Réaction
				personnelle à la parution de deux articles, l’un sur le site
				« globalresearch.ca », l’autre sur le site
				« marie-claire-tellier.over-blog.com », concernant la
				psychiatrie 
 
Communication de Michel Dakar, le 15 juin
				2025 à Villequier en
				France 
 
http://the-key-and-the-bridge.net/les-hors-castes-dalits-intouchables.html
				 
 
 
Sommaire : 
1
				- Les fous sont l’équivalent des hors-castes, des dalits, des
				intouchables de l’Inde dans l’hindouisme. 
2
				– La main-d’œuvre, les psychiatres et autres psy. 
3 –
				Un cas particulier d’étiquette : Le psychotique
				blanc 
 
 
Documentation : 
 
1
				- Article parue sur le site La Clé et le pont, le 7
				juin 2025
				sur
				mon expérience comme psychiatrisé politique en France depuis
				août 2024 et se poursuivant jusqu’à maintenant : 
Titre
				de l’article : Anathèmes et
				malédictions 
http://the-key-and-the-bridge.net/anathemas-and-curses.html
				 
 
2 – Article paru le 11
				juin 2025
				sur
				le site globalresearch.ca : 
Titre de l’article : La
				psychiatrie est-elle une « fausse science »
				? 
http://the-key-and-the-bridge.net/La-psychiatrie-est-elle-une-fausse-science-11-juin-2025.pdf
				 
 
3 – Article paru le 13
				juin 2025
				sur
				le site marie-claire-tellier.over-blog.com : 
Repenser
				la
				psychiatrie 
http://the-key-and-the-bridge.net/Repenser-la-psychiatrie-13-juin-2025.pdf
				 
 
4 – Article du journal L’Humanité du 15 février
				1990, traitant du cas de Bernard Monnier, interné de force suite
				à l’implication d’un
				service
				spécial
				français
				dans son existence  
Titre de l’article : Bavure policière
				et psychiatrique dans le Val-de-Marne 
Sous-titre : La fin du
				cauchemar 
http://the-key-and-the-bridge.net/fin-du-cauchemar-bernard-monnier.pdf
				 
 
5 – Sémiologie, nosographie,
				lexique,
				glossaire, vocabulaire et guide de l’examen
				psychiatrique 
http://the-key-and-the-bridge.net/lexique-psychiatrique.pdf
				 
 
6
				– Document : 
Moi, Michel Dakar, atteint de psychose
				blanche selon l’experte du
				Préfet 
http://the-key-and-the-bridge.net/moi-le-psychotique-blanc.html
				 
http://the-key-and-the-bridge.net/moi-le-psychotique-blanc.pdf
				 
 
 
 
 
Réaction
				personnelle à la parution de deux articles, l’un sur le site
				« globalresearch.ca », l’autre sur le site
				« marie-claire-tellier.over-blog.com », concernant la
				psychiatrie 
 
 
1
				- Les fous sont l’équivalent des hors-castes, des dalits, des
				intouchables de l’Inde dans l’hindouisme. 
 
Le
				système hindou est une caricature du système social hiérarchisé
				de classes qui a vu le jour avec la période dite « civilisée »,
				soit post-néolithique, environ il y a 6000 ans, qui s’est peu
				à peu propagé sur toute l’humanité et sur toute la planète.
				Une autre caricature, encore plus radicale de ce système devenu
				unique, est le judaïsme, les juifs étant la caste suprême
				équivalente aux brahmanes hindous, qui forment la caste
				supérieure de l’hindouisme, mais avec une différence que
				l’hindouisme ne concerne que les hindous, alors que le judaïsme
				concerne l’ensemble de l’humanité (englobant les hindous),
				les non-juifs constituant les inférieurs systémiques des juifs.
				C’est la raison principale que personne ne veut évoquer, pour
				laquelle le gouvernement indien est si proche des juifs, hindous
				et juifs ont une essence commune structurelle. C’est aussi la
				raison pour laquelle la présence de l’Inde au sein des BRICS
				est sa faiblesse majeure, au-delà des considérations
				géopolitiques et des purs intérêts et rapports de force
				pragmatiques. 
 
Dans un système hiérarchisé de
				classes, il faut qu’il y ait une classe inférieure, et au sein
				même de cette classe inférieure, des encore plus inférieurs,
				les inférieurs ultimes étant nécessaires au bon équilibre
				psychologique de toutes les classes au-dessous de la classe
				suprême. 
				C’est
				le rôle joué par les dalits hindous, qui ne constituent même
				pas une caste, mais sont considérés comme hors-caste, et au
				sein de ces dalits, il y a reconstitution du système de castes
				en interne, avec des catégories de dalits supérieures à
				d’autres,, une hiérarchie se reformant identique à celle
				globale de l’hindouisme chez les hors-castes. 
				Il
				dois en être de même chez les non-juifs, avec les non-juifs
				convertis récents qui ne sont pas au fond considérés comme des
				vrais juifs par les juifs convertis depuis des générations.
				Nous savons tous que quasiment pas un juif n’a ses origines en
				Palestine et est sémite, mais qu’il ne s’agit que de
				convertis d’autres religions par opportunisme politique et/ou
				économique, dont les plus connus sont les khazars turco-mongols
				pour les juifs occidentaux, et les peuples berbères pour les
				juifs orientaux. 
 
Les occupants du bas de la pyramide
				sociale sont vitaux pour l’équilibre mental de toute la
				pyramide, car c’est à la base que se décharge toutes les
				tensions, souffrances et frustrations de la masse de la pyramide,
				car un système social fondé sur la hiérarchie et les classes
				engendre la douleur, l’absence de bonheur, la tension et la
				frustration, constitutionnellement. 
 
Le juif grec Elias
				Canetti dans son œuvre Masse et puissance l’avait bien
				ressenti, toute son œuvre porte en filigrane ce thème, et image
				les courants de tension et de souffrance, de contrainte,
				circulant de haut en bas de la pyramide, comme les éclairs lors
				des orages sinuent des nuages vers le sol.  
 
Par
				analogie avec le courant électrique et la foudre, le système
				pyramidal, dont le judaïsme et l’hindouisme sont les
				caricatures, engendre une surtension qu’il faut canaliser
				jusqu’au sol et dans la terre pour qu’elle se décharge et ne
				fasse pas exploser la pyramide, par les système de paratonnerre
				et de prise de terre, les paratonnerres et les prises de terre
				sont les dalits et les fous. 
 
On ne soigne pas la
				folie, car elle est une fonction vitale du système de caste
				pyramidal, retirer les fous du système revient à ôter les
				fusibles les prises de terre et les paratonnerres d’une
				maison. 
 
Concernant la psychiatrie et les psychiatres,
				il ne s’agit pas de médecine et de médecins, ils ne sont
				qu’une partie du dispositif social qui achemine la surtension
				pour la dissiper afin qu’elle n’endommage pas le système
				entier. 
 
Si dans l’absolu, on ne veut plus de fous,
				ou les « guérir », il faut changer de système
				social pour aller vers un système horizontal, égalitaire, sans
				classes, sans castes. 
 
Au fond, la psychiatrie et les
				psychiatres sont des pièces indispensables au maintien d’un
				ordre inégalitaire de castes, c’est la raison pour laquelle le
				sociologue Michel Foucault qui a réfléchi toute sa vie sur la
				répression, plaçait les psychiatres (psychologues et autres
				psy, dont les psychanalystes) dans la même catégorie sociale
				que les juges, les gardiens de prisons, les policiers, les
				militaires (https://www.youtube.com/watch?v=FzIIgODvzHw
				et https://www.youtube.com/watch?v=lhn53WDSDcQ). 
 
 
 
2
				– La main-d’œuvre, les psychiatres et autres psy. 
 
Bernard
				Monnier, qui a été dans les années 2000 une sorte de mentor
				pour moi, avait rencontré la psychiatrie durant une année et
				demi, à Villejuif, suite à une opération policière pour le
				mettre à l’écart dans une affaire le mêlant à un élément
				d’un service secret français. 
Son affaire est en partie
				décrite dans l’article de
				l’Humanité : 
http://the-key-and-the-bridge.net/fin-du-cauchemar-bernard-monnier.pdf
				 
 
Il m’avait dit à propos des psychiatres une phrase
				qui m’a marquée à vie, et dont je comprends parfaitement le
				fond seulement maintenant que j’ai vécu deux mois et demi dans
				deux hôpitaux psychiatriques et que je rencontre tous les mois
				depuis octobre 2024 contraint et forcé un psychiatre :
				« ces gens là on ne leur parle pas ». 
 
Un
				interné que j’ai côtoyé à l’hôpital psychiatrique de
				Sotteville-lès-Rouen m’avait dit d’eux : « ils
				n’ont aucune empathie ». Cette personne était internée
				pour un fait politique. Il
				avait ajouté : « on est comme des poupées de chiffon
				entre leurs mains ». 
 
J’ai
				rencontré et connu à Paris, dans les années 2000, une autre
				personne à qui on a imposé un suivi psychiatrique pour raison
				politique, une autre qui a été interné 3 mois pour raison
				politique, j’ai correspondu avec une autre à qui on a imposé
				un suivi psychiatrique encore pour raison politique.  
 
Les
				autorités peuvent placer n’importe qui entre les mains de
				psychiatres, il doit être rarissime que ces psychiatres refusent
				de collaborer pour tenir à l’écart, voire briser un individu
				qui dérange le pouvoir. 
 
Ces gens ne sont pas des
				médecins, mais l’un des appendices de l’appareil de
				répression. 
 
En partant du cas clair des internés
				politiques, on peut comprendre ce qu’on nomme les fous. 
 
Les
				fous sont catégorisés selon la nosographie psychiatrique
				(http://the-key-and-the-bridge.net/lexique-psychiatrique.pdf
				), qui n’est qu’un logomachie irrationnelle servant de façade
				scientifique pour plaquer une étiquette sur n’importe qui, par
				exemple, celui-là il est trop anormal, celui-ci il est trop
				normal (la normopathie), celui-là il parle trop, l’autre il
				parle pas assez etc … de façon à ce que quoiqu’on fasse
				devant un psychiatre, il y ait une étiquette prête à l’emploi
				pour vous caser dans une catégorie de fous. 
 
Comme les
				politiques qui dérangent, car ils sont trop vrais, trop sains,
				les fous non-politiques sont trop vivants, trop sensibles, trop
				vrais pour supporter et jouer le jeu social de l’ordre
				pyramidal. 
 
Tous ces trop vivants, trop intelligents,
				trop honnêtes, trop humains forment les dalits de la société
				pyramidale, et servent d’exutoire aux tensions insupportables
				engendrées par l’ordre hiérarchique. Parmi ces trop vivants,
				il y a ceux qui sont violents, c’est à dire qu’à la place
				de retourner leur violence contre eux-mêmes, ou bien parvenir à
				l’intérioriser, ils la tournent contre le système social. Le
				système prend prétexte de cette classe de dalits pour justifier
				les pires mesures contre les fous. Or, les fous dits violents ne
				font que ce qui est légitime, de répondre à la violence par la
				violence. 
 
Ceux qui se vouent aux métiers psy, par
				contre, ont en commun un trait de caractère unique, leur
				allergie rabique à la différence, par rapport à une norme
				idéale du système pyramidal. Ce trait de caractère se retrouve
				chez ceux qui intègrent la police, l’armée, la magistrature,
				l’administration pénitentiaire et autres services du même
				ordre. 
 
En gros tous ceux qui ne plient pas l’échine,
				pensent hors des sentiers battus, ont un comportement inadéquat,
				sont utilisés par la machine sociale comme socle de la pyramide,
				comme dalits. 
 
Les individus typiques dénommés psy,
				portent en eux une répulsion de la vraie vie, ce sont des êtres
				inaboutis, ce que l’écrivain Octave Mirbeau dénommait des
				« existences larvaires »
				(https://www.lesbelleslettres.com/livre/9782251443638/contes-cruels),
				qui haïssent que les larves se changent en papillon, s’envolent,
				ils ne supporte que les êtres qui rampent. 
 
 
 
3
				– Un cas particulier d’étiquette : 
 
Le
				psychotique blanc 
 
Illustration : 
 
Moi,
				Michel Dakar, atteint de psychose blanche selon l’experte du
				Préfet 
http://the-key-and-the-bridge.net/moi-le-psychotique-blanc.html
				 
http://the-key-and-the-bridge.net/moi-le-psychotique-blanc.pdf
				 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
				 
				 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
				 
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