La fin du règne
des lycanthropes
Les
chroniques du
père Fouettard
Racontes-moi
Père Fouettard
:
« Il
était une fois … la
fin du judaïsme
Le
génocide d'un peuple ou l'effet du pouvoir par l'argent
Le
cas du peuple palestinien
Une
étape indispensable vers la conquête de la planète Terre
Et
cette
étape
sera
fatale
au
judaïsme »
The
end of lycanthrope reign
The
chronicles of Father Whip
Tell
me about Father Whip :
« Once
upon a time … the end of Judaism
The
genocide of a people or the effect of power through money
The
case of the Palestinian people
An
essential step towards conquering planet Earth
And
this stage will be fatal to Judaism »
Communication
de Michel Dakar, Villequier, France, le 11
janvier
2024
http://the-key-and-the-bridge.net/the-end-of-lycanthrope-reign.html
http://the-key-and-the-bridge.net/the-end-of-lycanthrope-reign.pdf
Il
était une fois une
idéologie de la domination totale sur toute une espèce, et
au-delà, sur tout ce qui existe, qui s’implanta il y a environ
2500 ans au Proche-Orient, sur l’actuel territoire dénommé
Palestine, et sur
un groupe d’humains malchanceux, dénommés
ultérieurement « les juifs ».
Cette
idéologie morbide
était portée par un corpus livresque qui peut être synthétisée
par l’une seule
de ses phrases :
« De
tes fils tu feras des princes sur toute la Terre
»
Qui
serait plus directe, transformée en :
« Tes
fils seront les princes de la Terre »
Cette
unique phrase a été complétée
il y a environ un siècle par une seconde :
« Une
terre sans peuple pour un peuple sans terre »
Qui
doit être traduite par :
« Une Terre
sans peuples
pour des princes sans terre »
Puis
encore complétée il y a environ trois quart de siècle par
cette dernière :
« Par
la ruse tu mèneras la guerre »
Qui doit être
traduite par :
« Par la ruse du prendra la
Terre »
La
ruse fondamentale consiste pour le loup à revêtir la peau
écorchée de sa victime l’agneau. Il
lui
faut
aussi travestir sa pensée et
ses paroles de
loup en pensée et
paroles d’agneau.
C’est
dans ce costume fait de la peau écorchée de l’agneau, et
en présentant une pensée et
des paroles
d’agneau,
que le
loup
peut se promener au milieu du troupeau de moutons sans que le
troupeau ne s’effraye et
que
les
béliers ne le culbutent
et ne
le
tuent.
Car
dans cette guerre de conquête planétaire de
maintenant plusieurs millénaires, contre
toute l’espèce humaine par
le petit groupe des loups,
la stratégie unique possible pour un si petit groupe, qui compte
environ 15 millions d’individus, à placer au
regard
de
la population humaine mondiale de
8 milliards d’individus, soit qui forment
environ 0,02 % de cet
ensemble, soit un loup contre plus de 500 moutons (ou
encore un maître et ses 500 esclaves),
cette
stratégie unique possible est
de vivre au milieu du troupeau, de prendre l’apparence des
moutons, tout en maintenant ses distances et en se coupant du
troupeau, et au-delà, de se faire plaindre, de se faire passer
pour les
victimes
des quelques méchants moutons qui sont conscients que derrière
son
apparence
de victime se dissimule
le prédateur, implacable, et qui veut manger tout le
troupeau.
La
manière de faire la guerre par la ruse, se nomme le commerce, et
le fin du fin du commerce est le
commerce
de l’argent, dénommé
la
finance,
soit
le
commerce du
« médium », de
ce qui est
indispensable
à l’échange des marchandises sans
passer par
le
troc, en
fait de devenir le
maître
de
l’espace central neutre de tout échange marchand.
Le
groupe des loups a
donc travesti
sa pensée idéologique de conquête en religion divine
(les
porteurs de la
lumière des nations),
il a donc essaimé
chez les moutons, il
s’est
donc investi dans le commerce, puis
dans la finance.
Au
18ème siècle en Europe, après
avoir réussi dans le commerce, il
se
tourna massivement
vers
le
secteur
bancaire
et
la finance,
il
en
atteignit
le sommet au
19ème siècle en Europe et
au
20ème siècle aux
États-Unis, une
extension
de
l’Europe.
A
la charnière du 19ème siècle et du 20ème siècle, le groupe
des loups commençant à se sentir assez puissant pour pouvoir
se
distancer des moutons, car cela devenait une nécessité, de plus
en plus de loups ayant
tendance à se lier
avec des
moutons, voire
à abandonner leur mentalité de loup,
il fut décidé de s’octroyer un enclos bien à soi, où les
moutons n’auraient pas accès, où les loups pourraient raviver
et consolider
l’emprise idéologique sur les leurs, et échafauder
tranquillement entre eux dans le secret, la finalisation de leur
conquête sur la totalité du troupeau de moutons.
Idée
Lumineuse et en apparence logique, pourquoi pas la
Palestine ?
Prenant
prétexte qu’en Europe, dans bien des endroits où les moutons
échaudés par les loups parfois leur rentraient méchamment
dedans,
ils
arguèrent qu’il devenait vital pour leur survie de
se trouver un bout de terrain bien à soi, loin de la
malveillance des vilains moutons.
On commença donc à
provoquer le départ de loups pour
la
Palestine.
Le problème se posa immédiatement que la
Palestine était quasi surpeuplée, un visiteur européen au
19ème siècle, qui visita cette région déclarait qu’il était
difficile, voire impossible de trouver un espace qui ne soit pas
occupé et cultivé.
En effet, cette région, le
Proche-Orient, et l’une des plus anciennes
à avoir été occupée
dans l’histoire de l’humanité, c’est le lieu où
apparurent les premières cités, les premières écritures, les
premiers États, le Proche-Orient étant un carrefour mondial sur
le chemin de l’émigration humaine, passant du sud de l’Afrique
à l’Afrique du Nord, la Méditerranée, l’Europe et l’Asie,
la proximité de l’eau (bord de mer et fleuves) favorisant le
développement, les transports,
les voyages et les échanges (culturels
et le
commerce).
Il
allait donc falloir éliminer la population en place en
Palestine, de plus dont les ancêtres, non-imaginaires - eux,
remontaient aux tous premiers humains arrivés au
Proche-Orient.
Cela
tombait bien, car
l’un
des gouvernements européens
qui
mangeait dans la main des financiers juifs (ils
mangeaient tous dans cette
main),
l’anglais,
avait cette
ambition originale
d’être
le maître du monde.
L’anglais
possédait déjà un empire sur lequel le soleil ne se couchait
jamais, et voulait
s’assurer à l’emplacement de la Palestine une place
forte
qui
lui permettrait de
contrôler tout
le
Proche-Orient, lequel
grâce au canal de Suez nouvellement
percé évitait au trafic marchand
maritime
mondial de devoir faire le couteux
et fastidieux
tour de l’Afrique,
et à
la présence dans cette région des majeures réserves de pétrole
mondiales,
était redevenu le
centre
de
gravité
mondial.
Une
guerre dite mondiale, la première officielle
du
nom éclata au
début du 19ème siècle.
C’était en
fait une guerre entre puissances européennes, comme
celle de sept ans au 18ème siècle, qui fut la vraie
première
« guerre mondiale européenne ».
La
première guerre mondiale européenne au
18ème siècle,
eut
lieu pour la suprématie en Europe, la seconde, du 20ème siècle,
pour
la suprématie mondiale.
Les financiers juifs
offrirent d’user
de leur influence considérable
sur
le gouvernement des
États-Unis (ils
en
contrôlaient
la finance au niveau de l’État),
pour
qu’il se
joigne
au
camp
anglais.
Parallèlement,
ils influèrent pour que lorsque les turcs qui avaient la main
sur la Palestine, et qui étaient dans le camp opposé à celui
anglais, seraient vaincus, ce soient les anglais qui remplacent
en Palestine les
turcs.
En
contrepartie, ils demandèrent aux
anglais de
prendre publiquement l’engagement qu’ils autoriseraient le
peuplement de la Palestine par les juifs. Ce qu’ils firent.
Le
camp auquel appartenait les anglais fut le vainqueur.
La
colonisation de la Palestine pu commencer à devenir
massive.
Cette
colonisation était donc un but commun aux
puissances
juive et anglaise.
Jusque-là
c’est encore à peu près simple.
Mais
à
partir d’ici, on commence à entrer dans la brume, et il fait
se guider en discernant des
formes dans un brouillard plus ou moins épais par endroit, mais
à cœur vaillant, rien ne peut longtemps rester obscur et
avancer dans le brouillard est au fond la manière normale de
circuler.
Apparaissent
plusieurs évènements concomitants.
La révolution
russe qui voit pour la première fois en Europe et sur la
planète, l’instauration d’un ordre contraire à la
domination par la finance, et donc en opposition au pouvoir
juif.
Des
conditions posées au camp vaincu qui ne peuvent qu’avoir été
imaginées dans le but de provoquer
une seconde guerre européenne, ce qui va advenir.
La
venue d’un dirigeant iconoclaste dénommé Hitler, un
personnage qui
semble avoir été fabriqué sur mesure, dans plusieurs buts,
déclencher un second conflit mondial,
forcer les juifs européens à émigrer en Palestine, détruire
la Russie communiste, et transformer l’Europe en une sorte de
dominion anglo-saxon.
La
venue d’un autre homme à
la même époque que le précédent qui
semble avoir été comme le précédent, fabriqué sur mesure,
dénommé Raphaël Lemkin, un juriste juif polonais, émigré aux
USA ayant fuit devant l’invasion nazie de la Pologne, s’étant
consacré très tôt dans
sa vie au
terrain juridique de l’élimination de groupes d’humains,
inventeur du concept de génocide, et
dont le travail a servi de base au tribunal qui jugera
et condamnera les dirigeants nazis, pour le génocide des juifs
européens, ce jugement étant le fondement qui légitime aux
yeux de l’ensemble des nations et des humains, le
partage de la Palestine en 1947, suivi immédiatement d’une
première élimination de masse de la population palestinienne,
mais sans que cette élimination ne
soit
condamnée
par une juridiction internationale, et donc légitimant la
création de l’État d’Israël et l’élimination graduelle
et devenant bientôt totale
en 2023 – 2024 de la population palestinienne, si
elle se poursuit comme prévue.
La
concomitance des apparitions d’Hitler et de Lemkin oriente vers
la considération que le génocide des juifs européens par les
nazis, a été programmé dès après la fin de la seconde guerre
mondiale, avant même que se trouvent
créés
le parti nazi, son
idéologie antijuive,
et que fut placé
au
pouvoir
le personnage d’Hitler.
Ce
qu’on dénomme le « génocide des juifs européens »
est en fait un contexte légitimant la création d’un État,
celui israélien, sur un territoire peuplé depuis des
millénaires, légitimant
l’expulsion de sa population indigène, et forçant au départ
en masse les
juifs d’Europe pour peupler ce
pays vidé de ses habitants, devenant l’État
d’Israël.
Il
est alors très clair que l’extermination physique des juifs
européens n’était
pas le but recherché et qu’elle n’a pas
eu
lieu, car il n’y aurait eu plus de juifs à déporter en
Israël, car il s’agit de l’organisation d’un processus
de
déportation. Donc
pas de chambres à gaz mais des conditions d’existence
tellement terribles
que l’émigration en
terre inconnue apparaît attirante
alors que c’est toujours un déchirement fondamental, une
rupture de ses racines.
On
pourrait considérer, si on a l’esprit taquin, qu’Hitler est
un proto « young leader », à l’instar de ceux
fabriqués en série maintenant par les instances dites
globalistes, une dénomination faux-nez pour ce qui n’est qu’un
avatar du pouvoir juif mondial.
Quant
au personnage Raphaël Lemkin, sa biographie rappelle les
légendes fabriquées pour leurs agents secrets par les services
idoines. Que le personnage soit entièrement inventé ou en
partie importe peu. Il
n’a été qu’une marionnette qui
a été tenue
par les mêmes mains que la marionnette Hitler.
L’État
d’Israël fondé, le plan poursuivi son cours.
Les
fruits délectables de l’arbre magique dénommé « Tribunal
militaire international de Nuremberg » furent primordiaux
pour l’ordre mondial qui s’instaura dès 1945.
Cet
arbre magique, le Tribunal, était constitué de 4 branches,
l’une ne comptant pas, la branche française, les trois autres
étant celles anglaise, états-unienne et russe.
Une
branche invisible était pourtant la plus importante, celle
juive, pompant à elle seule la sève de tout l’arbre, son
effet apparaissant dans la proclamation à la face du monde, du
premier crime contre l’humanité de l’histoire humaine, le
génocide des juifs.
Les malheureux russes se virent
refuser le prix de consolation de
pouvoir
coller aux nazis leur propre extermination d’une partie de
l’élite polonaise tombée entre leurs
mains
(un
génocide, réel celui-là),
sans doute parce que trop documenté publiquement par les nazis,
qui découvrirent les charniers dans la forêt de Katyn, et
que cela
aurait nuit à la crédibilité du génocide du peuple sacré
au-dessus de tous les autres, mais qui avait visiblement
ressuscité comme l’oiseau phénix, des cendres des crématoires
– en effet, certains amateurs de statistiques, ne voient qu’un
rapport
très
très
lointain
entre
la
différence entre le
nombre de juifs mondialement recensés avant et après la seconde
guerre mondiale, et
le chiffre officiel du nombre de morts juif du fait des nazis (6
millions, soit environ
50 %
de la population juive mondiale).
Questions :
Contre
quoi les russes ont-ils échangé leur participation au mensonge
du Tribunal de Nuremberg ?
Quels cadavres à
l’état de squelettes maintenant restent accrochés dans les
placards des instances internationales ?
Cette
question est intéressante à poser, car maintenant, on voit la
saisie en janvier 2024 de la Cour internationale de Justice de La
Haye par l’Afrique du Sud, au sujet de la phase finale
de
l’élimination des Palestinien, qui elle n’est pas un
fantasme.
Cette sacrée Cour internationale de justice
de La Haye qui est l’un des fruits pourris
de l’arbre magique du Tribunal de Nuremberg, dont
les russes ont été complices
(en échange de quoi?), l’autre fruit pourri étant cette
Convention pour la prévention et la répression du crime de
génocide, ces deux fruits, Cour de justice et Convention,
étant issus d’un des plus gigantesques mensonges de toute
l’histoire de l’humanité, puisque sous l’apparence de la
vérité et de la lutte contre l’extermination des peuples, ce
qui était recherché était la
consolidation du
mensonge et la latitude entière pour
exterminer
un peuple, celui
de Palestine.
Cette
fameuse Cour internationale de justice de La Haye est présidée
par un juge états-unien et vice-présidée par un juge russe.
Nous voilà revenu en 1945 !
Que va-t-il se
passer ?
Les squelettes vont-ils ressortir du
placard et danser la danse
macabre, comme dans les ossuaires du moyen-âge ?
On
peut remarquer que prudents, les russes s’abstiennent de se
joindre à l’Afrique du Sud, de même que les chinois et les
indiens.
On ne peut pas dire que cela les turlupine
beaucoup, les
russes, les chinois, les indiens,
les problèmes
de génocide.
Ces
gens comprennent bien l’adage « on ne fait pas d’omelette
sans casser des œufs ».
Quelle genre
d’omelettes sont-ils en train de nous
préparer ?
Ne
cherchent-ils pas à ce que le génocide des palestiniens aille
jusqu’au bout par hasard, de façon à terroriser toute
l’espèce humaine de façon à la pousser dans les bras des
fameux BRICS, le nouvel ordre dans
le futur,
qui sera encore fondé sur une machination mettant en jeu un
génocide (un
réel celui-là).
Les
œufs sont-ils les palestiniens ?
Quant
à l’espèce surnaturelle, surhumaine, les lycanthropes, les
voilà dévoilés à la face du public mondial.
Ils ne
s’en remettront pas, toute la stratégie du judaïsme est
fondée sur la tromperie, les lycanthropes étant dissimulés
depuis 2500 ans derrière le visage de l’agneau innocent
et sacrifié,
au point qu’ils ont fini eux-mêmes par se voir comme des
victimes (ils sont arrivés à un point de si parfaite inversion
de la vérité et du mensonge, que cela s’est même imprimé
dans leur génome spirituel, quand
ils lâchent une bombe
sur
les civils de Gaza, ils se voient parachuter
un container de l’aide humanitaire).
Cela
va devenir croustillant, quel spectacle de fin de règne.
C’est
le moment de l’effondrement d’une idéologie morbide qui a
fini par imposer son pouvoir sur toute une planète en 2500 ans,
et qui a entraîné la formation de deux sous-idéologies, la
chrétienne et la musulmane, elles-mêmes vouées à la conquête
mondiale, mais atrophiées par rapport à leur matrice originelle
lycanthropique, cette dernière s’en servant comme mères
porteuses
pour s’étendre sur la planète.
C’est à la fin
d’un monde, à la fin d’un univers auquel nous
assistons.
Point
subsidiaire :
Le
Great reset, ou la Grande
risette
La
Grande risette consiste à effacer l’esprit des humains
inférieurs pour le remplacer par un ersatz plus ou moins
bidouillé avec des composants biologiques et électroniques.
La
Grande risette est encore le fruit des penseurs lycanthropes,
dont les plus connus sont Yuval Noah Hariri, et secondairement le
français Jacques Attali, imaginée pour en finir avec les
moutons rétifs et irascibles.
Quant au reste du
programme Grande risette, ce n’est que l’accompagnement
matériel
de
cette opération fondamentale de dévitalisation spirituelle,
cérébrale de l’humain (identifiant
et portefeuille numériques,
encasernement
dans des quartiers concentrationnaires et autres et autres).
A
ce programme, qui est mondial et partagé entre toutes les
puissances, russe, chinoise, indienne et lycanthropique à
l’origine, ceux qui devaient en être les bénéficiaires
étaient les lycanthropes, mais le vent ayant tourné, ils sont
en train de s’en faire chasser.
Ce programme sera
poursuivi sans eux, par les futurs maîtres de l’ordre nouveau,
promu par les BRICS.
Ce
programme sera alors parfaitement appliqué par des gens qui sont
infiniment plus rationnels et
intelligents que
les lycanthropes.
Les lycanthropes auront alors été
d’une utilité sans pareille pour le bloc des BRICS, car ils
auront été la cause de l’effondrement de l’Occident, de la
destruction de l’Europe qui constituait la place forte de
l’hégémonie occidentale, et ensuite de l’effondrement des
États-Unis.
L’effacement
du pouvoir lycanthropique dépend de l’effroi mondial provoqué
par le génocide des palestinien à ciel ouvert et suivi pas à
pas au niveau mondial.
Il est probable que rien ne
soit entrepris de sérieux pour contrer ce génocide.
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