Psychiatrie et euthanasie dans le meilleur de mondes
Psychiatry and euthanasia in the best of worlds

Communication de Michel Dakar, le 22 octobre 2023, Villequier, France

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Psychiatrie et euthanasie dans le meilleurs des mondes


Le Canada semble être le laboratoire central du gang mondialiste en ce qui concerne l'euthanasie, qui préfigure de quelle manière seront traitées les populations, comme Gaza en ce moment expose aux yeux de la planète entière jusqu'où peuvent aller les membres du gang, à titre d'avertissement, d'exemple.

L'euthanasie va donc être légale et facilitée au Canada en ce qui concerne les malades mentaux et les drogués.

Dans ma carrière d'anomalie politique et existentielle, qui a commencée active vers 1987 et qui se perpétue, j'ai croisé si je fais le compte des relations directes à qui j'ai eu à faire physiquement, cinq personnes qui s'impliquant dans le domaine politique ont été soit enfermées, pour la plus longues période 1 ans et demi ("relaxée" par un tribunal ayant décidé que son "incarcération en hôpital psychiatrique" n'avait pas eu lieu d'être), une autre trois mois pour avoir dérangé depuis un squat politique l'un des voisins du dit squat qui était aussi un maire d'arrondissement de Paris (enlèvement à la porte du squat "Bonjour monsieur, on vient vous chercher, vous avez besoin de repos"), et pour les deux suivantes, un suivi obligatoire par un psychiatre, l'une en raison de sa participation centrale à la mouvance dite révisionniste, l'autre, cette personne étant juive, et par décision d'un tribunal pour avoir déclaré lors de l'audience du procès d'un révisionniste, étant appelée comme témoin à décharge, que ses parents qui avaient été internés des années à Dachau, lui avaient déclaré qu'ils n'avaient jamais eu vent de l'existence des chambres à gaz. La dernière personne qui avait eu l'intuition dès octobre 2001 de l'imposture des attentats du 11 septembre et avait publié à ce sujet une note d'opinion, fut agressée sur instigation d'une association juive par des policiers à l'intérieur même de son domicile à Nice, à demi étranglée avec une matraque, traînée dans la rue et chemin faisant torturée avec un appareil électrique dont les traces (des sortes d'arabesques) restèrent marquées sur son dos plusieurs semaines. Il fut mis en garde à vue au commissariat des Moulins en face de son domicile, reçu la visite d'un psychiatre, qui refusa de jouer le jeu et le déclara sain d'esprit.

Quant à moi-même, suite à diverses relance postale adressées au préfet de police de Paris, qui bloquait illégalement la parution au journal officiel de l'annonce de la création d'une association déclarée légale par la prestigieuse 1ère chambre
civile de la cour d'appel de Paris, association CODEIG (Compréhension et dépassement de l'idée de génocide) œuvrant entre autres contre le génocide en cours de la population palestinienne, je fus convoqué au commissariat central rue Marcadet du 18ème arrondissement de Paris, mais trouvant cela étrange après un entretien téléphonique avec l'auteur de la convocation, et ayant annoncé publiquement sur internet que je m'y rendrai pas, je reçu une autre convocation, cette fois de la part d'une annexe de l'hôpital psychiatrique Maison Blanche, rue Marx Dormoy, à laquelle je me rendis après avoir ébruité largement sur internet le motif de cette convocation (« Affaire Ginette Skandrani - vos courriers au préfet » - n'ayant pas osé écrire le motif réel, ils en avaient inscrit un autre).

Le jour du rendez-vous, accompagné de sept personnes, toute
s militantes, dont Ginette Skandrani, dont un médecin des hôpitaux, nous fûmes accueillis par environ six agents des renseignements généraux, trois fourgons (environ 40 hommes) de ce qu'on appelait les brigades de district (similaires aux CRS mais basés localement), et un véhicule en face du lieu de rendez-vous avec environ trois hommes et une grosse caméra type télévision. Les RG firent l'intermédiaire entre nous stationnant sur le trottoir et le personnel du centre Maison blanche qui ne mit pas le nez dehors. Le médecin, trésorier d'un parti politique et membre créateur des Verts, fut admis à entrer. Il se bagarra avec le responsable du centre lui reprochant d'accepter de coopérer à ce type d'ignominie pseudo médicale. Puis les RG nous raccompagnèrent civilement à la station de métro Marx Dormoy, en me conseillant de porter l'affaire en justice. Suite à ma demande de mon dossier psychiatrique, la direction de l'hôpital Maison blanche me répondit que je n'avais aucun dossier psychiatrique, mais me communiqua la copie de la lettre de saisie adressée par la préfecture et provenant de l'infirmerie spéciale psychiatrique de la préfecture de police de Paris, avec le fameux motif.

Tout cela pour dire qu'avec les temps qui viennent, les anomalie
s politiques seront déclarées folles par le gang dit mondialiste, et elles seront un jours euthanasiées.

Même sous l'époque d'Andropov en ex-Union soviétique, lequel instaura le placement en psychiatrie des dissidents (et l'invention de la superbe maladie mentale dénommée "schizophrénie asymptomatique", cette maladie mentale furtive, sans manifestation
s cliniques constatables ! « il n'y a que les fous pour oser s'opposer au régime »); il ne fut pas question de tuer les dissidents.

Dans le régime qui s'avance en Occident, c'est ce qui va prochainement arriver.

Michel Dakar, le 21 octobre 2023