Evolutionary
cosmogony, from the birth of the Universe to the Great Reset
Move
from system to creator state, back to
source
Cosmogonie évolutionnelle, de la naissance de
l'Univers au Grand Reset
Passer de l'état de système à
l'état créateur, le retour à la source
Communication
de Michel Dakar, le 31 août 2023, Villequier,
France
http://the-key-and-the-bridge.net/move-from-system-to-creator-state-back-to-source.html
Illustrations
1
-
http://aredam.net/Histoire-de-la-Chine-Danielle-Elisseeff-Les-racines-du-present-1997.html
http://aredam.net/Histoire-de-la-Chine-Danielle-Elisseeff-1.pdf
(pages 69 à 71)
2
- Talk Talk It’s my life https://ok.ru/video/1977333191095
L’ensemble de vies sur la planète Terre est
arrivé à une étape majeure commune à tous les ensembles de
vies qui apparaissent dans l’Univers, l’Univers étant
l’ensemble des ensembles de vies particuliers apparaissant en
son sein.
Le principe fondamental de toute évolution
des vies dans l’Univers, est résumé par l’expression
bouddhiste « la vie se nourrit de la vie », ce
principe a été mis en exergue par l’empereur chinois Liang
Wudi qui vécu vers les années
500.
http://aredam.net/Histoire-de-la-Chine-Danielle-Elisseeff-1.pdf
(pages 69 à
71)
http://aredam.net/Histoire-de-la-Chine-Danielle-Elisseeff-Les-racines-du-present-1997.html
Ce principe « la vie se nourrit de la vie »
provoque un état mécanique, une mécanique étant ce qu’on
nomme un système, un état où chaque élément qui lui
appartient ne possède aucun liberté, c’est à dire que chaque
élément n’est pas un tout mais une partie, qui obéit au
système. Dans un système, il n’existe aucune liberté, aucune
créativité. Le devenir, l’évolution sont ce qui résulte des
interactions entre éléments, ensembles d’éléments,
ensembles d’ensembles d’éléments. L’évolution se fait
mécaniquement, nous pouvons constater en ce qui concerne
l’ensemble de vies sur la planète Terre, pris comme exemplaire
pour l’Univers, que le système fondé sur le principe « la
vie se nourrit de la vie », tend vers la complexification
des éléments de vies. Darwin n’avait fait que pressentir
l’état fondamental de système dans l’évolution de la vie,
étant trop conditionné par l’idéologie anthropocentrique et
suprématiste de la société européenne 19 ème siècle dont il
ne pu se libérer.
C’est dans cet état de système
que nous nous trouvons depuis l’apparition de l’Univers, que
selon les connaissances actuelles en physique, nous estimons il y
a environ 13 milliards d’années.
En ce qui concerne
l’ensemble de vie sur la planète Terre, la vie serait apparue
il y a environ 4 milliards d’années (environ 500 millions
d’années après la formation de la planète Terre).
Un
système ne crée pas, il fonctionne, et son fonctionnement
produit. Dans un système, la liberté n’existe pas, l’idée
même de liberté est antinomique avec l’idée de système, de
même que l’idée de création.
Les idées de
liberté et de créativité appartiennent à un état autre que
l’état de système.
Nous sommes toujours depuis
l’apparition de l’Univers, il y a environ 13 milliards
d’années, dans un état de système, où la liberté et la
créativité n’existent pas.
Nous ne sommes que le
produit d’une mécanique dont le fonctionnement a amené peu à
peu la complexification des formes de vies, dont l’espèce
humaine sur la planète Terre nous apparaît comme à la pointe
de la complexification, mais nous humains, ne connaissons pas
plus qu’une simple bactérie, la liberté et la
créativité.
Mais le fait que nous ayons la
conscience des idées de liberté et de créativité, indique que
notre degré de complexification nous rapproche de la sortie de
l’état de système, et qu’il nous suffirait encore d’une
légère avancée pour accéder à un état autre que celui de
système, pour entrer dans un état de liberté et de
créativité.
C’est à cette étape que nous sommes
arrivés, que l’ensemble de vies sur la planète Terre est
arrivé, et au-delà, que l’ensemble des ensembles de vies dans
tout l’Univers est arrivé.
Cela a du se produire
sans doute bien d’autres fois dans l’Univers, nous ne pouvons
être unique dans la quasi infinitude de l’Univers et des
possibles.
Comme toute naissance, c’est une étape
difficile, le fait de quitter un état pour en connaître un
autre doit être toujours difficile, comme le passage d’un
papillon de l’état de chrysalide à l’état de
papillon.
L’actuel Great Reset peut être interprété
comme
une réaction à ce changement d’état, comme une tentative
pour rester dans un état de système, de non-choix, de
non-conscience, de non-liberté, de non-être au fond, sans doute
moins angoissant qu’un état de conscience, de liberté et de
créativité, qui engage à être face à la réalité et à
devoir prendre son destin en main.
Voilà où nous en
sommes.
La machine et les non-êtres machinaux
s’opposent à l’évolution naturelle d’une espèce parvenu
à un degré de complexification telle que cette espèce est en
train de franchir la limite de l’état de machine pour accéder
à un état non-machinal, de liberté et de créativité.
Les
tenants du Great Reset sont des mécaniques qui appartiennent
déjà au passé, mais dont la détermination machinale les force
à entraver l’évolution normale de leur propre espèce qui ne
demande qu’à sortir de l’état de machine.
Se
pose à l’occasion de la précédente remarque, le problème du
langage, et du monde conceptuel dont le langage est la
manifestation, en ce sens que les tenants du Great Reset ne
décident pas, ils ne cherchent donc pas à entraver l’évolution
de la vie, ils ne sont que des éléments d’une machine qui
réagit à une modification de son contexte, dans cas, une
mutation évolutionnelle majeure de certains éléments qui
constituent ce système machinal, évolution qui va faire muter
ce système en un autre état que celui de système, et donc le
faire disparaître. On peut considérer le Great Reset comme une
réaction de survie d’un système en passe de devenir caduque
et de s’effacer. Mais on est encore une fois là que devant
l’apparence d’une chose vivante, le système ne cherche pas à
survivre comme le ferait un être vivant, c’est une simple
chose dont la prédétermination est d’assurer la durée de
lui-même et de ses éléments, dans le but de donner le temps de
l’évolution. Et même encore là, il faut se méfier du
langage propre à un système, car il n’y a pas de but, ni de
programmation, au fond, il n’y a pas ce que les idéologies
afférentes au peuple juif (judaïsme, christianisme et islam),
nomment un dieu. Pour comprendre ce qu’est un système il
faudrait progresser jusqu’à sortir de l’état de système,
et pouvoir l’observer de l’extérieur. Ainsi, nous
comprendrons notre histoire que quand nous aurons évolué
suffisamment pour sortir de l’état de système.
En
quoi cette
sortie de l’état de système
constitue-t-il un retour à la source ?
Du fait
que l’état d’avant l’apparition de l’Univers était un
état de non-système, soit de liberté et créateur, c’est
d’ailleurs cet état qui a engendré l’Univers.
C’est ce que les anciens taoïstes dénommaient le
« vide créateur », vide étant entendu comme un état
de non-système, ou encore la femelle silencieuse, le creux, la
vallée, soit incompréhensible pour les éléments humains
appartenant à un état de système (Talk Talk It’s my life,
1984,
https://ok.ru/video/1977333191095).
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