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mars 2017/ 30
commentaires / dans Nationalisme
européen , Articles
de fond / par Beau
Albrecht
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- Le
plan Kalergi : le génocide des peuples
européens Peu de gens savent qu’un des principaux protagonistes du processus européen est aussi celui qui a planifié et programmé le génocide des peuples européens. Il s’agit d’un obscur personnage dont les masses ignorent l’existence, mais que les « puissants » considèrent comme étant le père fondateur de l’Union Européenne. Son nom est Richard Coudenhove Kalergi. En coulisse, loin des projecteurs, il a réussi a attirer dans ses filets les plus importants chefs d’Etat. Ils soutiendront et feront la promotion de son projet d’unification européenne [1]. En 1922, il fonda à Vienne le mouvement « Paneuropéen », qui visait l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial basé sur une Fédération de Nations dirigée par les Etats-Unis. L’unification de l’Europe aurait été le premier pas vers un unique Gouvernement Mondial. Avec la montée du fascisme en Europe, le Plan a du être momentanément stoppé, et l’Union Paneuropéenne contrainte de se dissoudre. Mais, après la seconde guerre mondiale, Kalergi, grâce à une frénétique et infatigable activité, grâce aux appuis de Winston Churchill, de la loge maçonnique B’nai B’rith et d’importants quotidiens comme le New York Times, réussit à faire accepter son projet au gouvernement des USA.
Dans son livre « Praktischer Idealismus », Kalergi déclare que les habitants des futurs « Etats Unis d’Europe » ne seront plus les peuples originaires du Vieux Continent, mais plutôt une sorte de sous-humanité bestiale issue de mélanges raciaux. Il affirmait, sans demi-mesure, qu’il était nécessaire de « croiser » les peuples européens avec les Asiatiques et les Noirs, pour créer un troupeau multi-ethnique sans qualités spécifiques et facile à dominer pour les élites au pouvoir. Voilà comment Gerd Honsik décrit l’essence du Plan Kalergi : « L’homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato-negroïde, très semblable aux anciens Egyptiens, remplacera la multiplicité des peuples [...] [2] Kalergi proclama qu’il fallait abolir le droit à l’autodétermination des peuples et, successivement, éliminer les nations en utilisant les mouvements ethniques séparatistes ou l’immigration allogène de masse. Pour que les élites puissent dominer l’Europe, il prévoyait de transformer les peuples homogènes en un peuple métissé ; il attribuait aux métis des caractéristiques de cruauté et d’infidélité, entre autres. Ce peuple, selon lui, devait être créé et ce nouveau peuple métissé permettrait à l’élite de lui être supérieure. En éliminant d’abord la démocratie, à savoir le pouvoir du peuple, et ensuite le peuple lui-même avec le métissage, les Blancs devaient être remplacés par une race métissée facile à dominer. En abolissant le principe d’égalité de tous devant la loi et en préservant les minorités de toute critique, avec des lois extraordinaires les protégeant, on réussirait à contrôler les masses. Les politiques de l’époque ont écouté Kalergi, les puissances occidentales se sont basées sur son Plan, les journaux et les services secrets américains ont financé ses projets. Les leaders de la politique européenne savent bien que c’est lui l’instigateur de cette Europe dirigée par Bruxelles et Maastricht. Kalergi, inconnu de l’opinion publique, [...] est considéré comme le père de Maastricht et du multiculturalisme. Ce qui est révolutionnaire dans son Plan, est qu’il ne préconise pas un génocide pour atteindre le pouvoir, mais qu’il prévoit de créer des « sous-humains » qui, en raison de caractéristiques négatives comme [l'incapacité] et l’instabilité, toléreront et accepteront cette « noble race » [3] (ndt noble race = élite).
Bien qu’aucun livre d’école ne parle de Kalergi, ce sont ses idées qui ont inspiré l’Union Européenne d’aujourd’hui. Sa conviction que les peuples européens devaient être métissés avec les Noirs et les Asiatiques pour détruire leur identité et créer une unique race métissée, est à la base de toute la politique européenne face à l’intégration et à la défense des minorités. Tout cela n’est pas décidé pour des raisons humanitaires. Ces directives sont promulguées, avec une détermination impitoyable, pour réaliser le plus grand génocide de l’histoire. Le prix européen Coudenhove-Kalergi a été institué en son honneur. Tous les deux ans, il récompense les européistes qui se sont particuliè- rement distingués dans la poursuite de son Plan criminel. Parmi eux, nous trouvons des personnes du calibre d’Angela Merkel ou d’Herman van Rompuy. La Société Européenne Coudenhove-Kalergi a décerné le premier prix européen à Angela Merkel en 2010. Le 16 novembre 2012 le prix Coudenhove-Kalergi a été décerné au président du Conseil européen Herman von Rompuy pendant un congrès spécial qui s’est déroulé à Vienne pour célébrer les 90 ans du mouvement paneuropéen. Derrière lui on pouvait voir le symbole de l’union paneuropéenne : une croix rouge qui domine un soleil doré, symbole qui était celui de l’ordre de la Rose-Croix. L’ONU pousse au génocide par ses constantes exhortations à accueillir des millions d’immigrés pour compenser la baisse de natalité en Europe. Un rapport de la « Population Division » des Nations Unies à New-York (datant de janvier 2000), est intitulé : « Migrations de remplacement : une solution pour les populations vieillissantes et en déclin ». Selon ce rapport, l’Europe aurait besoin d’ici 2025 de 159 millions d’immigrés. On se demande comment il est possible de faire des estimations aussi précises, à moins que l’immigration ait été prévue et étudiée « sur papier ». En fait, il est sûr que la baisse de natalité chez nous pourrait facilement être inversée avec des mesures adaptées de soutien aux familles. Et il est tout aussi évident que ça n’est pas avec l’apport d’un patrimoine génétique différent que l’on protègera le patrimoine génétique européen, et qu’en agissant ainsi, on accélère sa disparition. Ainsi, l’unique but de ces mesures est de dénaturer complètement un peuple, de le transformer en un ensemble d’individus sans plus aucune cohésion ethnique, historique et culturelle. Bref, les thèses du Plan Kalergi ont constitué et constituent jusqu’à aujourd’hui la base de la politique officielle des gouvernements qui poussent au génocide des peuples européens à travers l’immigration de masse. G.Brock Chisholm, ex-directeur de l’OMS, nous montre qu’il a parfaitement appris la leçon de Kalergi quand il affirme : « Ce que les gens doivent développer en tous lieux, est le contrôle des naissances ET les mariages mixtes (interraciaux), dans le but de créer une seule race dans un monde unique et dépendant d’une autorité centrale » [4]
Si nous regardons autour de nous, le Plan Kalergi semble s’être pleinement réalisé. Nous sommes au-devant d’une vraie tiersmondialisation de l’Europe. L’axiome de la « Nouvelle citoyenneté », c’est le multiculturalisme et le métissage forcé. Les Européens sont les naufragés du métissage, submergés par des hordes d’immigrés africains et asiatiques. Les mariages mixtes produisent chaque année des milliers d’individus métis : les « enfants de Kalergi ». Sous la double poussée de la désinformation et de l’abêtissement du peuple, grâce aux moyens de communication de masse, on a poussé les Européens à renier leurs propres origines, à oublier leurs propres identités ethniques. Les partisans de la globalisation s’efforcent de se convaincre que, renoncer à sa propre identité, est un acte progressiste et humanitaire, que le « racisme » est erroné, mais uniquement parce qu’ils aimeraient faire de nous des consommateurs aveugles. http://www.dailymotion.com/video/x2v9don https://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Nikolaus_de_Coudenhove-Kalergi https://sitamnesty.wordpress.com/plan-kalergi/ http://fr.sputniknews.com/french.ruvr.ru/radio_broadcast/no_program/279173069/ NOTE : (pas traduites en français, ndt) [1] Tra i suoi seguaci della prima ora si incontrano i politici cechi Masarik e Benes, così come il banchiere Max Warburg che ha messo a sua disposizione i primi 60.000 marchi. Il cancelliere austriaco Monsignor Ignaz Seipel e il successivo presidente austriaco Karl Renner si incaricarono successivamente di guidare il movimento Paneuropa. Kalergi stesso indicava che alti politici francesi approvavano il suo movimento per reprimere la ripresa della Germania. Così il primo ministro francese Edouard Herriot e il suo governo, come i leaders britannici di tutti gli ambiti politici e, tra loro, il redattore capo del Times, Noel Baker, caddero nelle macchinazioni di questo cospiratore. Infine riuscì ad attrarre Winston Churchill. Nello stesso anno, quello che più tardi si trasformerà nel genocida ceco di 300.000 tedeschi dei Sudeti, Edvard Benes, fu nominato presidente onorario. Egli ha finora quasi disconosciuto Kalergi, ma negoziava anche con Mussolini per restringere il diritto di autodeterminazione degli austriaci e favorire ancora di più le nazioni vittoriose, ma fallì. Nell’interminabile lista degli alti politici del XX secolo, c’è da menzionare particolarmente Konrad Adenauer, l’ex ministro della giustizia spagnolo, Rios, e John Foster Dulles (EEUU). Senza rispettare i fondamenti della democrazia e con l’aiuto del New York Times e del New York Herald Tribune, Kalergi presentò al Congresso Americano il suo piano. Il suo disprezzo per il governo popolare lo manifestò in una frase del 1966, nella quale ricorda la sua attività del dopoguerra : << I successivi cinque anni del movimento Paneuropeo furono dedicati principalmente a questa meta : con la mobilitazione dei parlamenti si trattava di forzare i governi a costruire la Paneuropa >>. Aiutato da Robert Schuman, ministro degli esteri francese, Kalergi riesce a togliere al popolo tedesco la gestione della sua produzione dell’acciaio, ferro e carbone e la trasferisce a sovranità sovranazionale, ossia antidemocratica. Appaiono altri nomi : De Gasperi, il traditore dell’autodeterminazione dei tirolesi del sud, e Spaak, il leader socialista belga. Finge di voler stabilire la pace tra il popolo tedesco e quello francese, attraverso gli eredi di Clemenceau, quelli che idearono il piano genocida di Versailles. E negli anni venti sceglie il colore azzurro per la bandiera dell’Unione Europea. Il ruolo guida di Kalergi nella creazione dell’Europa multiculturale e nella restrizione del potere esecutivo dei parlamenti e dei governi, è evidente ai giorni nostri, e si palesa col conferimento del premio “Coudenhove Kalergi” dal cancelliere Helmut Kohl come ringraziamento per seguire questo piano, così come l’elogio e l’adulazione del potente personaggio da parte del massone e polito europeo il primo ministro del Lussemburgo, Junker. Nel 1928 si aggiunsero celebri politici e massoni francesi : Leon Blum (più tardi primo ministro), Aristide Briand, E. M. Herriot, Loucheur. Tra i suoi associati si incontrava gente molto diversa come lo scrittore Thomas Mann e il figlio del Kaiser, Otto d’Asburgo. Tra i suoi promotori, a parte i già menzionati Benes, Masarik e la banca Warburg, si incontrava anche il massone Churchill, la CIA, la loggia massonica B’nai B’rith, il “New York Times” e tutta la stampa americana. Kalergi fu il primo a cui fu assegnato il premio Carlomagno nella località di Aachen ; e quando lo ricevette Adenauer, Kalergi era presente. Nel 1966 mantiene i contatti con i suoi collaboratori più importanti. Tutti coloro che sono stati insigniti di questo premio fanno parte del circolo di Kalergi e della massoneria, o si sforzarono di rappresentare gli interessi degli USA in Germania. Nell’anno 1948 Kalergi riesce a convertire il “Congresso degli europarlamentari” di Interlaken in uno strumento per obbligare i governi a tornare a occuparsi della “questione europea”, vale a dire, a realizzare il suo piano. Proprio allora si fonda il Consiglio europeo e in cima alla delegazione tedesca troviamo Konrad Adenauer appoggiato dalla CIA. (Gerd Honsik, “Il Piano Kalergi”) [2] Kalergi, Praktischer Idealismus : "L’homme du futur sera le produit de différentes races. Les races et classes d’aujourd’hui disparaîtront progressivement par l’élimination des espaces, du temps et des préjugés. La race eurasienne-négroïde du futur, similaire en apparence aux anciens égyptiens, remplacera la diversité des peuples et celle des individus. Plutôt que de détruire le judaïsme européen, l’Europe, contre sa volonté, éduque ce peuple et le conduit à son futur statut de leader de ce processus artificiel. Ce n’est pas surprenant que le peuple qui s’est échappé des ghettos-prisons devienne la noblesse spirituelle de l’Europe. Ainsi cette attention particulière de l’Europe a donné naissance à une nouvelle race d’aristocrates. Cela est dû à l’anéantissement de l’aristocratie féodale européenne qui s’est effondrée au moment de l’émancipation des juifs [En raison de la révolution française]." [3] Honsik, op.cit. [4] « USA Magazine », 12/08/1955
Cet article décrit une personnalité politique métisse, militant professionnel, qui, sous une apparence bienveillante, a pourtant semé la destruction sur son passage. Le comte Richard Nikolaus Eijiro von Coudenhove-Kalergi est aujourd'hui une personnalité politique méconnue, bien qu'il ait été en son temps une célébrité mineure et qu'il ait été à l'origine du concept de l'Union européenne. Son père était issu de la noblesse byzantine et possédait des ancêtres de toute l'Europe. Ce citoyen du monde était diplomate et épousa une Japonaise dont les parents, très mécontents, la chassèrent de la famille. Richard naquit en 1894, deuxième d'une famille de sept enfants. Très jeune, ils quittèrent Tokyo pour s'installer dans une petite ville proche de l'actuelle frontière germano-tchèque. À vingt ans, Richard perdit son père, lui laissant une fortune dont la plupart des gens ne peuvent que rêver, et le libérant ainsi pour se consacrer pleinement à son hobby. Tout comme Karl Marx, Richard écrivit beaucoup, mais n'eut jamais de véritable emploi. La principale différence résidait dans le fait qu'il était issu de la petite noblesse terrienne, tandis que Marx n'était qu'un clochard complotant une révolution mondiale tout en buvant de la bière dans les pubs londoniens.
La mise en œuvre d'aspirations indiscrètes repose sur le fait d'avoir des relations La cause de Richard était le mondialisme. En 1923, il fonda l'Union paneuropéenne internationale, qu'il présidera jusqu'à sa mort. Son drapeau ressemblait étrangement à celui de l'empire japonais. C'est cette organisation qui lança le mouvement, initiant l'élan idéologique qui aboutit finalement au géant qu'est l'Union européenne. Sa fortune héritée et son statut privilégié lui permirent de fréquenter de nombreux dirigeants mondiaux, bénéficiant d'un accès inconnu de leurs concitoyens ordinaires. Il tenta même de solliciter le soutien de Mussolini, mais le Duce refusa. Richard fréquenta également des banquiers ultra-riches et antinationalistes qui manifestèrent un vif intérêt pour lui, tels que Louis Nathaniel de Rothschild et Max Warburg. Ce dernier contribua largement à ses premières initiatives et servit d'intermédiaire à Bernard Baruch, jeune prodige de Wall Street. Soit dit en passant, cela doit être de famille. Max était le frère de Paul M. Warburg, considéré comme le père de la Réserve fédérale. Le fils de Paul était James Warbug, conseiller financier de Roosevelt, membre du Conseil des relations étrangères et partisan du plan Morgenthau . Il a même eu l'audace suprême de déclarer au Sénat : Nous aurons un gouvernement mondial, que cela nous plaise ou non. La seule question est de savoir si ce gouvernement mondial sera obtenu par consentement ou par conquête. Richard avait des idées intéressantes sur le fonctionnement du monde, comme faire de l'anglais la langue officielle mondiale. De plus, il souhaitait réduire tous les pays du monde à cinq : l'URSS, l'Asie de l'Est dominée par le Japon et la Chine, l'Empire britannique, les États-Unis d'Europe (y compris le reste de l'Afrique) et l'Union panaméricaine (l'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud, en somme, l'ALENA dopé aux stéroïdes). Au moins, cela fait deux super-États de plus que dans 1984 d'Orwell , même si on ne comprend pas pourquoi il n'a pas osé, comme John Lennon, imaginer l'absence de nations. Ce grand patriote européen nourrissait des aspirations encore plus intéressantes. De son livre Praktischer Idealismus (Idéalisme pratique) est né le concept aujourd'hui communément appelé le Plan Coudenhove-Kalergi . On y trouve un certain snobisme sur la noblesse ; c'est tout à fait normal chez un élitiste comme lui. Le livre regorge de citations révélatrices , mais je vais rester bref et vous en donner ma traduction : Détruire la diversité au nom de la diversité Der Mensch der fernen Zukunft wird Mischling sein. Die heutigen Rassen et Kasten werden der zunehmen-den Überwindung von Raum, Zeit et Vorurteil zum Opfer sont tombés. La Zukunftsrasse eurasisch-negroide, äußerlich der altägyptischen ähnlich, wird die Vielfalt der Völker durch eine Vielfalt der Persönlichkeiten ersetzen. L'homme du futur lointain sera métis. Les races et les castes d'aujourd'hui seront victimes de la domination croissante de l'espace, du temps et des préjugés. La race future eurasienne-négroïde, semblable en apparence aux anciens Égyptiens, remplacera la diversité des peuples par une diversité des individus. Après cela, selon l'argument, les races n'existeront plus, mais leur esprit perdurera, et chacun sera véritablement diversifié, ce qui est une bonne chose car, comme nous le savons tous, la diversité est notre plus grande force. Quant à la richesse culturelle du monde, elle se réduirait à des éléments comme la télévision, les hamburgers et le shopping. Détruire des cultures distinctes et leur singularité génétique, et les remplacer par des individus atomisés et déracinés – pour une raison étrange, cela ressemble assez au programme des ingénieurs sociaux d'aujourd'hui. En 1925, avant que l'influence de Franz Boas, Ashley Montagu et Trofim Lysenko n'ait largement répandu le slogan « la race n'est qu'une construction sociale », c'était une proposition plutôt audacieuse. En fait, Richard aurait pu être traité de goudron et de plumes à l'époque si sa fortune, ses relations et sa célébrité ne l'avaient pas rendu intouchable. Cela aurait pu plaire aux têtes blondes de la haute société, mais pas aux gens ordinaires. Aujourd'hui, bien sûr, seuls les plus courageux osent s'exprimer publiquement contre ces idées. Il est allé plus loin en décrivant à quel point l'avenir serait merveilleux après que la cocotte-minute multiculturelle ait transformé tout le monde en bouillie monoculturelle. Pourtant, Richard avait complètement tort de dire que cela était inévitable. Les pays qui souhaitent se protéger des migrations de masse en sont tout à fait capables. Pour ne citer qu'un exemple, la Chine est toujours chinoise après des milliers d'années, et Israël est déterminé à rester un État juif. Le rêve fougueux de Richard n'est possible que si un pays ouvre ses frontières à tous, sans se soucier de leur intégration (ou non) à la population autochtone, et encore moins de la volonté des populations qui y vivent déjà – autrement dit, exactement la même situation que partout en Occident. Enfin, si un melting-pot pangéique est supposé inévitable et bénéfique, pourquoi tant de propagande tente-t-elle de le faire croire ? Pourquoi se précipiter ? Voilà une question suggestive. Enfin, il se trompait au sujet des anciens Égyptiens. Ils n'étaient pas un ramassis de choses, mais un peuple distinct, membre de la famille des nations sémitiques, apparenté aux Arabes, aux Babyloniens, aux Israélites, aux Phéniciens, etc. C'est une petite remarque, mais déformer l'histoire à des fins politiques est assez malhonnête. Nul besoin d'être psychiatre pour comprendre que cet homme sans identité raciale cherchait à apaiser son sentiment de déracinement en essayant de remodeler le monde à son image. Et en réfléchissant à qui devait diriger le Meilleur des mondes, il a naturellement choisi un autre groupe, qui ne s'identifiait pas aux peuples et aux cultures d'Europe. Tu sais qui Le Kampf zwischen Kapitalismus et Kommunismus um das Erbe des assiegten Blutadels est une guerre brutale des siegreichen Hirnadels, un Kampf zwischen individualistischem et sozialistism, egoistischchem and altruistischchem, heidnischem et christlichem geist. Le Generalstab beider Parteien rekrutiert sich aus der geistigen Führerrasse Europas: dem Judentum. La lutte entre le capitalisme et le communisme pour l'héritage de la noblesse héréditaire vaincue est une guerre fraternelle entre la noblesse intellectuelle victorieuse, une lutte entre individualisme et socialisme, égoïsme et altruisme, paganisme et esprit chrétien. L'état-major des deux partis se recrute parmi la race dirigeante spirituelle de l'Europe : les Juifs. Aujourd'hui, il faut se méfier de ce genre de propos dans les pays germanophones ! En gros, Richard disait que le capitalisme contre le communisme était une querelle de famille juive. (Si c'est le cas, ce fut une véritable guerre par procuration pour nous tous !) Quoi qu'il en soit, décrire le capitalisme contre le communisme comme une stratégie du bon et du mauvais flic serait peut-être exagéré, mais il y avait (et il y a) des personnalités éminentes des deux côtés. Comme vous l'aurez deviné, il n'était pas trop mécontent que la « race des chefs spirituels de l'Europe » soit aux commandes de l'état-major. Richard multiplie les éloges, décrivant notamment le meurtrier Léon Trotsky comme le summum de la politique moderne (!!). Puis, les choses deviennent plus intéressantes : Non : le Judentum est le nouveau Adel ; Sondern : das Judentum ist der Schoß, aus dem ein neuer, geistiger Adel Europas hervorgeht ; der Kern, pour un nouveau, le geistiger Adel gruppiert. Une Herrenrasse geistig-urbane est dans Bildung: Idealisten, geistvoll und feinnervig, gerecht und überzeugungstreu, tapfer wie der Feudaladel in seinen besten Tagen, die Tod und Verfolgung, Haß und Verachtung freudig auf sich nehmen, um die Menschheit sittlicher, geistiger, glücklicher zu machen. Ce n'est pas que les Juifs soient la nouvelle noblesse ; ils sont plutôt le berceau d'où émerge une nouvelle noblesse spirituelle européenne ; le noyau duquel se rassemble une nouvelle noblesse spirituelle. Une race supérieure, spirituelle et urbaine, est en train d'être éduquée : idéaliste, fougueuse et sensible ; courageuse comme la noblesse féodale à ses plus beaux jours ; acceptant avec joie la mort et la persécution, la haine et le mépris afin de rendre l'humanité plus éthique, spirituelle et heureuse. C'est très réconfortant. Mais ce n'est pas tout : Alors que le Volk exerce le Judentum den ewigen Kampf der Quantität gegen die Qualität, minderwertiger Gruppen gegen höherrvertige Individuen, minderwertiger Majoritäten gegen höherwertige Minoritäten. En tant que peuple, les Juifs vivent la lutte éternelle entre la quantité et la qualité ; entre les groupes inférieurs et les individus supérieurs ; entre les majorités inférieures et les minorités supérieures. C'est pas ça, comme exagération ? En tant qu'Eurasien non juif, il se classe dans la catégorie des « inférieurs ». Quoi qu'il en soit, ce cheval de bataille de Richard pourrait expliquer pourquoi le régime eurocrate a évolué comme il l'a fait. À quoi pensait-il ? Que faut-il interpréter de cela, ainsi que des fréquentes inepties du document concernant les Führerrasse et les Herrenrasse , et de la rhétorique sur l'éradication de nations distinctes ? Cela signifie que Richard Coudenhove-Kalergi, comme Hitler, croyait en une race supérieure qui, bien que qualifiée de « race supérieure spirituelle », doit être considérée comme plus que cela compte tenu de la réalité ethnique du judaïsme . En réalité, Hitler a tenu des propos acerbes sur le mouvement paneuropéen. Par exemple, son Zweites Buch, peu connu , critique avec virulence le pacifisme et l'internationalisme chaleureux et ambivalent, dans lequel l'ancien chancelier allemand qualifie Richard de « bâtard du monde entier ». Comme son père, ce cosmopolite déraciné avait une vision complexe de la communauté juive : d'abord il la détestait, puis il l'accueillait favorablement. Dans le cas de Richard, ce sont apparemment ses deux épouses juives (la première et la troisième) qui ont fait la différence. Il ne s’agit pas de tous les Juifs Pour éviter tout malentendu, la plupart des membres de la communauté juive n'ont ni l'envie ni le pouvoir de promouvoir cette destruction. La communauté juive organisée et les Juifs riches et puissants ont joué un rôle important dans l'opposition au nationalisme européen et dans la promotion d'une immigration massive vers les pays occidentaux, mais les citoyens ordinaires ne sont pas en cause. Certains Juifs, en effet, sont horrifiés par cette folie. De bien meilleures relations entre nos communautés respectives seraient hautement souhaitables. Restaurer la bonne entente ne peut cependant pas être une voie à sens unique. Gérer ces problèmes au sein de leur communauté serait une solution idéale, si tant est que cela puisse se produire. En fin de compte, il ne s'agit pas vraiment d'un affrontement entre Juifs et non-Juifs d'origine européenne, mais plutôt entre des élites mondialistes irresponsables et le public. Les coupables (de toutes origines) sont des ingénieurs sociaux en puissance qui complotent pour imposer leur volonté au public, des politiciens corrompus qui trahissent leur pays et des ploutocrates abusifs. Ces types-là seraient bien avisés de ne pas conquérir les cœurs et les esprits avec leur arrogance. En résumé Le premier devoir d'une nation est de protéger ses citoyens. Si vous avez remarqué toutes ces émeutes et ce chaos, et que vous vous demandez pourquoi l'UE n'arrête pas le flux de « réfugiés » et d'immigrants incompatibles avec leurs populations d'origine – et ne renvoie pas ceux qui s'y trouvent déjà là-bas d'où ils viennent – c'est parce que les eurocrates ont d'autres priorités. Le système dysfonctionnel fonctionne comme prévu. Les politiciens ne servent pas le peuple, mais plutôt leurs acolytes mondialistes ultra-riches. C'est exactement ce que Richard, le grand-père de tout cela, voulait. Si l'Enfer existe, il en ricane tout en subissant les tortures des damnés. En 1950, pour ses efforts qui ont finalement conduit au régime eurocrate actuel, Richard lui-même fut le premier lauréat du prix Charlemagne, parfois appelé prix Coudenhove-Kalergi. Il partage cette distinction douteuse avec Bill Clinton en 2000 et Angela Merkel (qu'elle soit bénie) en 2008. Quel étrange monde que celui où existe une médaille pour la trahison ! Beau Albrecht blogue sur Return of Kings .
3 - Le plan juif des Illuminati pour le génocide européen
Jamais un peuple n’a accepté sa disparition politique et culturelle avec autant de complaisance que les habitants stupides d’Europe, d’Amérique du Nord et d’Australie.
Ne dirigez pas votre ressentiment vers les immigrants qui essaient simplement de s’améliorer, comme l’ont fait nos propres ancêtres .
Dirigez votre colère vers nos dirigeants politiques et culturels qui, en tant qu’agents des banquiers centraux, sont des colonisateurs et des traîtres.
Cet article est une traduction d' un article italien de 2014, initialement publié sur Identità .
(Modifié par henrymakow.com)
Les causes de la migration de masse sont encore habilement dissimulées par le système et présentées comme inévitables par la propagande multiculturelle. ... Ce qu'ils veulent présenter comme un phénomène inévitable et spontané est en réalité un plan délibéré à long terme visant à détruire la face du continent.
PANEUROPE
L'un des principaux initiateurs du processus d'intégration européenne fut l'homme qui conçut le projet de génocide des peuples d'Europe. L'élite le considère comme le fondateur de l'Union européenne. Son nom est Richard Coudenhove Kalergi. Son père était un diplomate autrichien du nom de Heinrich von Coudenhove-Kalergi (apparenté à la famille byzantine des Kallergi) et sa mère, la Japonaise Mitsu Aoyama...
En 1922, il fonda à Vienne le mouvement « paneuropéen », dont l'objectif était de créer un nouvel ordre mondial fondé sur une fédération de nations dirigée par les États-Unis. L'intégration européenne serait la première étape vers la création d'un gouvernement mondial. Parmi ses premiers partisans figuraient les hommes politiques tchèques Tomáš Masaryk et Edvard Beneš, ainsi que le banquier Max Warburg, qui investit les 60 000 premiers marks. Le chancelier autrichien Ignaz Seipel et le futur président de l'Autriche, Karl Renner, prirent la responsabilité de diriger le mouvement « paneuropéen ». Plus tard, des hommes politiques français, tels que Léon Blum, Aristide Briand, Alcide de Gasperi, etc., le rejoignirent.
Avec la montée du fascisme en Europe, le projet fut suspendu, mais après la Seconde Guerre mondiale, grâce au soutien de Winston Churchill, de la loge maçonnique juive B'nai B'rith et de grands journaux comme le New York Times , le plan fut accepté par le gouvernement américain. La CIA entreprit ensuite de mener à bien le projet.
L'ESSENCE DU PLAN KALERGI
Dans son livre « Praktischer Idealismus », Kalergi indique que les habitants des futurs « États-Unis d'Europe » ne seront pas les peuples du Vieux Continent, mais les produits d'un métissage. Il affirme clairement que les peuples d'Europe devraient se métisser avec les Asiatiques et les races de couleur, créant ainsi un troupeau multinational sans qualité et facilement contrôlable par l'élite dirigeante.
Kalergi élimine l'identité nationale et l'autodétermination par des mouvements séparatistes ethniques et des migrations de masse. Pour que l'Europe soit contrôlée par une élite, il veut transformer le peuple en une race mixte homogène composée de Noirs, de Blancs et d'Asiatiques. Mais qui est cette élite ? Kalergi est particulièrement éclairant à ce sujet :
L'homme du futur sera métissé. Les races et les classes d'aujourd'hui disparaîtront progressivement, l'espace, le temps et les préjugés s'effaçant. La race eurasienne-négroïde du futur, semblable aux Égyptiens de l'Antiquité, remplacera la diversité des peuples et des individus. Au lieu de détruire le judaïsme européen, l'Europe, contre sa volonté, a raffiné et éduqué ce peuple, le propulsant vers son futur statut de nation dominante grâce à ce processus évolutif artificiel. Il n'est pas surprenant que les évadés du ghetto-prison soient devenus la noblesse spirituelle de l'Europe. Ainsi, la compassion dont elle a fait preuve a donné naissance à une nouvelle race d'aristocrates. Cela s'est produit lorsque l'aristocratie féodale européenne s'est effondrée suite à l'émancipation des Juifs [suite aux mesures prises par la Révolution française].
Bien qu'aucun manuel ne mentionne Kalergi, ses idées constituent les principes directeurs de l'Union européenne. La conviction que les peuples d'Europe doivent se mêler aux Africains et aux Asiatiques, afin de détruire notre identité et de créer une seule race métisse, est à la base de toutes les politiques communautaires visant à protéger les minorités. Non pas pour des raisons humanitaires, mais en raison des directives émises par le régime impitoyable qui fomente le plus grand génocide de l'histoire.
Le Prix européen Coudenhove-Kalergi est décerné tous les deux ans à des Européens qui se sont distingués dans la promotion de ce projet criminel. Parmi les lauréats figurent Angela Merkel et Herman Van Rompuy.
L'incitation au génocide est également à l'origine des appels constants des Nations Unies, qui exigent l'accueil de millions d'immigrants pour remédier au faible taux de natalité de l'UE. Selon un rapport publié en janvier 2000 dans la revue « Division de la population » des Nations Unies à New York, intitulé « Remplacer l'immigration : une solution au déclin et au vieillissement de la population », l'Europe aura besoin de 159 000 000 de migrants d'ici 2015.
On se demande comment il est possible d'estimer l'immigration avec une telle précision s'il ne s'agissait pas d'un plan prémédité. Il est certain que le faible taux de natalité pourrait facilement être inversé grâce à des mesures appropriées de soutien aux familles. Il est tout aussi clair que l'apport de gènes étrangers ne protège pas notre patrimoine génétique, mais contribue à sa disparition. Le seul but de ces mesures est de dénaturer complètement notre peuple, de le transformer en un groupe sans cohésion nationale, historique et culturelle.
En bref, les politiques du plan Kalergi étaient, et sont toujours, à la base des politiques gouvernementales officielles visant au génocide des peuples d'Europe, par le biais d'une immigration massive. G. Brock Chisholm, ancien directeur de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a déclaré : « Ce que les populations doivent faire partout, c'est limiter la natalité et promouvoir les mariages mixtes (entre différentes races), afin de créer une race unique dans un monde dirigé par une autorité centrale. »
CONCLUSION
Si l'on regarde autour de nous, le plan Kalergi semble pleinement réalisé. Nous sommes confrontés à la fusion de l'Europe avec le Tiers-Monde. Le fléau des mariages interraciaux produit chaque année des milliers de jeunes métis : « Les enfants de Kalergi ». Sous la double pression de la désinformation et de la stupéfaction humanitaire, véhiculée par les médias grand public, on apprend aux Européens à renoncer à leurs origines, à leur identité nationale, raciale et culturelle.
Les serviteurs de la mondialisation tentent de nous convaincre que nier notre identité est un acte progressiste et humanitaire, que le « racisme » est un mal. Il est plus que jamais nécessaire de contrer les mensonges du système et de réveiller l'esprit révolutionnaire des Européens. Chacun doit prendre conscience de cette vérité : l'intégration européenne équivaut à un génocide. Nous n'avons pas d'autre choix ; l'alternative est le suicide national.
--- Merci pour l'astuce Mark !
Une fois de plus. Barbara Spectre a dévoilé le plan juif des Illuminati. Grâce au féminisme , le taux de natalité est bien en dessous du seuil de remplacement. « L'Italie est un pays en voie de disparition »
Premier commentaire de CR :
Le plus grand obstacle à la résistance à l'extinction de la race blanche réside dans le fait que, de manière générale, les Blancs ont perdu la volonté de se reproduire. Ici, à Ottawa, la plupart des femmes blanches qui ont des enfants le font soit avec un homme blanc riche et âgé, soit avec un homme noir. D'ailleurs, à la naissance de mon premier fils, il n'y avait aucune femme blanche à la maternité ; toutes étaient noires, à l'exception d'une femme arabe. Il semble que beaucoup de Blancs soient convaincus que le monde est surpeuplé et qu'ils rendent service à l'humanité en n'ayant pas d'enfants, ou bien qu'ils soient trop pris par leur mode de vie matérialiste et insouciant et considèrent les enfants comme un fardeau.
Ceux qui veulent blâmer les immigrants eux-mêmes ont également tort. La plupart d'entre eux préféreraient rester dans leur pays s'ils pouvaient y vivre confortablement, et se rappeler que ce sont les Européens qui ont colonisé le monde, et non l'inverse. Cela ne veut pas dire que la population devrait payer pour les péchés de la monarchie et de l'aristocratie – comme nous le faisons avec leur dette – mais peut-être que ceux qui sont mécontents de l'immigration devraient diriger leur colère vers ceux qui exploitent les pays que ces personnes quittent. On ne peut vraiment pas reprocher aux gens de vouloir quitter les situations difficiles dans lesquelles ils vivent, et l'exclusion ou l'hostilité qu'on leur inflige n'est rien comparée à la violence et à la pauvreté qu'ils ont laissées chez eux. Dans la plupart des pays occidentaux, la « classe moyenne » se situe bien en dessus du seuil de pauvreté.
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Count Richard Nicolaus Coudenhove Kalergi |