La
conséquence ultime de
l’entrée en phase finale du génocide des
palestiniens
Communication publique de Michel Dakar,
le 7 janvier 2024, Villequier, France
Copie par
courrier postal recommandé à
Présidence
de la Cour internationale de
Justice à La Haye, Pays-Bas
Ambassade d’Afrique du Sud à
Paris, France
Ambassade d’Israël à Paris, France
Mairie
d’Orly, France (lettre
simple)
http://the-key-and-the-bridge.net/the-ultimate-consequence-of-palestinian-genocide.pdf
http://the-key-and-the-bridge.net/the-ultimate-consequence-of-palestinian-genocide.html
1 - Introduction et
présentation
J’ai entendu parler pour la première
fois dans ma vie du révisionnisme, quand j’avais 42 ans, et
c’était lors d’une émission de radio en direct à laquelle
je participais les dimanches matin vers 1997, dénommé « Ni
dieu ni maître », sur Radio libertaire (infiltrée par
les RG et les sionistes)
à Paris, animée par
Jean-Jacques Rondeau et sa femme Catherine
(https://chronique-hebdo.blogspot.com/p/contester.html
- http://aredam.net/la-page-blanche.html
). Jean-Jacques avait évoqué je ne me souviens plus dans quel
contexte, l’existence des
historiens révisionnistes,
sa femme lui avait demandé qu’est-ce que c’était que le
révisionnisme, il avait répondu qu’il ne fallait pas en
parler. Un sujet dont on ne pouvait pas parler à cette émission,
évidemment cela m’a poussé à m’y intéresser, de plus ce
fut Le
seul sujet dont on il ne
fallait pas
parler.
C’était la période où je m’occupais des
faibles, en militant pour
les droits sociaux avec une petite équipe de communistes
libertaires (TCPC
Travailleurs Chômeurs
Précaires en Colère, basés au CICP – Centre International de
Culture Populaire 21
ter rue Voltaire à Paris 11ème, centre dominé par la figure
charismatique de Gustave Massiah, crypto agent israélien - selon
moi, et qui a été très brièvement mon directeur de mémoire
d’architecte), intègres et non-manipulés, créatifs et
authentiques (infiltrés par les RG jusqu’au trognon), ce qui
était l’exception à Paris et en France. Ce groupe s’est
auto-dissout environ
deux années plus tard, chacun comprenant que la totalité de
l’activité politique
à Paris et en France était entièrement façonnée par la
police politique, et que c’était cause perdue que de continuer
de cette façon.
J’ai ensuite décidé de m’occuper
des puissants, passant des affaires locales à celles globales et
m’intéressant au Proche-Orient où je suis né, et
inévitablement à la Palestine et à Israël.
Ma
petite barque fut immédiatement prise dans de grands remous, et
de plus c’était vers 2001.
Je passais du milieu
authentique intègre et restreint parisien des TCPC, des squats
politiques et de survie, à un autre milieu authentique intègre
et restreint parisien, une sorte de nuage d’électrons libres
comme les appellent les renseignements généraux, impliqués
chacun à sa manière
dans les affaires internationales, et dans cette sorte de nuage
intergalactique, voyageant dans l’infini du cosmos, se
trouvaient les fameux révisionnistes en chair et en os, dont
Robert Faurisson, Pierre Guillaume, et Serge Thion (Serge qui
m’avait déclaré au sujet du fameux Thierry Meyssan qu’il
était tenu par les services secrets), Serge Thion qui animait le
site arrrgh.org (L'Association
des Anciens Amateurs de Récits de Guerres et d'Holocaustes
https://aaargh.vho.org/
)
.
Parmi ces gens dont la vision des choses différait de la version
officielle sur la seconde guerre mondiale dans son registre
concernant les juifs et leur génocide par les nazis par le
gazage dans les camps de concentration, leurs six millions de
morts, il y avait une proportion notable de juifs, dont des
descendants de juifs ayant été en camp de concentration, et des
israéliens. Ce milieu agglomérait diverses sensibilités
politiques, depuis les tiers-mondistes, les libertaires, les
anarchistes, des gens de droite et ceux classés à l’extrême
droite, (manquaient les sionistes, les socialistes, les
communistes, les trotskistes), tous les courants religieux y
étaient représentés, dont les athées, les catholiques, les
juifs, les musulmans, soufis, des agents de propagande des sectes
(Scientologie, Raël et autres), et on y rencontrait de multiples
nationalités. Il y avait évidemment de nombreux infiltrés des
polices politiques, dont celles française, algérienne et juive
(dont le fameux Abdelhakim Séfrioui, frère musulman en service
sioniste, défendu par William Goldnadel un agent judiciaire
israélien, rencontrant Yves Bertrand ex-patron des RG, Nicolas
Sarkozy, qui va être prochainement jugé pour complicité dans
l’assassinat du professeur d’histoire Samuel Paty, l’une de
la série des réalisations tordues d’un de nos services
idoines. Comme on dit, une fois le citron pressé on le jette,
celui-là il l’aura été jusqu’à la dernière goutte. Le
pseudo procès devrait se tenir en 2024. La présence de Séfrioui
dans l’affaire Paty suffit à faire classer cette affaire dans
la catégorie « montage ». A quoi vont-ils ensuite
utiliser Séfrioui après cela ? Va-t-il se convertir au
judaïsme dans sa cellule de prison ? Et exiger de recevoir
une nourriture cachère). Leur point commun et ce qui liait tous
ces personnages (hormis les tenus en laisse) était le désir de
comprendre, et la recherche de la réalité ou vérité. C’est
le moteur le plus puissant qui meut l’être humain. Contre
l’énergie que ce désir donne, aucun pouvoir ne peut à la
longue résister, aussi puissant soit-il. Pour parvenir à tuer
ce désir de comprendre et de voir le monde tel qu’il est, il
n’y a qu’un façon d’y arriver, c’est d’exterminer
toute l’espèce humaine, ou la transformer en chose ce qui
revient au même, en robot non-pensant, remplacer son esprit par
la dite IA Intelligence Artificielle, ce qui est le programme des
mondialistes par le transhumanisme.
Les sionistes
associés symbiotiquement aux mondialistes anglo-saxons, et qui
constituent le cœur idéologique du mondialisme, y
parviendront-ils ?
2 – Le fil
d’Ariane composé des deux brins, le brin Raphaël Lemkin et le
brin Adolf Hitler.
Les historiens révisionnistes ont
fait un travail à leurs risques et périls, inestimable, ils ont
ouvert la voie.
Cette voie s’achève
maintenant.
Mais ils avaient négligé le fameux
inventeur de l’idée de « génocide », le juriste
juif polonais Raphaël Lemkin, qui constitue une manière de fil
d’Ariane, pour comprendre le labyrinthe où les auteurs de la
seconde guerre mondiale ont tenté d’enfermer l’espèce
humaine entière.
Raphaël Lemkin est tout d’abord
un fantoche, une légende dans le sens du terme employé par les
services secrets pour dénommer l’histoire et le personnage
fictifs de leurs agents.
C’est un pion, un factotum,
qu’il soit réel ou entièrement inventé, ou en partie
seulement, peu importe, et depuis quand est-ce que c’est un
juriste qui façonne l’histoire, un juriste n’étant qu’un
employé du pouvoir, un personnage de troisième ordre, on lui
fait dire ce qu’on veut qu’il dise et faire ce qu’on lui
dit de faire, obéissant comme un cadavre, selon l’expression
jésuite.
Ce qui ressort de la biographie officielle
de Lemkin, est que son rôle a été imaginé et articulé avant
même la venue d’Hitler au pouvoir en 1933, et que le scénario
global devant générer la seconde guerre mondiale avait commencé
à être élaboré dès la défaite de l’Allemagne en
1918.
Tout ce qui concerne le fantasme Lemkin sent le
montage, voire le bricolage, plus ou moins maladroit, on croirait
lire la vie d’un saint de l’église catholique.
Son
tropisme inné dès les années 1920 pour le génocide des
groupes humains (peu importe que le nom donné à l’élimination
des groupes apparaisse seulement vers 1944), son ascension
continue dans les milieux internationaux du droit et la
reconnaissance publique de son expertise en matière de génocide,
sa fuite en 1939 de la Pologne lors de l’invasion nazie, sa
supposée traversée de la Finlande, ou de l’Estonie, ou de la
Russie (la version varie selon les auteurs, il faudrait qu’ils
se mettent d’accord) pour se réfugier en Suède (a-t-il marché
sur les eaux entre la Finlande et la Suède, ou est-il passé à
sec les eaux s’écartant devant lui), son arrivée aux
États-Unis, son travail pour le ministère de la guerre US, les
livres qu’il a signés, les articles de presse US qui ont
relayés ses « travaux », l’utilisation de ses
« travaux » par le Tribunal militaire international
de Nuremberg en 1945, la condamnation des nazis pour le génocide
des juifs, permettant la création d’Israël et l’afflux des
juifs en Palestine, aboutissant à l’actuelle phase finale de
l’élimination des palestiniens, les fondements des Nations
Unies, remplaçant l’ancienne Société des Nations, mais cette
fois sous la coupe des anglo-saxons, la Convention pour la
prévention et la répression du crime de génocide, et cette
fameuse Cour internationale de Justice en 1945, sorte de
pâtisserie pièce-montée exposée dans une vitrine, avec son
groupe de petits personnages en plastique peint plantés à son
sommet dans le sucre glace, les juges Triches, Truches, Trouches,
Tronches, Tranches, Troinches …
L’arrivée au
pouvoir d’un mouvement extrémiste nationaliste et
anti-communiste en Allemagne a été organisée par les autorités
anglo-saxonnes associée aux sionistes, et cela dès la fin de la
première guerre mondiale, sionistes eux-mêmes soutenus par les
puissances financières juives occidentales considérables,
parties prenantes des gouvernements occidentaux, orientant leurs
décisions (Déclaration de Lord Balfour de 1917). Le personnage
« Hitler » a été sans doute modelé dès les années
1920, époque à laquelle le personnage « Lemkin » à
été modelé de même, les deux formant un tandem. « Hitler »
est de même que « Lemkin », un fantoche, un
factotum.
Le but de la promotion du régime nazi, et
de la création idéologique du nazisme par les anglo-saxon
associés au pouvoir juif, a été unique, la prise du pouvoir au
niveau mondial.
Mais au moins deux étapes devaient
être respectées, elles concernent l’élimination des deux
concurrents mondiaux des anglo-saxons associés au pouvoir
juif.
Et pour que ces deux étapes puissent exister,
il fallait déclencher une seconde guerre mondiale.
Le
nazisme a été l’outil déclenchant la seconde guerre
mondiale, laquelle devait permettre aux deux étapes de se
réaliser.
Ces deux étapes sont la destruction de
l’URSS communiste, et la destruction de l’Europe.
En
premier le nazisme fut dirigé contre l’URSS, dans le but de la
détruire.
En second le nazisme a été dirigé contre
l’Europe, afin de la mettre sous tutelle des anglo-saxons
associés aux sionistes, puis de la détruire.
La
première étape fut un échec, la seconde un succès.
L’objectif
de la première étape est toujours poursuivi, mais sans succès,
la désagrégation de l’URSS en 1990 ne fut pas suivie de la
destruction de la Russie qui en était le cœur, et l’actuelle
offensive nazie via l’Ukraine contre la Russie démarrée en
2014 est un échec total, voire même fatal pour les anglo-saxons
associés aux sionistes.
Par contre la seconde étape
est un succès, l’Europe est entrée sous tutelle dès 1945, et
est en passe d’être totalement et irrémédiablement
détruite.
Un but de guerre subsidiaire, mais
primordial, spécifique au pouvoir juif fut réalisé, en la
création d’une sorte de plate-forme off shore, dénommée
Israël, où le pouvoir juif devint physiquement autonome des
anglo-saxons, voire d’où les juifs peuvent mener des
opérations en toute impunité pour assujettir les anglo-saxons
eux-mêmes, et au-delà, assurer l’hégémonie mondiale pour
eux seuls.
3 – La guerre se déroule
toujours sur deux champs, celui de bataille et celui de
l’idéologie, et elle ne se gagne que si et seulement si, les
deux victoires sont acquises.
L’achèvement de
l’élimination des palestiniens par le pouvoir juif détruit la
totalité de l’effort de guerre idéologique déployé depuis
le programme sioniste élaboré à la fin du 19ème
siècle.
L’élimination des palestiniens n’aurait
été possible que si la victoire mondiale sur le champ de
bataille était acquise, ce qui n’est pas le cas, bien au
contraire, tout indique que le pouvoir anglo-saxon-juif est en
phase de défaite accélérée.
L’élimination des
palestiniens entraîne une accélération de la défaite
idéologique du camp anglo-saxon-juif.
Cette
accélération de la défaite idéologique va entraîner une
accélération de la défaite sur le champ de bataille.
En
effet, la force combative d’une armée dépend de son moral, et
son moral dépend de sa victoire sur le champ
idéologique.
L’élimination des palestiniens est un
facteur majeur global de défaite du bloc anglo-saxon-juif.
C’en
est tellement évident, qu’on peut logiquement se demander si
ce ne sont pas les puissances concurrentes au camp
anglo-saxon-juif qui ont poussées au déclenchement de
l’élimination finale des palestiniens.
4
– Le rôle des fantoches de la Cour internationale de Justice
de La Haye.
La fonction de cette cour de justice, est
la même que celle de toute cour de justice dans tous les
régimes, celle de protéger le pouvoir qui l’a mise en place,
tout en donnant, si besoin, ce qui n’est pas toujours
nécessaire, l’illusion de son indépendance, de son
impartialité et de son équité (du blabla).
Cette
cour de justice soit va s’opposer à sa saisie de l’Afrique
du Sud, ce qui accélérera encore la défaite idéologique du
camp anglo-saxon-juif, soit reconnaîtra le bien fondé de sa
saisie, ce qui de même accélérera la défaite du même
camp.
Dans le même temps, et dans tous les cas de
figure, quelque soit la décision prise par le pouvoir qui
commande cette cour, ses juges n’étant ni indépendants ni
équitables ni impartiaux, étant de simples exécutants, la
guerre idéologique s’accroîtra du fait de l’affaiblissement
effectif sur le champ de bataille du camp anglo-saxon-juif.
Le
plus sage serait pour le camp anglo-saxon-juif, de renoncer à
l’élimination finale des palestiniens, et de réparer les
dégâts qu’ils ont fait, ce qui couperait l’herbe sous le
pied des puissances concurrentes, et paradoxalement, renforcerait
le camp anglo-saxon-juif dans toutes les dimensions de
l’affrontement, champ de bataille et idéologique.
5
- Conclusion
Pour parer à l’éventualité de
l’arrêt de l’élimination des palestiniens et à la
réparation des dégâts déjà occasionnés, il est probable que
le camp concurrent au camp anglo-saxon-juif, a déjà pris des
dispositions afin qu’il soit très difficile, voire
catastrophique, de stopper l’élimination finale des
palestiniens déjà commencée.
Le travail du camp
anglo-saxon-juif sera alors de prendre de vitesse le camp
concurrent, et d’imposer ce processus de réparation.
En
est-il capable, existe-t-il dans le camp anglo-saxon-juif, de
véritables stratèges, intelligents, lucides et courageux, qui
peuvent se faire entendre au sein de ce camp ?
J’en
doute.
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