Nommer
le chat
Nommer
le vrai ennemi dans l’actuelle guerre entre le Bloc
occidentalo-juif et le bloc insurrectionnel
mondial.
Communication de Michel Dakar, Villequier en
France le 19 février
2024
http://the-key-and-the-bridge.net/nommer-le-vrai-ennemi.html
Ce
présent texte est destiné à faire avancer les choses afin de
hâter un dénouement positif pour toute l’humanité.
Il
faut nommer un chat un chat et le chat qu’on ne peut nommer
représente ce qui est si dangereux qu’on ne peut prononcer son
nom.
Il en est ainsi de l’article du 18 février
2024, reproduit en annexe avec son lien, du site internet russe
Avia-pro, relatif au chat qu’on ne peut nommer, à la place
duquel on nomme l’Occident, Kiev, Berlin, Londres,
Washington.
Le chat qu’on ne peut nommer est le chat
dénommé pouvoir juif, ou judaïsme.
Ce qui est
derrière toutes les guerres mondiales de l’« l’Occident »,
est le pouvoir juif, ou judaïsme.
Tant que les
puissances insurrectionnelles planétaires ne trouveront pas le
chemin pour nommer le chat, rien n’avancera vraiment dans la
résolution des conflits et la mise en place d’un état stable
pour l’espèce humaine, propice à l’instauration d’un
ordre social fondé sur l’égalité, seul ordre assurant la
viabilité de l’espèce humaine.
Annexe
: article du site Avia-pro, du 18 février 2024
À
propos de Kiev, Berlin, Londres, Washington » : Medvedev a
prévenu que l’effondrement de la Russie aurait des
conséquences désastreuses pour l’Occident
https://avia-pro.fr/news/po-kievu-berlinu-londonu-vashingtonu-medvedev-predupredil-chto-razval-rossii-budet-imet
Le vice-président du Conseil de sécurité russe,
Dmitri Medvedev, a vivement critiqué l'Occident, mettant en
garde contre le risque d'une guerre mondiale s'ils tentaient de
modifier les frontières territoriales de la Russie, les ramenant
à l'état de 1991. Ses commentaires interviennent dans le
contexte des déclarations des ministres de la Défense allemand
et britannique, Boris Pistorius et Grant Shapps, sur
l'inadmissibilité d'une victoire russe. Medvedev a condamné de
telles déclarations comme une manifestation de capacités
mentales limitées et a souligné que la Russie ne permettra pas
la victoire des néo-nazis soutenus par l'Occident.
Selon
Medvedev, la volonté occidentale de diviser la Russie et de la
faire disparaître de la scène mondiale sous sa forme actuelle
entraînera des conséquences catastrophiques. Il a déclaré que
les tentatives des pays occidentaux visant à détruire l'unité
de la Russie pourraient provoquer un conflit mondial avec
l'utilisation d'un arsenal nucléaire. Medvedev a évoqué
l'utilisation possible d'armes nucléaires stratégiques contre
des villes clés comme Kiev, Berlin, Londres et Washington, dont
les coordonnées, selon lui, figurent déjà dans la liste des
cibles de la triade nucléaire russe.
Un
haut responsable politique russe a souligné la gravité de la
situation, mettant en garde contre les conséquences désastreuses
pour la communauté mondiale et soulignant que la Russie
défendrait son existence si elle était menacée d'extinction.
Medvedev a posé des questions rhétoriques sur la volonté de la
Russie de prendre des mesures extrêmes pour protéger son
histoire et son patrimoine millénaires, soulignant la tragédie
des conséquences potentielles d'une telle évolution.
«
L’effondrement de la Russie aura des conséquences bien plus
désastreuses que les résultats d’une guerre ordinaire, même
la plus longue. Car les tentatives visant à ramener la Russie
aux frontières de 1991 ne mèneront qu’à une seule chose.
Vers une guerre mondiale avec les pays occidentaux utilisant tout
l’arsenal stratégique de notre État. À Kiev, Berlin,
Londres, Washington. À tous les autres beaux lieux historiques
qui font depuis longtemps partie des cibles de vol de notre
triade nucléaire. Aurons-nous le courage de le faire si la
disparition d’un pays millénaire, notre grande Patrie, est en
jeu et si les sacrifices consentis par le peuple russe au fil des
siècles sont vains ? La réponse est évidente"-
a déclaré Medvedev.
Cependant,
malgré une telle déclaration, l’Occident a choisi de ne pas
réagir.
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