Le
mensonge est la prison de l’âme
Lies are the prison of
the soul
Communication de Michel Dakar, le 12 mai
2025, Villequier en
France
http://the-key-and-the-bridge.net/le-mensonge-est-la-prison-de-l-ame.html
Documentation :
Demande de
communication de documents me concernant faite à l’Agence
Régionale de Santé de Normandie :
- Rapports mensuels du
psychiatre chargé de me contrôler
- Inscription au fichier
des malades dangereux sous contrainte du Préfet (HOPSYWEB), et
croisement avec le fichier
de traitement des signalements pour la prévention de la
radicalisation à caractère terroriste (FSPRT)
:
http://the-key-and-the-bridge.net/lettre-demande-ARS-12-mai-2025.html
La psychose blanche (ou la psychose imaginaire), une
invention de la
psychanalyse.
http://the-key-and-the-bridge.net/la-psychose-blanche.pdf
Je
suis sous contrôle psychiatrique depuis août 2024.
La
raison en est ma préoccupation du sort du peuple de Palestine
depuis une vingtaine d’années, et mon activisme anciennement
sur le terrain à Paris, organisant des manifestations, et dans
le domaine de l’écrit, en diffusant par internet.
J’ai
fondé en 2005 l’association CODEIG, Compréhension et
Dépassement de l’Idée de Génocide. Avant même que cette
association devienne active, dès son dépôt en Préfecture de
Paris, elle a été attaquée en Justice par le Parquet sur
saisie
du
Préfet. Cette procédure a été un échec pour le gouvernement
français et les auteurs du génocide du peuple de Palestine qui
ont autorité sur lui, le tribunal en première instance et en
appel ayant déclaré cette association légale.
A
cette époque, il y avait encore des juges indépendants
des
organisateurs du génocide du peuple de Palestine.
En
août 2024, sous de fausses incriminations telles que apologie du
terrorisme et incitation à la haine raciale, menace de mort non
suivie d’effet, et détention de matériel pédocriminel, j’ai
été conduit de force devant une experte psychiatre qui a établi
un faux certificat permettant mon internement, puis j’ai
rencontré successivement 7 autres psychiatres qui ont tous
perpétué le mensonge initial de l’experte.
L’avant
dernière
psychiatre,
une experte, a même repris la phraséologie des anciens
psychiatres du KGB de l’ex-Union Soviétique, qui avaient
inventé pour justifier l’internement des dissidents la
schizophrénie asymptomatique, soit une schizophrénie sans les
symptômes de cette
maladie.
Cette experte m’a trouvé une psychose blanche, soit une
maladie mentale sans symptôme ni manifestation de maladie
mentale.
Fausse incriminations pénales, faux
expertises et examens psychiatriques, je suis enfermé depuis
dans une sorte de prison du mensonge, et je commence à
comprendre que tout ce qu’on me demande, c’est que je parle
moi aussi la langue du mensonge.
Nous somme parvenus,
en France et plus largement en Occident, dans la prison du
mensonge, notre univers mental n’est plus occupé que par le
mensonge, et ceux qui refusent de mentir sont déclarés malades
mentaux.
Or, le mensonge est la prison de l’âme,
qui la coupe du réel, l’âme se trouve emprisonnée dans cette
prison impalpable mais omniprésente qui occupe absolument tout
l’espace vital de l’Occident.
Le mensonge ne
pouvant subsister qu’en s’expansant à l’infini, car il lui
faut toujours repousser la réalité qui elle est éternelle,
indestructible et envahissante, il lui faut inventer sans cesse
de nouveaux mensonges.
L’esprit collectif d’une
population enfermée dans l’univers du mensonge devient comme
un labyrinthe d’où il lui est de plus en plus difficile de
s’échapper et de revoir la lumière.
Le
hors-Occident est certes lui-même l’objet d’un univers
mensonger, mais à un degré infiniment moindre, dans le
hors-Occident existent des zones de réalité, de clarté, et la
population n’en n’est pas à errer sans fin sur des chemins
sans issues.
Ici le mensonge est devenu
totalitaire.
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