Lettre
				numéro 3 à l’ambassade d’Israël à Paris, de la part de
				Michel Dakar, le 27 novembre 2023, Villequier,
				France. 
 
http://the-key-and-the-bridge.net/lettre-numero-3-a-l-ambassade-d-israel-a-paris.html
				 
 
 
 
Michel Dakar 
9, Route de
				Barre-y-va 
Villequier 
76490 Rives-en-Seine 
Tél :
				02 3é 70 82 35 
 
LRAR 1A 192 804 9178 1 
 
Le
				27 novembre 2023 
 
 
Monsieur l’Ambassadeur
				d’Israël en France 
Ambassade d’Israël 
3, rue
				Rabelais 
75008 Paris 
 
 
Cher Monsieur
				l’Ambassadeur,  
 
Voici un texte que je vous dédie,
				qui traite de l’équilibre psycho-énergétique structurel de
				la population juive, mais plus largement de celle humaine, dont
				la population juive n’est en réalité qu’une caricature
				parfaite. 
 
Ce texte et cette communication sont
				réalisés dans le but d’avancer dans la compréhension de ce
				qui enferme et condamne l’humanité dans le cauchemar, et de
				l’en faire sortir. 
 
Recevez, cher Monsieur
				l’Ambassadeur, l’expression de mes salutations
				distinguées. 
 
Michel Dakar 
 
 
 
Le
				bonheur c’est le malheur 
 
 
1 - L’unique façon
				de créer des adultes à la fois totalement soumis et agressifs
				est de blesser l’enfant qu’ils étaient dès son plus jeune
				âge, à l’époque où c’est irrémédiable. 
 
Quand
				cette méthode est appliquée à un groupe ethnique ou culturel,
				on obtient une masse d’esclaves, obéissante comme un cadavre,
				qu’on peut mener à la conquête du monde en commettant les
				pires atrocités, jusqu’à exterminer d’autres peuples et
				jusqu’à l’espèce humaine entière, pour ses maîtres. 
 
C’est
				le cas typique du peuple juif, dont on voit l’une de ses œuvres
				avec le génocide du peuple de Palestine. 
 
 
2 –
				Tous les groupes humains, absolument tous, fondés socialement
				sur le pouvoir, la domination, exercent de la même façon et
				systématiquement, la blessure psychique appliquée aux très
				jeunes enfants, c’est la condition indispensable pour obtenir
				une société de castes, divisée en deux, les maîtres et les
				esclaves aptes à obéir aux maîtres jusqu’au sacrifice de
				leurs vies. C’est la situation maintenant de l’ensemble de
				l’humanité. 
 
 
3 – Le cas des juifs a une
				unique particularité, c’est son extrémisme en la matière, ce
				qui en fait le miroir grossissant de l’humanité, et permet par
				son observation de comprendre le problème menaçant son
				existence. 
 
 
4 – La circoncision à vif et au
				huitième jour n’est que la partie visible du corpus de
				blessures infantiles infligées à cette population, les
				blessures les plus profondes et indélébiles étant purement
				psychiques, c’est aux juifs eux-mêmes d’en prendre
				conscience pour s’en libérer, et par là de se libérer du
				déterminisme où ils se trouvent enfermés. 
 
 
5 –
				La difficulté primordiale pour se libérer des blessures
				infligées dès la petite enfance, voire dans le cas des juifs,
				quasiment dès la naissance, est que toute prise de conscience
				réactive ces blessures, réactive les mécanismes qui se sont
				mis en place pour parvenir à exister malgré elles, et qu’aussi,
				guérir et se libérer du déterminisme revient à se détacher
				de son groupe, de son ancienne identification, et même à s’y
				opposer, à entrer en conflit avec son groupe et avec soi-même,
				ce qui de plus dans le cas des juifs est dangereux du fait de la
				prédominance de ce groupe, surtout en Occident. 
 
 
6
				– Dans les cas des plus graves blessures infantiles, on
				constate le phénomène psychique de la dissociation, vulgarisé
				par le personnage littéraire du docteur Jeckill et de mister
				Hide, où la personnalité superficielle sociale ignore
				l’existence et l’activité de la personnalité
				profonde. 
 
Cette dépersonnalisation, car il s’agit
				de la perte de la personnalité, la personnalité d’un individu
				étant unique, se rencontre à des degrés divers. 
 
Dans
				le cas des juifs, elle est extrême, cela se manifeste par la
				certitude d’être toujours innocent tout en commettant les
				pires atrocités, et même par le comportement de juifs
				humanistes face à ces atrocités de clamer « pas en notre
				nom ». 
 
La dissociation à un niveau plus
				conscient, c’est à dire quand la personnalité superficielle
				est proche voire jusqu’à presque se confondre (mais sans
				jamais le faire), de la personnalité profonde, apparaît dans le
				roman d’Orwell 1984, par le processus volontaire de la double
				pensée, de même dans la foi catholique avec l’expression la
				main gauche doit ignorer ce que fait la main droite. 
 
Dans
				les cas extrêmes, la prise de conscience des blessures
				infantiles se trouve entravée par la personnalité profonde, qui
				apparaît comme menaçante, angoissante, terrorisante, et qui
				joue le rôle de gardien du statu quo. Ce personnage se rencontre
				dans l’œuvre de Kafka, qui était juif et dont toute l’œuvre
				traite au plus profond de la structure psychique juive, par le
				gardien du château. Mais là encore, il faut rappeler que le
				problème juif est le problème humain, et qu’à travers
				l’œuvre de Kafka, on a une vue perçante sur le problème
				humain. 
 
Kafka traite d’ailleurs du cas où un juif
				se distancierait de son groupe d’appartenance et de lui-même
				dans la nouvelle La métamorphose, où il devient un cloporte que
				sa famille rejette, enferme et finit par tuer. 
 
Je
				pourrais parler de tous les aspects de l’œuvre de Kafka et de
				tout ce qu’elle révèle des problèmes humains dans toutes
				leurs dimensions, c’est une source d’inspiration et d’éveil
				immense, mais ce n’est pas l’objet de ce texte. 
 
Un
				autre juif traite d’une manière plus documentaire, matérielle
				et historique du problème juif (et humain), il s’agit d’Israël
				Shahak dans Histoire juive religion juive, le poids de trois
				millénaires. 
 
Les œuvres de Kafka et de Shahak de
				complètent. 
 
 
7 – Une personne qui serait
				désireuse de recouvrer son intégrité (sa personnalité), si
				elle est juive (mais de même pour les non-juifs mais en moins
				problématique), se trouverait confrontée à un état aigu,
				mêlant la dépression, la tristesse, le désespoir, l’angoisse,
				la désorientation, la terreur, cela sur le plan psychique, quant
				au plan social, la confrontation serait avec la perte de son
				réseau social et de devoir se reconstruire sur une base purement
				humaine, abandonnant les enfermements ethniques, religieux, de
				nationalités, de cultures et autres rattachements, car pourquoi
				quitter un enfermement pour en intégrer un autre, certes moins
				étouffant et totalitaire que celui juif (comme l’a fait Israël
				Adam Shamir, qui s’est « converti » au
				christianisme - sans doute orthodoxe russe (?)). 
 
 
8
				– Le problème avec le génocide en cours et sous les yeux de
				toute la planète, de la population de Palestine par les juifs
				est qu’il risque de ne servir à rien, car personne n’en tire
				les leçons sur la connaissance profonde, radicale de la réalité
				psychologique et sociale humaine. 
 
 
9 – Comme je
				l’ai dit, le cas des juifs est tout à l’opposé d’être
				exceptionnel, c’est même la norme humaine, les juifs ne sont
				extrémistes que par leur côté hyper-normaux, l’état de juif
				est caractérisé par une hyper-adaptation. 
 
La
				pratique du génocide est même une coutume, qui fait partie du
				droit coutumier général humain authentique, soit ce qui est le
				droit réel (le droit international étant comme les droits de
				l’homme, le droit de façade, une illusion masquant le droit
				réel). Raphaël Lemkin qui était juif, qui avait créé le
				concept de génocide, soit de destruction d’un peuple, avait
				défini le génocide comme l’acte de procéder à la
				disparition d’un peuple, avant tout tuant sa personnalité,
				soit en effaçant sa culture, sa langue, ses traditions, son
				passé historique (il avait pris le cas du génocide des
				irlandais par les anglais), puis en l’évinçant de son sol, de
				ses racines physiques (cas du génocide présent de Palestine, de
				celui d’Algérie par les français, en général des colonies
				de peuplement, ou encore des indiens d’Amazonie par la
				destruction de la forêt où ils vivent), et en dernier lieu par
				l’extermination physique (comme le génocide des amérindiens
				par les colons européens).  
 
Un rapide survol de
				l’histoire humaine fait persuader que le génocide fonde le
				droit coutumier humain, il en est l’élément central. 
 
Il
				existe un génocide qui a débuté depuis 2020 et qui était
				préparé depuis plusieurs dizaines d’années, il s’agit du
				« Great reset », qui procède à la foi par la
				déculturation, la destruction de la structure sociale,
				l’éviction de son espace vital et l’élimination physique.
				Il s’agit du premier génocide global humain, tant au niveau de
				sa multidimensionnalité, que par ce qu’il opère sur
				l’ensemble de l’humanité, soit sur l’espèce même
				humaine. On pourrait donc créer un nouveau terme et concept,
				comme l’a fait Raphaël Lemkin, dans ce cas on pourrait parler
				de « spéciïde » (destruction d’une espèce), dans
				ce cas d’auto-spéciïde (une espèce s’auto-détruisant). 
 
Il
				n’est d’ailleurs pas indifférent que la plupart des acteurs
				œuvrant à ce spéciïde soient des juifs (Jacques Attali, Yuval
				Hariri entre autres, les dirigeants du sommet de la finance
				mondiale, comme le patron de Blackrock, ou ceux de la banque
				centrale américaine). 
 
Il n’est pas non plus
				indifférent que personne ne qualifie le Great reset de génocide,
				ou spéciïde, Great reset qui en premier vise à détruire la
				personnalité de l’humanité, car la perception de la
				personnalité aux yeux de la masse, comprenant la pseudo élite,
				est limitée à la forme physique. La culture, l’attachement à
				un sol qui en est une part primordiale, la spiritualité qui naît
				des racines historiques et du lieu de vie, tout cela est
				inexistant pour des personnalités dissociées, soit des
				non-personnes, des individus dépersonnalisés.Le Great reset
				vise à fabriquer une humanité constituée de non-personnes, de
				pseudo-êtres, soit des machines, à l’image de ceux qui
				l’organisent.  
 
 
10 – Le droit de génocide
				trouve son origine dans la structure structure sociale
				hiérarchisée pyramidale fondée sur les deux castes maîtres et
				esclaves, le génocide ou le spéciïde n’en étant que
				l’aboutissement. 
 
 
11 – Tant que la structure
				sociale restera en l’état, les mêmes conséquences existeront
				de façon latente et finiront par apparaître, et cela de plus en
				plus globalement et radicalement, comme avec le spéciïde Great
				reset, qui a commencé, environ deux années avant l’actuel
				génocide des palestiniens. 
 
 
12 – Pour finir,
				plus l’énergie psychique est importante en l’individu, et
				l’une des manières d’augmenter cette énergie psychique est
				le ressentiment, la haine, cela dû aux blessures de la petite
				enfance, plus cette énergie doit trouver un exutoire pour que
				l’individu s’en libère, sous peine qu’il implose. 
 
La
				haine doit se tourner, non contre les fauteurs réels de cette
				haine, qui sont les parents, la famille, le clan, la tribu, le
				groupe ethnique, la nation, qui par leurs effets douloureux
				provoquent cette haine, mais vers ce qui est étranger à ces
				facteurs causales, d’où la haine dans le cas des juifs vers
				les non-juifs, et l’énergie dépensée pour dominer jusqu’à
				l’hégémonie absolue sur toute l’espèce et la planète,
				menant à l’actuel Great reset, de façon concomitante avec le
				petit génocide des palestiniens. 
 
Mais là encore, les
				juifs ne sont que le modèle visible de ce qui possède les
				autres peuples, et cette haine cessera quand la véritable cause
				disparaîtra, qui est l’organisation sociale pyramidale et ses
				deux castes de maîtres et d’esclaves. 
 
Hors de ce
				bouleversement social, de ce saut évolutif de l’espèce
				humaine, l’auto-destruction continuera jusqu’à son
				achèvement, ce n’est qu’une question de capacité technique,
				et nous parvenons à un stade dans ce domaine où la perspective
				d’une disparition de l’espèce humaine pourra avoir lieu dans
				un avenir proche. 
 
 
13 – Sur le plan
				énergétique 
 
L’Univers est énergie, l’individu
				est énergie, l’individu est une forme d’énergie au sein de
				l’entité énergétique dénommée Univers. 
 
L’effet
				de la dissociation de la personnalité, ou dépersonnalisation se
				traduit sur le plan énergétique par une fragmentation de l’être
				en entités non-communicantes entre elles, entité signifiant ce
				qu’il est impossible d’exprimer, autrement que par des noms
				concepts totalement inadaptés, autant que le concept
				« énergie », par secteurs, aires, volumes, zones,
				etc … 
 
Les notions de dépersonnalisation, soit la
				division de l’individu vrai ou personnalité unique, en
				plusieurs pseudo personnes, faussement dénommées personnalité
				superficielle et personnalité profonde, sont l’effet du
				partage en plusieurs entités non-communicantes sur le plan
				énergétique. 
 
C’est la capacité des très très
				rares personnes dénommées improprement « magnétiseur »,
				le « magnétisme » étant ce qu’on dénomme un peu
				moins improprement énergie, de remettre en communication ces
				entités dont les liens sont rompus. 
 
On peut parler de
				guérison énergétique. 
 
Le « magnétiseur »
				lui-même une entité énergétique dans l’Univers, est un pont
				qui remplace temporairement les ponts qui devraient exister entre
				les entités isolées les unes des autres, c’est une sorte de
				médium.  
 
L’effet de son intervention est de
				rétablir l’équilibre entre les différentes zones étanches,
				dont certaines sont en surcharge énergétique, tandis que
				d’autres sont presque épuisées. 
 
Il y a là encore
				le principe d’égalité et de non-domination, qui se retrouve
				dans le domaine global qu’est l’Univers, dont la loi profonde
				est la non-domination. 
 
Les personnes en état de
				dépersonnalisation, ou scindées en de multiples entités,
				peuvent avoir recours pour retrouver leur intégrité aux
				« magnétiseurs », mais ceux-ci sont en réalité
				très très peu nombreux. 
 
Il y a tout à découvrir
				dans ce domaine, et en premier que l’individu et l’Univers ne
				sont pas dissociés, et que le principe fondamental de l’Univers
				est l’égalité. 
 
Les « magnétiseurs »
				conventionnels ne s’occupent que des cas individuels, mais ils
				en existe d’autres sortes, dont ceux qui agissent au niveau des
				groupes (je connais des magnétiseurs qui calment des troupeaux,
				et à distance, à la demande des éleveurs), et encore d’autres,
				exceptionnels, qui s’occupent des masses plus importantes, qui
				visent la globalité.  
 
 
14 –
				Bibliographie 
 
Auteurs ayant traités de la
				dissociation de la personnalité et de l’être sur le plan
				énergétique 
 
Alexandra David Neel, dans Mystiques et
				magiciens du Tibet 
 
Ronald Laing, Le moi divisé 
 
Thomas
				Disch, toute son œuvre 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
				 
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