Man
is not made to live alone
L’homme
n’est pas fait pour vivre seul
Communication de Michel
Dakar, le 27 mars 2022 à Villequier en
France.
http://the-key-and-the-bridge.net/man-is-not-made-to-live-alone.html
Au sein des toutes les formes de vie qui existent,
qu’elles appartiennent au monde animal, végétal, aux
micro-organismes, virus bactéries et autres, à celui des
champignons, les individus en faisant parties vivent en
association, en collaboration, autrement dit en société, la
forme de vie humaine est l’unique qui soit devenue a-sociale,
la division de la société humaine en classes, castes, puis en
races et en genres déclinés à l’infini, comme est entrain de
l’organiser le régime judéo-ploutocratique occidental étant
parvenu à imposer un état de quasi isolement absolu de chaque
individu vis à vis des autres, l’ultime lieu de socialité, la
famille normale, constituée d’un homme, d’une femme, et de
leurs enfants, voire en plus des grands-parents, des oncles, des
tantes, cousins, neveux ... étant en passe de disparaître du
fait de l’offensive du régime, qui manipule, conditionne,
dresse les homosexuels et autres déviants a-sociaux (drag
queens, transgenres ...) organisés en milices politiques en
charge de briser les derniers liens sociaux humains.
A cela
s’ajoute l’isolement dû à l’interdit des contacts sociaux
directs entre individus, contact direct auquel se substitue les
simulacres de contacts apportés par l’internet, les pseudo
réseaux pseudo sociaux, les pseudo communautés qui se
constituent sur ces pseudo réseaux, les pseudo amis, les pseudo
relations et autres mirages relationnels, l’offensive via la
fausse épidémie de Covid, ayant marqué sur le physique
l’interdit du contact réel, vrai entre individu.
A
chaque nouvelle génération arrivant au monde, la transformation
psychique de l’animal humain se renforce, le bébé actuel
naissant dans un univers de plus en plus asocial, où le visage
même de ceux qui le mettent au monde est masqué, et où très
bientôt il ne connaîtra même pas sa mère et son père réel,
et tout cela deviendra la norme, le déviant sera celui qui aura
conservé au fond de lui l’instinct vital du contact
réel.
C’est l’idéal enfin atteint d’une caste
occupant le sommet d’une société pyramidale, hiérarchisée,
divisée en classes, fondée sur l’appropriation privée, non
communautaire, non-partageuse, un rêve de dément qui s’est
perpétué depuis environ 10 000 ans, depuis que l’espèce
humaine s’est constituée en états, en cités, et en classes
de dominants accaparant l’ensemble des biens, au détriment de
la masse, à laquelle on ne laisse que le minimum pour survivre,
et qu’on doit maintenir dans la division sociale et politique,
afin qu’elle ne devienne pas un danger pour ceux occupant le
sommet.
Le temps est enfin venu pour que la
non-société hiérarchique de division trouve sa stabilité et
que les dominants puissent enfin dormir tranquille sans crainte
d’être réveillés par une révolution, l’individu de la
masse est devenu un être asocial, incapable de se lier à aucun
de la masse à laquelle il appartient, bien plus, un vrai contact
lui semblera répugnant et il le fuira.
Or, l’ensemble
de la vie, formé par toutes les espèces, est une symbiose, une
société, l’Univers est une société, l’espèce humaine
telle qu’elle devient s’exclue donc de l’Univers.
Cela
trouve son origine il y a environ 10 000 ans, lors de la
disparition du mode de vie préhistorique, qui était un mode de
vie communautaire, les biens étant en commun, c’est ce que les
mouvements anarchiste et communiste ont tenté de ressusciter,
les penseurs de ces mouvements ayant l’intuition vitale et
profonde que c’était l’unique manière stable, harmonieuse
et durable d’exister.
Les quelques rares et
maintenant âgés, qui ont connu le mouvement des communautés en
France, savent la plénitude que pouvaient connaître ceux qui
vivaient dans ces communauté, même si le conditionnement mental
de 10 000 ans de vie dans la non-société pyramidale est
difficile à surmonter, surtout quand on n’a pas eu le temps de
s’en libérer, et que ces communautés existaient au sein de la
non-société qui au mieux les ignorait, au pire les rejetait
voire les persécutait.
Le Judéo-Occident est
parvenu actuellement à un paroxysme de la dégénérescence dans
l’a-socialité, et on commence à en voir les conséquences,
que ce type de cheminement ne peut mener qu’à sa propre
destruction, les zone planétaires échappant au Judéo-Occident
étant encore par bien des aspects, communautaires, socialisées,
s’en tirant infiniment mieux, et au fond, n’ayant rien
d’autres à faire qu’à contenir le Judéo-Occident qui
s’effondre sur lui-même.
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