La
mort, la vie, second Commentaire – complément à l’article
de Thierry Meyssan du 13 septembre 2022 L’UE
mise à genoux par les Straussiens.
De Michel Dakar,
Villequier France le 15 septembre
2022
http://the-key-and-the-bridge.net/la-mort-la-vie-second-commentaire-article-thierry-meyssan-du-13-9-2022.html
Généralités
Personne
ne se pose plus les questions relatives
au
socle sur lequel repose tout ce qui concerne l’existence, et en
ce moment la lutte à mort - il faut le dire le
plus clairement qui soit -
entre toute
l’humanité
et une caste du pouvoir
la plus ancienne existante,
formée
par
une population humaine
spécialement
mentalement
conditionnée
depuis environ 2500 ans,
dénommée
« les
juifs », et un ensemble de potentats occidentaux
appartenant aux catégories
de la finance, du monde
militaro-industriel-services
secrets
principalement
US et
anglais,
et
un foyer réduit d’hyper-nocivité socio-politique dénommé
« famille royale d’Angleterre », l’ensemble
non-juif
ayant
un conditionnement au pouvoir plus récent, environ 500 ans, mais
qui est de même imprégné du conditionnement culturel juif
vieux d’environ 2500 ans, lequel constitue le tuteur commun
pour l’Occident à tous les conditionnements au pouvoir
particuliers.
Concernant
les régions terrestres autres que l’Occident (cette
dénomination incluant la zone du Moyen-Orient envahie pour le
moment par les dits juifs dite Israël, celles envahies pour le
moment par les anglais dites Nouvelle-Zélande et Australie,
celle envahie par les USA dite Taïwan, et quelques autres
secondaires, telles la Nouvelle-Calédonie, la Martinique, la
Guadeloupe ...), le ou les tuteur(s) du conditionnement au
pouvoir est/sont autre(s) que juif, et ne sera/ront pas abordé(s)
ici (je laisse cela aux asiatiques pour ce qui relève de
l’Asie). Concernant l’Afrique, qui possède son propre
conditionnement au pouvoir (et qui est de façon sûre le plus
ancien, l’humanité étant originaire d’Afrique), la
recherche en ce déconditionnement spécifique devra aussi
concerner que des africains. Le Japon occupe une place extrême
dans l’échelle du conditionnement au pouvoir et présente un
danger majeur pour l’ensemble de l’espèce humaine, en cette
période de guerre à mort entre la caste d’Occident et
l’Humanité, en raison de son alignement avec l’Occident.
C’est le seul pays au monde ayant transformé le bouddhisme en
un conditionnement au meurtre de masse, ce qui eut lieu lors de
la seconde guerre mondiale avec la doctrine dite du « bouddhisme
de guerre » impérial. Ce pays est l’unique au monde a
avoir résisté à l’invasion planétaire idéologique
chrétienne (agents dits « missionnaires » envoyés
par l’état impérialiste conquérant du Vatican), et de plus
avec une victoire absolu, ainsi qu’à la colonisation
occidentale d’Orient du 19è siècle. Sa population est
maintenue dans un état de soumission qui n’est comparable à
aucun autre, sinon avec des correctifs, à celui de la population
juive (il a existé des juifs anarchistes et/ou libérés du
judaïsme, il n’y eut aucun mouvement japonais anarchiste,
alors que la Chine par exemple a connu les Taïping, la plus
grande révolte mondiale à caractère égalitaire et libertaire
vers la fin du 19è siècle).
Pour en terminer avec
les généralités, en Occident un courant de déconditionnement
au pouvoir est apparu vers le milieu du 19è siècle en Europe
sous la forme du mouvement anarchiste, et en Orient il y a 2500
ans, sous les formes des mouvements bouddhiste et taoïste. Dans
les deux cas, quasi immédiatement ces courants ont été
détruits par les pouvoirs en place (en Occident les anarchistes
sont devenus des supplétifs de la police politique, un organe
central de répression de l’insoumission au pouvoir, et en
Orient les bouddhistes et taoïstes se sont formés en ordres
religieux soit des organes vitaux pour le maintien des masses
dans la soumission au pouvoir). En Europe, le courant anarchiste
a exploré le déconditionnement sur le plan politique, social et
économique, en Orient, sur le plan métaphysique dépassant le
cadre restreint de l’espèce humaine. Une synthèse des deux
devra tôt ou tard être réalisée, si on veut que l’humanité
ait un avenir.
La mort et la vie
Il
suffit d’observer la vie sur la durée depuis son commencement
sur Terre il y a environ 3 milliards d’années, pour comprendre
que ce qu’on nomme « mort » n’est qu’un
changement d’état, exactement comme pour les insectes tels les
papillons, existent une série de changements d’état, œufs,
chenille, chrysalide, papillon (concernant certaines formes de
vie dites « parasites », les changements d’état
peuvent être de l’ordre de plusieurs dizaines).
Ce
changement d’état nommé « mort » affecte toutes
les formes de vie, et il est visible que ce qu’on nomme
« mort » n’affecte en rien la vie elle même, que
ce n’est qu’une étape dans son processus.
La vie
est multiforme c’est à dire sans forme définie. Ses formes
individuelles sont toutes des étapes d’un processus, ce qui se
vérifie à travers la multiplicité tendant à l’infinie des
formes de vie apparaissant sur Terre (et très probablement
ailleurs), ainsi que par la multiplicité des individus
appartenant à une espèce particulière, qui elle aussi tend à
l’infini (il n’y a pas deux individus identiques).
Autant
le dire clairement, la mort n’existe pas, et il n’y a donc
pas lieu de la redouter, ni de chercher à conserver à tout prix
la forme de vie individuelle que chacun connaît, ni celle plus
globale des espèces (sans même parler des castes du pouvoir et
des potentats). Il n’y a donc pas lieu de chercher à détruire
les autres formes de vie ainsi que les autres individus de sa
propre espèce, ni ce qui revient au même à accaparer ce qu’ils
produisent ou à les priver de leur bien être vital.
En
fait, là est posé que l’ordre naturel, car il existe, est à
l’inverse absolu de l’ordre du pouvoir, et des doctrine de
conditionnement du pouvoir, soit de l’évolution qu’a prise
l’humanité depuis l’instauration de cet ordre il y a environ
6000 ans au Moyen-Orient à Sumer et en Égypte, le judaïsme
n’ayant été qu’une synthèse des conditionnements au
pouvoir sumérien et égyptien.
Ceci posé, on peut
aborder ce qu’on nomme le sens de la vie, qui tant qu’il
n’est traité rend toute existence absurde.
Tout
d’abord, force est de constater qu’il s’agit d’humains
lorsqu’il est question d’anarchistes, de bouddhiste et
taoïstes originels, courants qui représentent la pointe
évolutive existentielle humaine, les espèces précédentes de
celle humaine n’ayant pas eu besoin de concevoir une manière
d’être particulière, étant parfaitement adaptées à la vie
collective sur Terre, formant une sorte de symbiose globale
terrestre équilibrée, fondée sur un principe général, la vie
se nourrissant de la vie et chaque forme de vie ayant sa place,
l’ensemble évoluant de concert vers une autre adaptation (il
n’y a pas d’idée de meilleure adaptation, le biotope
originel terrestre avec sa mer recouvrant la totalité de la
surface terrestre constituée d’un socle rocheux volcanique, et
ses premières formes de vie unicellulaires, voire sans membrane
étaient dès le départ parfaite), plus complexe de générations
en générations, ce qu’on peut constater en observant les
formes de vie primitives et celles les plus récentes. Il faut là
relever que dès l’apparition de la vie organique, les formes
les plus simples et primitives de vie étaient intelligentes,
l’intelligence n’étant pas liée à la complexification. On
peut le constater avec les virus dont la pseudo science
d’Occident actuelle n’arrive pas à venir à bout (et n’y
arrivera jamais), ainsi qu’au fait que l’effroyable
complexité croissante due à l’informatique est de façon
évidente entrain de tarir toute intelligence, créativité,
invention et imagination, voire de l’éteindre pour
toujours.
Ces diverticules ayant été suivis, allons
au principe essentiel de l’ordre naturel existentiel
terrestre : « la vie se nourrit de la vie ».
Ce
principe fondamental qui est le pilier unique qui soutient tout
le système vital doit être à la fois évidemment conservé par
l’humain, mais adapté à sa propre complexité (en effet, de
quoi pourrait se nourrir d’autre la vie, car il n’y a rien
d’autre que la vie, et que chaque vie doit à chaque instant se
nourrir pour subsister, c’est à dire pour que la vie
globalement subsiste).
Tout est résolu dans
l’apprendre à mourir, ce que revient à apprendre à vivre.
A
suivre
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