Faire
				face à l’insoutenable 
Oser s’avancer dans l’esprit de
				ceux qui imaginent et mettent en place le monde nouveau 
 
Facing
				the unbearable 
Daring to step into the minds of those who
				are imagining and creating the new world 
 
Communication
				de Michel Dakar, le 30 mai 2025, Villequier en France 
 
Partie
				1 
http://the-key-and-the-bridge.net/facing-the-unbearable-part-1.html
				 
 
 
 
Faire face à l’insoutenable 
Oser
				s’avancer dans l’esprit de ceux qui imaginent et mettent en
				place le monde nouveau 
 
 
Partie 1 
 
Voici
				en introduction une liste de trois questions, quand on aborde une
				recherche, il convient de faire la liste des questions qui
				viennent à l’esprit. 
 
1 - Que sait-on du monde
				nouveau qui se construit à un rythme effréné, à la fois à
				l’insu de l’immense majorité des gens de la masse, et au vu
				et au su de tous ceux qui font une recherche sur ce sujet, les
				créateurs de ce monde nouveau publiant une énorme quantité de
				documents sur leur programme en cours. 
 
2 - Tout
				d’abord, comment se fait-il que si peu, un nombre quasiment
				proche de zéro par rapport au nombre de gens de la masse,
				prennent connaissance de cette immense documentation mise
				ouvertement et d’accès libre, à la disposition de tous ? 
 
3
				- Et troisième question issue de la seconde comment se fait-il
				que cette documentation soit ainsi offerte par ceux qui préparent
				et mettent déjà en œuvre ce qui est un crime inconcevable et
				dans une dimension jamais auparavant abordée, offerte à ceux
				qui seront les victimes impuissantes de ce crime ? 
 
On
				peut déjà répondre à la seconde et troisième question, ce
				crime est inconcevable sauf par très peu, et ses victimes sont
				impuissantes, aussi pour les criminels, la communication entre
				eux peut se faire au grand jour, ce qui facilite grandement
				l’opération de ce crime. Le problème se pose uniquement
				vis-à-vis des très rares qui peuvent concevoir ce crime, mais
				ils sont réduits à un état d’impuissance total, car englués
				dans la masse des inconscients. Même plus, ils deviennent pour
				les organisateurs du crime une source d’enrichissement par la
				qualité et l’originalité de leurs réflexions, et participent
				malgré eux à l’élaboration et au perfectionnement du
				crime. 
 
Tentons de réponde à la première
				question. 
 
Tout d’abord, il est plus que probable que
				les auteurs du crime soient eux-mêmes totalement inconscients de
				la dimension de leur crime, par dimension j’entends le nature,
				la portée, la profondeur, les implications et conséquences etc
				… 
 
L’approche intuitive de ce crime fait pressentir
				que ce crime touche au pilier même de l’existant. 
 
A
				ce niveau, il faut se référer à la pensée des anciens chinois
				d’il y a environ 2500 ans, qui s’est formalisée dans ce
				qu’on nomme le Tao, ou la voie, je veux parler du Tao originel,
				et des quelques penseurs dits taoïstes dont on a conservé les
				écrits, Lao Tseu, Lie Tseu et Tchouang Tseu, principalement, et
				surtout pas de la religion taoïste qui a suivi.  
 
Le
				problème avec le Tao originel, est qu’on ne peut que le
				ressentir, la formule de Lao Tseu dans son unique ouvrage le Tao
				To King vient spontanément à l’esprit, en substance : 
Le
				tao qu’on peut nommer ou dont on peut parler n’est pas le
				Tao. 
 
On aborde un domaine ou les facultés et
				disciplines humaines dites normales, surtout pour les
				occidentaux, qui se sont limités à celles-ci, et qui sont
				extrêmement limitatives pour appréhender la réalité, soit le
				rationalisme, la logique, ce qu’on nomme la science, ce qui a
				donné l’actuelle technologie où le monde humain s’est
				enfermé et commence à tourner en rond dans un labyrinthe sans
				issue, ce qui a conduit à ce crime fondé sur la technologie,
				sont impuissante à saisir la réalité dans ce qui la fonde.
				L’esprit humain doit abandonner ces disciplines et s’ouvrir à
				ce qu’on dénomme faute de mieux l’intuition, l’intuition
				étant une sorte de fusion entre l’observateur et l’observé.
				C’est d’ailleurs au fond cette fusion qui est la « voie »,
				le Tao. D’ailleurs, ce que nous apprends le Tao, est que la
				réalité ne se saisi pas, que saisir est incompatible avec une
				démarche de connaissance de la réalité, par connaissance
				j’entends rencontre, que la technologie étant une manière de
				saisir, la technologie ne peut mener à rencontrer la réalité,
				mais à enfermer les saisisseurs dans une sorte de stase
				parallèle coupée du la réalité, du monde, de l’Univers. La
				réalité ne se prend pas, ne se possède pas, ne se domine pas.
				La réalité est hors de l’appréhension, de la prédation, de
				l’accaparement. Elle est dans l’acceptation. 
 
Fin
				de la partie 1 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
				 
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