Towards
				the disappearance of individuality 
Vers la disparition de
				l’individualité 
 
Communication de Michel Dakar, le
				11 septembre 2023, Villequier,
				France 
 
http://the-key-and-the-bridge.net/towards-the-disappearance-of-individuality.html
				 
 
 
Documentation :  
 
1 - THX 1138,
				George Lucas, 1971 
https://ok.ru/video/6296274864665 
 
2
				- J. B. E. Golstein Théorie et pratique du collectivisme
				oligarchique
				1949 
https://archive.org/details/TheorieEtPratiqueDuCollectivismeOligarchique
				 
 
http://aredam.net/analyse-du-livre-Theorie-et-pratique-du-collectivisme-oligarchique-de-J-B-E-Golstein-paru-en-1948.html 
 
 
 
 
Vers
				la disparition de l’individualité 
 
L’individualité,
				ou autrement nommée la personnalité, ce qui caractérise
				l’individu ou personne (grec "prosopon" ("προσώπων
				")
				signifiant face, visage, figure humaine, chaque visage étant
				unique au monde ) - comme on peut le voir de façon spectaculaire
				avec l’Opération Covid globalement acceptée par la masse
				mondiale, et à de multiples autres signaux, tels l’adoption
				volontaire des marquages corporels en apparence individualisant
				mais en réalité uniformisant et désindividualisant (piercings,
				tatouages, colorations fluo des cheveux etc …), les
				smartphones, la pseudo intelligence artificielle ou le simulacre
				de cerveau unique pour tous, la venue très prochaine du puçage
				pour tous et autres marquage des corps sous d’autres formes
				comme l’impression de la peau par QR code, la forme actuelle du
				code barre des articles du commerce, l’identifiant unique et la
				monnaie numérique programmable et centralisée, le placement en
				ghettos concentrationnaires baptisés « smart cities »,
				- est en train de disparaître à grande vitesse. 
 
Il
				ne fait pas de doute que le milieu du 21 ème siècle verra la
				fin de l’espèce humaine où existait l’individu ou personne.
				Une nouvelle espèce de vie la remplacera, constituée de
				non-individus, de non-personnes. 
 
Mais s’agira-t-il
				d’une forme de vie ? 
 
Car ceux qui sont en
				contact avec la nature, les plantes, les animaux, les insectes,
				savent que chez toutes les formes de la vie existent
				l’individualité, la personnalité. 
 
C’est une
				avancée irréversible et irrésistible. 
 
Un constat
				doit être réalisé. 
 
Celui que pour que cela ait pu
				se produire si facilement, comme si c’était la pente naturelle
				sur laquelle était engagée l’espèce humaine, c’est que
				cette espèce ne renfermait plus qu’une proportion infime
				d’individus, ou personnes. 
 
C’est donc un
				aboutissement normal, rien ne peut s’opposer à cette
				transformation, qui est déjà en très grande partie réalisée,
				il ne s’agit que de son achèvement. 
 
Même d’écrire
				ce présent texte et de le communiquer, ce n’est que la tenue
				d’un journal de son propre effacement et de celui de mes rares
				semblables. 
 
Ce qui est étrange, c’est que pas un
				seul des auteurs de science fiction n’ait envisagé cette issue
				de l’espèce humaine. 
 
Même le film THX 1138 de
				George Lucas, 1971, conservait l’individualité et la
				personnalité, et en faisait son thème central, au sein d’une
				humanité totalement en apparence uniformisée,
				désindividualisée. 
 
Et à partir de ces précédentes
				réflexions, on peut enfin définir ce qu’est la vie. 
 
La
				vie est un ensemble constitué d’individualités ou
				personnalités. 
 
Nous sommes parvenus dans
				l’impensable. 
 
Cela me rappelle la réflexion d’un
				forestier de mon endroit, au sujet de la disparition de plus en
				plus accélérée des arbres (sécheresses à répétition,
				toxiques, maladies, ondes etc ...) « Une forêt sans arbres
				c’est impensable », « une espèce sans individus
				c’est impensable ». 
 
Même les insectes dits
				sociaux (ils le sont tous en réalité comme toutes les formes de
				vie), sont constitués d’individus. 
 
 
Pour
				rabaisser un peu le niveau de ce texte, au niveau de la
				trivialité de ceux qui pensent commander aux évènements, alors
				qu’ils ne sont eux-mêmes que les jouets de ces évènements,
				il est dit dans le livre de J.
				B. E. Golstein Théorie et pratique du collectivisme oligarchique
				1949 
https://archive.org/details/TheorieEtPratiqueDuCollectivismeOligarchique
				 
que
				le seul problème crucial de l’élite est de se préserver des
				couches subalternes (moyennes et inférieures), donc en
				s’isolant, tout en parant à sa dégénérescence naturelle du
				fait de cet isolement, qui provoque en retour son dépérissement
				à cause du non-renouvellement de ses capacités. 
 
Les
				actuelles élites mondiales, et je ne fais pas de différence
				entre celles occidentales et celles russes, chinoises et autres,
				ont résolu le problème en détruisant toute individualité dans
				les couches subalternes, pensant ainsi rester au pouvoir pour
				l’éternité. 
 
L’élite mondiale imagine aussi que
				le pseudo cerveau unique intitulé « Intelligence
				artificielle », peut remplacer le génie humain. 
 
Le
				problème qui va très rapidement se poser est celui-ci. 
 
La
				masse va très très rapidement dépérir avec la disparition en
				son sein de toute individualité. 
 
Or, la masse est le
				terreau sur lequel se nourrit toutes les autres couches sociales,
				c’est l’humus. 
 
Cet humus va devenir stérile, et
				entraînera la stérilité de l’élite, la couche moyenne étant
				elle-même et en premier destinée à disparaître, dans ce
				programme de règne
				pour l’éternité. 
 
L’élite s’imagine entretenir
				l’intelligence et la créativité en préservant une mince
				caste réduite de spécialistes, de scientifiques, de techniciens
				et autres serfs-esclaves évidemment coupés du terreau de la
				masse.  
 
L’élite a le droit d’y croire, l’espoir
				fait vivre et on dit que l’espoir est ce qui disparaît en
				dernier.  
 
Quand même, espérer que « nullifier »
				l’individu, la personne, et s’attendre à ce qu’une partie
				de la société en réchappe ! 
 
Cela ne pense pas
				au niveau de l’élite
				mondiale. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
				 
				 
 
				 
				 
 
				 
				 
 
				 
				 
 
				 
				 
 
				 
				 
 
				 
				 
 
				 
				 
 
				 
				 
 
				 
				 
 
				 
				 
				 
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