Quel
sens à tout cela ?
De Michel Dakar, à
Villequier en France le 7 septembre
2022
http://the-key-and-the-bridge.net/quel-sens-a-tout-cela.html
Sommaire:
Cela
Absurde
Réussite
finale, apothéose
On ne comprend pas l’œuvre du
judéo-saxonnisme
Remerciement au judéo-saxonnisme
Aucun
choix
Annexe
Cela
Ce
que nous vivons en ce moment est l’aboutissement de la période
dite historique (la fin du néolithique, les premières cités,
les premières écritures ...) il y a environ 8000 ans, période
fondée sur l’inégalité structurelle sociale et inscrite dans
l’organisation mentale. On en voit enfin le résultat. Cela
personne ne veut encore le voir et cet aboutissement est un cul
de sac, un chemin sans avenir, parvenu à un mur sans limites,
qui nous sépare de la vie. On ne peut avancer plus loin, plus
aucun mouvement, on stagne, on se pétrifie.
Ce qui
est nouveau avec cette période d’aboutissement au cul de sac,
c’est à dire à l’arrêt du mouvement de la vie, ce qui
signifie l’arrêt de la vie, c’est que cette adaptation
mentale au non-sens imprègne à présent la partie dominée de
la population alors qu’il n’y a pas si longtemps seule la
partie dominante en était imprégnée.
Illustration :
film de Fernando Arrabal (1932 - ) L’arbre de Guernica
1975
https://ok.ru/video/208431745774
Absurde
Absurde
de pouvoir jouir d’un avantage quand son voisin en est
privé.
Absurde d’accumuler.
Absurde la vie de
milliardaire montrée comme modèle.
Grotesque ces magazines
dits « people ».
Illustration : film
de Fernando Arrabal J’irai comme un cheval fou
1973
https://ok.ru/video/208422439662
Auparavant,
la presse dite « people » était réservée aux
concierges, personnages symboliques de la vocation de larbin
servile, c’est à dire de l’aliénation suprême de celui qui
passe sa vie dans un entresol, sa fenêtre ouvrant au raz du
trottoir, au niveau des mégots, des crottes de chiens, des
semelles de godasses, des gaz d’échappement, quand on ne lui
pisse pas sur ses vitres, et qui s’identifie à l’habitant
des penthouses au-dessus des nuages de la ville, dans
l’Olympe.
Maintenant, ce ne sont plus seulement les
concierges, loufiats, sbires et autres domestiques des maisons de
maîtres qui s’identifient aux milliardaires, mais la majeure
partie de l’ensemble de l’humanité.
Réussite
finale, apothéose
C’est
la réussite finale, l’apothéose de la classe dominatrice,
d’avoir réussi à transformer la totalité de l’espèce
humaine à son image.
On peut remarquer que quelles
que soient les sources et leurs deux courants principaux mondiaux
d’obédiences ennemies, celle pro judéo-saxonnes et celle anti
judéo-saxonnes, pas une seule n’évoque l’égalité réelle,
la seule égalité possible, l’égalité en droit n’étant
qu’une sinistre farce éculée qui ne provoque même plus une
esquisse de sourire, d’ailleurs, l’existence du droit étant
consubstantielle de l’existence de l’égalité réelle, le
droit n’a donc jamais existé, et jusqu’alors le droit est
une fiction, une imposture, la plus grande des impostures.
On
ne comprend pas l’œuvre du judéo-saxonnisme
L’œuvre
actuelle du judéo-saxonnisme, de destruction intégrale de toute
l’évolution accomplie depuis l’origine de la vie, que nous
pouvons contempler à travers les exemples tels destruction de la
culture, de l’intelligence, de la sexualité, de l’empathie,
de l’amour, de la compassion, de la famille, de l’amour
filial, maternel, paternel, des liens sociaux, de la connaissance
scientifique, de la créativité artistique, littéraire, de la
vérité historique, de la notion même de réel, de la logique,
de la rationalité et autres et autres ... cette œuvre
totalisante n’est compréhensible qu’en la resituant dans le
contexte global de l’épanouissement absolu de l’état
d’inégalité qui entraîne un état tout aussi absolu de
non-sens, d’absurdité.
Ce n’est même pas comme
on peut le penser – avec la tendance rassurante à rationaliser
– en raison de priver la masse serve de toute capacité à se
révolter.
C’est simplement un effet mécanique
induit aveuglément par le système inégalitaire parvenant à
son apogée, que plus rien n’entrave. Des facteurs provoquant
la propre destruction du système inégalitaire finissent par
apparaître, ayant tous une racine commune, le non-sens.
Les
psychologues, psychiatres, sociologues, démographes,
statisticiens et autres spécialistes en manipulations de masse
employés dans les officines secrètes du régime judéo-saxon
(dont Mac Kinsey et les agences SOROS dites ONG sont des parties
visibles) pour concevoir les multiples dispositifs destinés à
détruire toute l’évolution accomplie depuis l’apparition de
la vie et même au-delà, ne sont eux-mêmes que des effets
induits mécaniquement par le système social inégalitaire
instaurant le non-sens, l’absurde, qui remplacent peu à peu la
totalité de l’air que l’on respire, jusqu’à se substituer
à l’atmosphère terrestre.
Remerciement
au judéo-saxonnisme
Le judéo-saxonnisme est un
paroxysme de l’état inégalitaire (les « élus »
divins depuis 3000 ans, les princes de la Terre destinés à
régner sur tous les peuples, les seuls et vrais hommes).
Il
est ainsi logique qu’il brûle les étapes pour parvenir avant
les autres à un état absolu paroxystique de non-sens,
d’absurdité, bien avant toutes les autres formes prises par le
système inégalitaire, telles russe, chinoise, iranienne,
africaine, indienne, arabe …
C’est le lièvre et
la tortue de Jean de la Fontaine (voir en annexe).
Ainsi,
les ressortissants des autres formes du système inégalitaire
unique peuvent connaître à l’avance quel sera leur destinée
commune.
Ils doivent en remercier le judéo-saxonnisme,
car c’est inappréciable que de connaître son avenir. Ils
n’ont pas besoin de machine à explorer le temps, ni de
voyantes extralucides.
Aucun choix
Tout
se passe comme si à un moment donné de l’évolution humaine,
par un concours de circonstances, par l’effet du hasard, une
configuration particulière était apparue, formée à partir de
constituants fortuitement en présence et qui une fois articulés
entre eux selon certaines imbrications malheureuses, que cette
configuration avait donné naissance à un système doté de la
capacité à s’auto-perpétuer et à s’imposer face à toute
déviance, à rejeter, combattre toute évolution, privant
l’espèce humaine peu à peu de son libre arbitre, ce qui est
maintenant clairement le cas.
Tout le problème est
maintenant posé là, comment briser ce système qui nous enferme
depuis environ 8000 ans, et dont le judéo-saxonnisme est la
caricature, le miroir grossissant, la loupe, comment retrouver
notre libre arbitre.
Annexe :
Jean
de la Fontaine (1621 – 1695, France), Fables
Le
lièvre et la tortue
Rien
ne sert de courir ; il faut partir à point.
Le Lièvre
et la Tortue en sont un témoignage.
Gageons, dit celle-ci,
que vous n’atteindrez point
Sitôt que moi ce but. –
Sitôt ? Etes-vous sage ?
Repartit l’animal
léger.
Ma commère, il vous faut purger
Avec quatre
grains d’ellébore.
– Sage ou non, je parie
encore.
Ainsi fut fait : et de tous deux
On mit
près du but les enjeux :
Savoir quoi, ce n’est pas
l’affaire,
Ni de quel juge l’on convint.
Notre
Lièvre n’avait que quatre pas à faire ;
J’entends
de ceux qu’il fait lorsque prêt d’être atteint
Il
s’éloigne des chiens, les renvoie aux Calendes,
Et leur
fait arpenter les landes.
Ayant, dis-je, du temps de reste
pour brouter,
Pour dormir, et pour écouter
D’où
vient le vent, il laisse la Tortue
Aller son train de
Sénateur.
Elle part, elle s’évertue ;
Elle se
hâte avec lenteur.
Lui cependant méprise une telle
victoire,
Tient la gageure à peu de gloire,
Croit
qu’il y va de son honneur
De partir tard. Il broute, il se
repose,
Il s’amuse à toute autre chose
Qu’à la
gageure. A la fin quand il vit
Que l’autre touchait
presque au bout de la carrière,
Il partit comme un trait ;
mais les élans qu’il fit
Furent vains : la Tortue
arriva la première.
Eh bien ! lui cria-t-elle,
avais-je pas raison ?
De quoi vous sert votre
vitesse ?
Moi, l’emporter ! et que serait-ce
Si
vous portiez une maison ?
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