jacob, de te
				donner : grandes villes que tu n'as pas bâties, maisons pleines
				de toutes sortes de biens que tu n'as pas remplies, citernes que
				tu n'as pas creusées ; vignes et oliviers que tu n'as pas
				plantés ; lorsque tu mangeras et te rassasieras, garde-toi
				d'oublier Yahweh, qui t'a tiré du pays d'Egypte. » 
				Deuteronome
				7 – 1 à 7 – 4, 
				«
				Lorsque Yahweh, ton dieu, t'aura fait entrer dans le pays, où tu
				vas pour en prendre possession, et qu'il aura chassé devant toi
				beaucoup de nations, les Hittites, les Guirgachites, les
				Amorrhéens, les Chananéens, les Périzzites, les Hiwwites et
				les Jébuzéens, sept nations plus nombreuses et plus puissantes
				que toi, et que Yahweh, ton dieu, te les aura livrées et que tu
				les auras battues, tu les anathémiseras, tu ne concluras pas
				d'alliance avec elles et tu ne leurs feras point grâce. Tu ne
				contracteras pas de relations matrimoniales avec elles, tu ne
				donneras pas tes filles à leurs fils, et tu ne prendras pas
				leurs filles pour tes fils. » 
				 
				Deuteronome
				7 – 6, 
				«
				Car toi, tu es un peuple saint, consacré à Yahweh, ton Dieu.
				C'est toi que Yahweh, ton Dieu, a choisi pour devenir son peuple
				particulier, d'entre tous les peuples qui sont sur la face de la
				terre. Ce n'est pas parce que vous êtes plus nombreux qu'aucun
				des autres peuples que Yahweh s'est attaché à vous et vous a
				choisis, car vous êtes le plus petit de tous les peuples. Mais
				c'est parce que Yahweh vous aime et parce qu'il garde le serment
				qu'il a fait à vos pères, que Yahweh vous a fait sortir à main
				puissante et vous a rédimés de la maison de servitude, de la
				main de pharaon, roi d'Egypte. Tu sauras donc que c'est Yahweh,
				ton Dieu, qui est le Dieu, le Dieu fidèle qui garde l'alliance
				et la bienveillance jusqu'à mille générations, pour ceux qui
				l'aiment et qui garde ses commandements ; mais il rend la
				pareille directement à qui le hait ouvertement, en les
				détruisant ; il ne tarde pas envers qui le hait de lui rendre la
				pareille en personne. Tu observeras donc les commandements, les
				lois et les ordonnances que je te commande aujourd'hui, en les
				mettant en pratique. 
				 
				15
				– 1 à 15 - 3, 
				«
				A la fin de chaque septième année, tu feras rémission. Voici
				comment se pratiquera la rémission : que quiconque détient une
				créance remette ce qu'il a prêté à son prochain ; il ne
				pressera pas son prochain ni son frère, quand on aura publié la
				rémission de Yahweh. Tu pourras presser l'étranger ; mais pour
				ce qui t'appartient chez ton frère, tu le remettras. » 
				 
				Deuteronome
				15 – 6, 
				«
				Car Yahweh, ton Dieu, te béniras, comme il te l'a dit, tu
				prêteras à beaucoup de nations, et toi tu n'emprunteras pas ;
				tu domineras sur beaucoup de nations, mais sur toi on ne dominera
				pas. » 
				 
				Deuteronome
				17 – 15, 
				«
				Tu pourras te constituer un roi, celui que Yahweh, ton dieu, aura
				choisi, c'est entre tes frères que tu te constitueras un roi, tu
				ne pourras pas te soumettre à un étranger, parce qu'il n'est
				pas ton frère. » 
				 
				Deutéronome
				10/15, 
				"
				Israël est le peuple élu entre toutes les nations ". 
				Deutéronome
				14/2, 
				"
				Le Seigneur t'a choisi pour être son peuple à Lui parmi tous
				les peuples de la terre ". 
				Deutéronome
				1/13, 
				"
				Lorsque Yahweh ton Dieu aura exterminé les nations dont Yahweh
				ton Dieu te donnes le pays. 
				 
				Deutéronome
				7/3, 
				"
				Tu ne contracteras pas de relations matrimoniales avec elles (les
				populations non-juives), tu ne donneras pas tes filles à leurs
				fils, et tu ne prendras pas leurs filles pour tes fils. 
				Deutéronome
				7 – 16, 
				«
				Tu dévoreras tous les peuples que Yahweh, ton dieu, te livre ;
				ton œil sera sans pitié pour eux. » 
				 
				Deutéronome
				7 – 20, 
				«
				Yahweh, ton dieu, enverra même sur eux des guêpes jusqu'à ce
				que périssent ceux qui auront pu rester et se cacher devant toi.
				» 
				Deuteronome
				11 – 23, 
				«
				Yahweh chassera toutes ces nations devant vous, et vous vous
				soumettrez des nations plus grandes et plus puissantes que vous
				». 
				 
				Deuteronome
				12 – 29, 
				«
				Lorsque Yahweh, ton dieu, aura exterminé les nations, dans
				lesquelles tu te rends pour les chasser devant toi, que tu les
				auras chassés et que tu habiteras leurs pays. » 
				 
				Deutéronome
				7 - 24, 
				«
				Yahweh, ton dieu, chassera peu à peu ces nations devant toi ; tu
				ne pourras pas les exterminer rapidement, afin que les bêtes
				sauvages ne se multiplient pas contre toi. Yahweh, ton dieu, te
				les livreras, et il les bouleversera d'un grand bouleversement,
				jusqu'à ce qu'elles soient anéanties. Il te livrera leurs rois,
				et tu feras disparaître leurs noms de dessous les cieux ;
				personne ne tiendra devant toi, jusqu'à ce que tu les aies
				anéantis. » 
				 
				Psaume
				45/17, 
				"
				De tes fils tu feras des princes sur toute la terre ". 
				Psaume
				18/44, 
				"
				Yahweh a mis Israël à la tête de toutes les nations ". 
				Deutéronome,
				12/79, 
				"
				Le Seigneur ton Dieu exterminera les peuples chez qui tu te
				rendras pour les déposséder de leur territoire ". 
				Deutéronome
				28/9 à 28/13 : 
				 
				"
				Yahweh te maintiendra, pour lui en peuple saint, ainsi qu'il te
				l'a juré, si tu observes les commandements de Yahweh, ton Dieu,
				et si tu marches dans ses voies; et tous les peuples de la terre
				verront que le nom de Yahweh est nommé sur toi, ils te
				craindront. Yahweh te fera surabonder de biens, dans le fruit de
				tes entrailles, dans le fruits de tes bêtes et le fruit de ton
				sol, dans le pays que Yahweh a juré à tes pères de te donner.
				Yahweh t'ouvrira son magnifique trésor, le ciel, pour envoyer à
				ton pays la pluie en son temps, et pour bénir tout le travail de
				tes mains. Tu prêteras à beaucoup de nations, et tu
				n'emprunteras pas. Yahweh te mettra à la tête, et non à la
				queue; tu seras uniquement en haut, et tu ne seras pas en bas, si
				tu obéis aux commandements de Yahweh, ton Dieu ... ". 
				Deuteronome
				19 – 1, 
				«
				Lorsque Yahweh, ton dieu, aura exterminé les nations dont
				Yahweh, ton dieu, te donne le pays ; lorsque tu les auras chassés
				et que tu habiteras dans leurs villes et dans leurs maisons. » 
				 
				Deuteronome
				20 – 10 à 20 – 16, 
				«
				Lorsque tu t'approcheras d'une ville pour la combattre, tu lui
				offriras la paix. Si elle te fais une réponse de paix et s'ouvre
				à toi, tout le peuple qui s'y trouvera te sera tributaire et te
				servira. Si elle ne fait pas la paix avec toi, et qu'elle veuille
				te faire la guerre, tu l'assiègeras et, quand Yahweh, ton dieu,
				te l'aura livrée, tu passeras tous les males au fil de l'épée.
				Mais les femmes, les enfants, le bétail, et tout ce qui sera
				dans la ville, tout son butin, tu le pilleras pour toi, et tu
				pourras manger le butin de tes ennemis que Yahweh, ton dieu,
				t'auras donné. C'est ainsi que tu agiras à l'égard des villes
				éloignées de chez toi, et qui ne sont pas des villes de ces
				nations-ci. 
				 
				Mais
				quant aux villes de ces peuples que Yahweh, ton dieu, te donne en
				propriété, tu n'y laisseras la vie à rien de ce qui respire. » 
				Deuteronome
				23 - 20, 
				Tu
				n'exigeras pas de ton frère un intérêt pour argent, ni intérêt
				pour vivre, ni intérêt pour autre chose qui se prête à
				intérêt. Tu exigeras un intérêt de l'étranger, mais tu
				n'exigeras pas d'intérêt de ton frère. » 
				 
				Deuteronome
				26 – 18 à 26 – 19, 
				«
				Et Yahweh t'a fait dire aujourd'hui que tu veux lui devenir un
				peuple particulier, comme il te l'a dit, et observer tous ses
				commandements, et ainsi te rendra-t-il supérieur à toutes les
				nations qu'il a faites, en gloire, en renom et en splendeur, et
				fera-t-il de toi un peuple saint à Yahweh, ton Dieu, comme il
				l'a dit. » 
				 
				Psaume
				2, 7 à 9 
				 
				«
				Et moi (Yahweh), j'ai établi mon roi sur Sion, ma montagne
				sainte 
				 
				Je
				vais publier le décret de Yahweh : Yahweh m'a dit : tu es mon
				fils, moi-même, aujourd'hui, je t'ai engendré. 
				 
				Fais
				m'en la demande, et je te donnerai les nations pour héritage, 
				 
				Tu
				les régiras avec une houlette de fer ; comme le vase du potier
				tu les mettras en pièces. » 
				Psaume
				47, 17 et 18 
				 
				«
				Tes enfants prendront la place de tes pères ; 
				 
				tu
				les établiras comme princes sur toute la terre. » 
				 
				 
 
				 
				2
				- Citations de sionistes célèbres : 
				«
				Nous devons expulser les arabes et prendre leur place ».  
David
				Ben Gurion 1937, futur premier ministre d’Israël. 
				 
«
				Nous devons tuer tous les palestiniens à moins qu’ils ne
				soient résignés à vivre en tant qu’esclaves ».  
Président
				Heilbrun, du comité pour la réélection du général Shlomo
				Lehat, maire de Tel-Aviv, octobre 1987. 
				 
«
				« Nous devons utiliser la terreur, les assassinats,
				l’intimidation, la confiscation des terres et l’arrêt de
				tous les programmes sociaux afin de débarrasser la Galilée de
				sa population arabe ».  
Israël Koenig, « The Koenig
				memorandum ». 
				 
«
				La seule solution est Eretz Israel (Grand Israël), ou au moins
				Eretz Israel Ouest (toutes les terres à l’ouest du Jourdain),
				sans les arabes. Il n’y a pas de place pour un compromis sur ce
				point. Nous ne devons pas laisser un seul village, pas une seule
				tribu ».  
Joseph Weitz, directeur du Fond national juif,
				1973. 
				 
«
				Une terre sans peuple avec un peuple sans terre »,  
Israel
				Zangwill (propagandiste sioniste), il y a environ cent ans. 
				 
Après
				avoir visité la Palestine en 1891, l’essayiste hébreu Achad
				Ha-Am a commenté : « A l’étranger nous sommes habitués à
				croire qu’Israël est presque vide ; que rien n’y pousse et
				celui qui veut acheter de la terre peut aller là-bas acheter les
				terres qu’il désire. En réalité, la situation n’est pas
				ainsi. Dans ce pays, il est difficile de trouver une terre
				cultivable qui ne soit déjà cultivée ». 
				 
				 
«
				Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n’y
				a personne à qui les rendre ».  
Golda Meir, premier
				ministre d’Israël, 8 mars 1969. 
				 
«
				Il n’y a jamais rien eu de tel puisque les palestiniens n’ont
				jamais existé ».  
Golda Meir, premier ministre israélien,
				15 juin 1969. 
				 
«
				« Les palestiniens » seront écrasés comme des sauterelles …
				leurs têtes éclatés contre les rochers et les murs ».
				 
Yitzhak Shamir, premier ministre israélien, 1er avril
				1988. 
				 
«
				Le sang juif et le sang des « goys » (non-juifs) ne sont pas
				les mêmes ».  
Le rabbin israélien Yitzhak Ginsburg,
				concluant que tuer n’est pas un crime si les victimes ne sont
				pas juives. Jerusalem Post, 19 juin 1989. 
				 
«
				Chasser la population pauvre (les arabes) au-delà de la
				frontière en lui refusant du travail. Le processus
				d’expropriation et de déplacement des pauvres doit être mené
				discrètement et avec circonspection ».  
Théodore Herzl,
				fondateur de l’Organisation sioniste mondiale, note du 12 juin
				1895. 
				 
Description
				par Rabin de la conquête de Lydda, après l’achèvement du
				plan Dalet. « Nous réduirons la population arabe à une
				communauté de coupeurs de bois et de serveurs ».  
Uri
				Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes de Ben Gurion,
				1960, tiré de « The Arabs in Israel » par Sabri Jiryias. 
				 
«
				Les palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez
				de viande, plus ils en veulent … ».  
Ehud Barak, premier
				ministre israélien, 28 août 2000, Jerusalem post du 30 août
				2000. 
				 
«
				Les palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux jambes ».
				 
Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans Amnon
				Kapeliouk, « Begin and the beast » «(Begin et les bêtes), New
				Statesman, 25 juin 1982. 
				 
«
				Il y a une énorme différence entre nous (les juifs), et nos
				ennemis. Pas seulement dans la capacité, mais dans la morale, la
				culture, le caractère sacré de la vie et la conscience. Ils
				sont nos voisins ici, mais c’est comme si à quelques centaines
				de mètres, il y avait un peuple qui n’appartenait pas à notre
				continent, à notre monde, qui appartenait véritablement à une
				autre galaxie ».  
Président israélien Moshe Katsav,
				Jerusalem Post, 10 mai 2001. 
				 
«
				Nous devons tout faire pour nous assurer qu’ils (les
				palestiniens) ne reviennent pas » … « Les vieux mourront et
				les jeunes oublieront ».  
David Ben Gurion, journal du 18
				juillet 1948. 
				 
«
				Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus aux
				arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués dans une
				bouteille ».  
Raphael Eitan, chef d’Etat major des forces
				de défense israéliennes (Tsahal), New york Times, 14 avril
				1983. 
				 
«
				La thèse d’un danger d’un génocide qui nous menaçait en
				juin 67 et qu’Israêl se battait pour son existence physique
				était seulement du bluff, créé et développé après la guerre
				». Général Matityaha Pelet, Ha’aretz, 19 mars 1972. 
				 
«
				C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer à
				l’opinion publique, clairement et courageusement, un certain
				nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps. Le premier
				de ces faits, c’est qu’il n’y a pas de sionisme, de
				colonisation ou d’Etat juif, sans l’éviction des arabes et
				l’expropriation de leurs terres ».  
Yoram Bar Poreht,
				Yediot Aahronot, 12 juillet 1972. 
				 
«
				La population doit se préparer à la guerre, mais il revient à
				l’armée israélienne de poursuivre le combat avec l’objectif
				ultime qui est la création de l’Empire israélien ». Moshe
				Dayan, ministre israélien de la défense et des affaires
				étrangères, 12 février 1952 Radio Israel. 
				 
«
				Des villages juifs ont été construits à la place des villages
				arabes. Vous ne connaissez pas le nom de ces villages et je ne
				vous le reproche pas, car les livres de géographie n’existent
				plus. Et non seulement les livres, mais les villages n’existent
				plus. Nahahal a remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat a remplacé
				Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et Kafr Yehoushua
				celle de tel Shaman. Il n’y a pas un seul endroit dans ce pays
				qui n’a pas une ancienne population arabe ».  
Moshe
				Dayan, discours au Technion, Haifa, repris dans Ha’aretz, 4
				avril 1969. 
				 
«
				… si les gens s’habituent à cette donnée et que nous soyons
				réellement obligés d’accepter le retour des réfugiés, il
				pourrait être difficile pour nous, quand nous seront confrontés
				à des hordes de plaignants, de convaincre le monde qu’ils ne
				vivaient pas tous sur le territoire israélien. Quoi qu’il
				arrive, il serait souhaitable de réduire au minimum leur nombre
				… sinon ». 
Arthur Lourie, responsable israélien, dans
				une lettre à Walter Eytan, directeur général du ministère des
				affaires étrangères israélien (ISA FM 2564/22). D’après
				Benny Morris, « Naissance du problème des réfugiés
				palestiniens 1947-49 », p. 297. 
				 
«
				Une réconciliation volontaire avec les arabes est hors de
				question, que ce soit maintenant ou dans le futur. Si vous
				souhaitez coloniser un pays dans lequel une population vit déjà,
				vous devez fournir une armée pour le pays ou trouver quelque
				riche personne ou bienfaiteur qui vous la fournirait. Sinon,
				abandonnez la colonisation, parce que sans une force armée, qui
				rendrait physiquement impossible toute tentative de détruire ou
				d’empêcher cette colonisation, la colonisation sera
				impossible, pas difficile, pas dangereuse, mais IMPOSSIBLE. Le
				sionisme est une aventure de colonisation et c’est pour cela
				qu’elle est dépendante d’une force armée. Il est important
				… de parler hébreu, mais malheureusement, il est encore plus
				important d’être capable de tirer, ou bien je termine le jeu
				de la colonisation. 
Vladimir Jabotinsky, fondateur du
				sionisme révisioniste (précurseur du likoud), Le Mur de fer,
				1923. 
				 
«
				La colonisation sioniste doit être exécutée contre la volonté
				de la population autochtone. 
C’est pourquoi cette
				colonisation doit continuer seulement sous la protection d’une
				puissance indépendante de la population locale, tel un mur de
				fer capable de résister à la pression de la population locale.
				Ceci est notre politique à l’égard des arabes. 
Vladimir
				Jabotinsky, Le Mur de fer, 1923. 
				 
«
				Entre nous soit dit, il doit être clair qu’il n’y a pas de
				place pour deux peuples dans ce pays. Nous n’atteindrons pas
				notre but si les arabes sont dans ce pays. Il n’y a pas
				d’autres possibilités que de transférer les arabes d’ici
				vers les pays voisins - tous. Pas un seul village, pas une seule
				tribu ne doit rester. 
Joseph Weitz, chef du département
				colonisation de l’Agence juive en 1940, tiré de « A solution
				to the refugee problem ». 
				 
«
				Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en
				Chine lorsque l’attention du monde s’est focalisée sur ce
				pays, pour mettre à exécution des expulsions massives parmi les
				arabes des territoires ». 
Benyamin Netanyahu, alors député
				israélien au ministère des affaires étrangères, ancien
				premier ministre d’Israël, s’exprimant devant des étudiants
				à l’université de Bar Ilan, tiré du journal israélien «
				Hotam », du 24 novembre 1989. 
				 
«
				A-t-on vu un seul peuple abandonner son territoire de sa propre
				volonté ? De la même façon, les arabes de Palestine
				n’abandonneront pas leur souveraineté sans l’usage de la
				violence ». 
Vladimir Jabotinsky (fondateur et partisan des
				organisations terroristes sionistes), cité par Maxime Rodinson
				dans « Peuple juif ou problème juif » (Jewish people or jewish
				problem). 
				 
«
				Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord
				avec Israël. C’est normal, nous avons pris leur pays. C’est
				vrai que Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela les concerne ?
				Notre dieu n’est pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme, les
				nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur faute ? Ils ne
				voient qu’une seule chose : nous avons volé leur pays.
				Pourquoi devraient-ils l’accepter ? 
David Ben Gurion, le
				premier ministre israélien, cité par Nahum Goldman dans le
				paradoxe juif, p. 121. 
				 
«
				Nous déclarons ouvertement que les arabes n’ont aucun droit de
				s’établir sur ne serait-ce un seul centimètre du Grand Israël
				… 
La force est l’unique chose qu’ils comprennent. Nous
				devons utiliser la force absolue jusqu’à ce que les
				palestiniens viennent ramper devant nous ». 
Raphael Eitan,
				chef d’Etat-major des forces de la défense israéliennes. Gad
				Becker, Yediot Aharonot, 13 avril 1983, New York Times, le 14
				avril 1983. 
				 
«
				Si l’assemblée générale devait voter par 121 voix contre une
				le retour aux frontières de l’armistice (frontière d’avant
				juin 1967), Israël refuserait de se plier à cette décision
				». 
Aba Aban, ministre israélien des affaires étrangères.
				New York Times, 9 juin 1967. 
				 
«
				Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que
				l’Amérique fera ceci ou fera cela … 
Je vais vous dire
				quelque chose de très clair : 
Ne vous préoccupez pas de la
				pression de l’Amérique sur Israël, nous, les juifs,
				contrôlons l’Amérique, et les américains le savent ». 
Le
				premier ministre israélien Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à
				Shimon Péres, cité sur la radio Kol Yisrael. 
				 
«
				Parmi les phénomène politique les plus inquiétants de notre
				temps, il y a l’émergence, dans l’Etat nouvellement créé
				d’Israël, d’un parti de la Liberté (Herut), un parti
				politique très proche, dans son organisation, ses méthodes, sa
				philosophie politique et son appel social, des nazis et des
				partis fascistes. Begin et Yitzhak Shamir qui étaient membres de
				ce parti sont devenus premiers ministres ». 
Albert
				Einstein. 
Hana Arendt et d’autres juifs américains
				célèbres, ont écrit dans le New York Times, pour protester
				contre la visite en Amérique de Begin, en décembre 1948. 
				 
«
				La carte actuelle de la Palestine a été dessinée sous le
				mandat britannique. Le peuple juif possède une autre carte que
				les jeunes et les adultes doivent s’efforcer de mener à bien :
				celle du Nil à l’Euphrate ». 
Ben Gurion. 
				 
«
				Nous devons affronter la réalité qu’Israël n’est ni
				innocent, ni rédempteur. Et que lors de sa création et de son
				expansion, nous les juifs avons créé ce dont nous avons
				souffert historiquement : une population de réfugiés dans une
				diaspora ». 
Martin Buber, philosophe juif, s’adressant au
				premier ministre Ben Gurion, sur le caractère moral de l’Etat
				d’Israël en faisant référence aux réfugiés arabes en mars
				1949. 
				 
«
				Quand nous (disciples du judaïsme prophétique) nous sommes
				retournés en Palestine … la majorité des juifs, ont préféré
				apprendre d’Hitler plutôt que de nous ». 
Martin Buber,
				au public de New York. Jewish Newletter, 2 juin 1958. 
				 
«
				Le pouvoir légal d’Hitler était basé sur le « décret de
				loi », qui était voté tout à fait légalement par le
				Reichstag et qui permettait au Führer et à ses représentants,
				en langage simple, de faire ce qu’ils voulaient, ou en langage
				juridique, de publier des décrets ayant pouvoir de loi.
				Exactement le même type de loi votée par la Knesset (le
				parlement israélien) juste après la conquête de 1967,
				accordant au gouvernement israélien, et à ses représentants le
				pouvoir d’Hitler, qu’ils utilisent de façon hitlérienne
				». 
Docteur Israel Shahak, président de la Ligue
				israélienne pour les droits de l’homme et les droits civiques,
				survivant du camp de concentration de Bergen Belsen, commentant
				les lois d’urgence de l’armée israélienne suite à la
				guerre de 1967.  
Palestine, vol. 12, décembre 1983. 
				 
«
				Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gurion. Allon a répété
				sa question : « Que devons-nous faire avec la population
				palestinienne ? » Ben Gurion a levé sa main dans un geste qui
				voulait dire : « Chassez-les » ». 
Yitzhak Rabin, version
				censurée des mémoires de Rabin, publiées dans le New York
				times, 23 octobre 1979. 
				 
A
				l’origine : 
				Le
				gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement
				l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le
				peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la
				réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien
				ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civils et
				religieux des collectivités non-juives en Palestine, ni aux
				droits dont les juifs jouissent dans tout autre pays. 
Déclaration
				de Balfour au Baron Rothschild, le 2 novembre 1917. 
				 
				 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
				 
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