Vers
				l’inconcevable 
Towards the inconceivable 
 
Communication
				au sujet de la métamorphose en cours de la vie terrestre
				faussement dénommée « transhumanisme », ou, le
				transhumanisme comme
				la
				dernière métamorphose du
				judaïsme 
Communication
				on the ongoing metamorphosis of earthly life falsely called
				‘transhumanism’, or, transhumanism as the latest
				metamorphosis of Judaism 
 
De la part de
				Michel
				Dakar, le 3 juillet
				2025
				à Villequier en
				France 
 
http://the-key-and-the-bridge.net/towards-the-inconceivable.html
				 
 
Sommaire : 
1 - Introduction 
2 - Les
				tout derniers moments 
3 - Qu’est-ce que la perte de l’âme,
				de la conscience ? 
Qu’est-ce que l’âme, la
				conscience ? 
4 - Le transhumanisme 
5 - La rupture
				radicale, le dénominateur commun
				du
				transhumanisme et du judaïsme 
6 - Rupture et symbiose, le
				judaïsme et le taoïsme 
7 - Le but concret et extrêmement
				simple à énoncer du transhumanisme 
8 - Conclusion 
 
 
 
 
 
1
				- Introduction  
 
C’est la communication la plus
				difficile que je n’ai jamais faite. Je dois affronter comme une
				sorte de blocage qui m’empêche de penser, mais je sais que je
				dois avancer malgré cette impression de devoir repousser devant
				moi un mur de caoutchouc à la fois immensément résistant et
				souple, un mur que je ne peux traverser et qui se déforme au fur
				et à mesure que je progresse. 
 
Devant le problème à
				affronter et à traiter ma volonté semble atteinte d’une sorte
				de torpeur contre laquelle je dois lutter, une paralysie, comme
				si ma conscience se figeait. 
 
De quoi s’agit-il ? 
 
Même
				le sujet est déjà incroyablement difficile à concevoir et à
				exprimer. 
 
Mais il faut avancer, car seulement de très
				rares se sont aventurés à cette exploration, et à mon avis,
				malgré le grand mérite qui est le leur, ils ne sont pas au
				niveau
				de
				la dimension du problème. 
 
Moi, je vais tenter de le
				saisir dans sa totalité et dans son essence. 
 
Cela me
				rappelle l’acte de créer en matière artistique, un ex-ami
				peintre dans le passé me disait qu’il fallait se laisser aller
				dans la main de dieu, un autre qui n’employait jamais les
				termes de dieu et d’âme, m’avait dit autrement la même
				chose. 
 
A ce niveau de démesure, d’écartement de ce
				que la conscience a l’habitude de côtoyer, il faut en effet se
				laisser mener par ce que la vie et l’Univers ont de plus
				profond, se laisser porter par le courant même de la vie, par la
				vie, car la vie est un courant, un mouvement, ce que les anciens
				chinois dénommaient le tao. 
 
 
 
 
2 - Les
				tout derniers moments 
 
Les tout derniers moments de
				quoi ? 
 
De ce qu’on nomme la conscience, l’âme,
				la volonté propre, le libre-arbitre, la pensée,
				l’individualité, la personnalité, l’être, ce qui est le
				caractère de la vie, de ce qui existe. 
 
Tout ce qui
				existe possède ces qualificatifs, conscience, âme, pensée, etc
				… que ce soit ce qu’on classe dans les choses, les objets, ou
				bien la vie organique, depuis sa forme la plus simple, ces êtres
				dits unicellulaires, jusqu’aux êtres composés réputés dans
				notre mentalité restrictive, complexes, comme nous-mêmes, du
				moins comme nous nous voyons. 
 
Mais comment est-ce
				possible puisque tout ce qui existe, existe avec une âme, est
				une âme, que cela soit les tout derniers moments de l’âme ?
				Ou, autrement exprimé, comment est-ce possible d’exister sans
				âme, puisque même un caillou est âme ? 
 
Voilà
				la réponse à ce mystère : 
 
Parce que l’espèce
				humaine est en train d’inventer et de mettre en place, et cela
				depuis plusieurs dizaines d’années, depuis environ les années
				1970, un système privant les êtres d’âme, un système
				privant les êtres de l’existence, un système de
				non-existence, un ensemble de non-êtres, et que ce système de
				non-existence s’étend non-seulement à l’espèce humaine,
				mais à tout son environnement, soit pour le moment tout ce qui
				constitue l’espace de la planète terre, et si cette
				malheureuse espèce s’expanse au-delà de sa planète
				d’origine, le système de non-être englobera le système
				solaire, puis la galaxie, puis les amas de galaxies, les super
				amas jusqu’à englober si rien ne l’arrête, tout l’Univers,
				les amas d’Univers, les super amas d’Univers, et ainsi de
				suite car l’étant est une suite sans fin et sans commencement,
				au-delà de notre compréhension mais non-au de-là de
				l’intuition qui est l’âme, et ainsi parvenir à transformer
				l’être en non-être, l’existant en non-existant, à la fois
				dans l’idée, l’idée d’être signifiant non-être, mais
				dans la matière même, en la contraignant par la force, par la
				coercition. 
 
Évidemment, on peut là commencer à
				entrevoir ce qui se passe, et ce qui se passe est banalement ce
				que les anciens grecs dénommaient le solipsisme, soit que
				l’étant n’a de réalité que dans sa tête, que son moi est
				l’unique réalité, que le moi, l’égo est l’Univers. 
 
Nous
				arrivons à la première division de ce qui était la route
				unique depuis le commencement de cet Univers particulier et
				limité qui est celui que nous connaissons, réputé selon notre
				science étriquée datant d’environ 13 milliards d’années,
				en deux routes, l’une glorifiant l’égo, le moi, l’autre
				échappant de la prison du moi. 
 
Cette séparation en
				deux routes de la route qui était unique depuis 13 milliards
				d’années, a eu lieu récemment, il y a moins de 10 000
				ans. 
 
L’une des deux routes celle de l’égo comme
				unique existant pourrait être résumée par le judaïsme et le
				christianisme qui n’est qu’une forme du judaïsme.  
 
L’autre
				route, qui est en réalité la continuité de la route unique
				menant à l’origine de l’Univers, a trouvé son
				épanouissement en extrême-orient, par ou dans
				le
				bouddhisme et le taoïsme, dans leurs formes originelles. 
 
Entre
				les deux routes, il existe des ensembles religieux, culturels ou
				géographiques qui penchent plus ou moins d’une côté ou de
				l’autre vers l’une des deux routes. C’est le cas de la
				Russie et de l’Islam. Un continent reste lui engagé sur
				l’ancienne route unique qui est toujours vivante en son sein,
				c’est l’Afrique noire. C’est peut-être là où une
				fraction de l’espèce humaine survivra. 
 
Mais
				globalement, du fait de l’ex-hégémonie planétaire de la
				route dite judaïque, la totalité de l’aire planétaire a été
				imprégnée de la mentalité de l’égo, et a dû suivre pour
				survivre, le mode de pensée, d’organisation et de
				développement matériel de l’égo. 
 
Paradoxalement,
				c’est en extrême-orient qu’il est possible que maintenant se
				réalise le programme de disparition de l’âme, de non-être,
				porté dès l’origine par le judaïsme. 
 
Le judaïsme
				aura donc réussi à devenir l’unique religion planétaire, et
				cela sans que personne n’en ai encore conscience, et aura
				réussi à engager toute l’espèce humaine dans le non-être,
				et à mener du moins dans cette région de l’Univers qu’est
				le système solaire, l’évolution depuis le pseudo commencement
				de l’Univers il y a 13 milliards d’années, dans le
				néant. 
 
La Chine et plus largement tous les autres
				pays asiatiques, sont à la pointe de l’enfermement définitif
				dans l’égo, soit le non-être, le néant, tandis que
				paradoxalement, l’Occident, qui est en fait l’aire occupée
				par le judaïsme, est en train de s’effondrer. La continuité
				culturelle du judaïsme aura donc son centre en Chine, et cela
				sera la Chine qui mènera la conquête par le néant de
				l’Univers, alors que la Chine a été le lieu, par le tao, de
				l’émergence de la forme de conscience et d’âme, la plus
				évoluée et accomplie de toute l’histoire humaine. 
 
 
 
 
3
				– Qu’est-ce que la perte de la conscience, de
				l’âme ? 
Qu’est-ce que l’âme, la
				conscience ? 
 
La perte de l’âme, de la
				conscience est le résultat d’un processus d’enfermement
				mental. 
 
Mais poser cette constatation revient à poser
				la question qu’est-ce que l’âme, la conscience, et
				immédiatement à en donner la définition. 
 
Si la
				perte de l’âme de la conscience est un enfermement, la
				conscience, l’âme est donc une ouverture, une continuité, ce
				qui est le non-enfermement, une continuité avec la totalité,
				l’Univers. 
 
Un être qui perd son âme, sa
				conscience, est en fait un être qui se coupe de
				l’Univers. 
 
L’Univers est l’âme, la
				conscience. 
 
Il est étonnant que dans la culture issue
				du judaïsme, soit occidentale, l’Univers, ce qui est,
				n’apparaisse pas comme étant l’âme, la conscience. 
 
Ce
				n’est pas un hasard, car le judaïsme est ce processus de
				rupture, d’enfermement mental, ce qui apparaît
				sociologiquement de façon évidente par la séparation pour les
				juifs de l’humanité en juifs et non-juifs, et dans le ghetto,
				ou l’État d’Israël, qui est un ghetto réservé aux seuls
				juifs. 
 
Mais ce processus de rupture dépasse de loin
				l’idée de race, d’ethnie, et se retrouve dans ce qu’on
				nomme le transhumanisme, transhumanisme qui est porté par les
				idéologues juifs (Harari, Kurzweil, Attali et autres), le
				transhumanisme étant un courant de pensée provenant du
				judaïsme. 
 
 
 
 
4 – Le
				transhumanisme 
 
Définition : 
 
Le
				transhumanisme est la configuration mentale d’un état de
				rupture. 
 
Cette rupture est celle entre l’intérieur
				et l’extérieur d’un être humain. 
 
Pour que
				l’individu humain soit viable en état de rupture, soit l’état
				transhumain, il faut qu’il modifie l’extérieur à son image,
				il faut que l’environnement devienne un
				trans-environnement. 
 
Le transhumanisme n’est
				possible qu’en transformant l’intégralité de
				l’environnement de l’espèce humaine, soit l’écologie et
				toutes les autres formes de vie, et si c’était possible, les
				lois physiques fondamentales et immuables mêmes qui régissent
				l’Univers, soit l’Univers lui-même. 
 
Tôt ou tard
				le transhumanisme, qui est une idéologie, l’idéologie de
				rupture, et qui je peux le dire dès maintenant, n’est qu’une
				forme actualisée du judaïsme, en viendra à la prétention de
				changer les lois physiques fondamentales considérées comme
				immuables, régissant l’Univers. 
 
Karl Marx, dans son
				livre La question juive, Marx étant juif lui-même et petit-fils
				de rabbin, et de plus financé par la banque juive
				(https://stateofthenation.co/?p=152341),
				y avait inscrit cette réflexion, que les juifs modifiaient leur
				environnement pour qu’il leur soit viable, ce qui signifie
				qu’un environnement normal, naturel, universel, n’est pas
				viable pour les juifs, ou plutôt que le judaïsme n’est pas
				une forme viable, dans l’Univers que nous
				connaissons. 
(https://luttedeclasse.org/marxisme/KM_La_question_juive.pdf). 
 
Cela
				signifie aussi que l’état de rupture est un état non-viable,
				et qu’il doit être entretenu artificiellement en
				permanence. 
 
 
 
 
5 – La rupture
				radicale , le dénominateur commun
				du
				transhumanisme et du judaïsme 
 
La rupture radicale est
				le dénominateur commun du judaïsme et du transhumanisme. 
 
Le
				judaïsme qui est antérieur au transhumanisme est une culture de
				la rupture radicale, ce qui se manifeste par la rupture entre les
				juifs et et les non-juifs. C’est cette rupture qui fonde le
				judaïsme, sans cette rupture fondamentale, entre soi et ce qui
				est autre, le judaïsme n’existerait pas. Cette rupture est
				visible avec le phénomène urbain du ghetto, ou bien de l’État
				d’Israël, qui est un ghetto ethnique, un ghetto nation, un
				ghetto géopolitique, et de l’état d’agression constante du
				ghetto juif d’Israël envers ses voisins directs, cette
				agression n’étant que la manifestation du rejet de tout ce qui
				n’est pas juif, comme les limites du ghetto sont la
				manifestation du rejet des non-juifs. 
 
L’idéologie
				de la rupture radicale est apparue au Proche-Orient il y a
				environ 2500 ans. 
 
Ce qu’on nomme religion juive est
				une création bien plus récente que ce que cette religion veut
				faire accroire. C’est une création de toute pièce qui s’est
				servie dans toutes les cultures anciennes du Proche-Orient pour
				donner un corpus historique à une idéologie de la rupture
				radicale extrême encore jamais rencontrée jusqu’alors dans
				l’humanité. 
 
On ne saura jamais comment cette
				évolution a eu lieu. Ce qu’on peut constater c’est
				l’influence de la religion perse avec le mazdéïsme
				(http://www.teheran.ir/spip.php?article2533#gsc.tab=0),
				le mazdéisme étant inspiré du védisme indien, qui est la plus
				ancienne manifestation de la division de la société en castes,
				le mazdéisme reprenant cette division, avec la caste des mages
				similaire à la caste des brahmanes du védisme ou de
				l’hindouisme comme caste la plus élevée
				(https://www.universalis.fr/index/mazdeisme/). 
 
On
				peut dire que le judaïsme est une extension du védisme indien
				au Proche-Orient, rapportée en Palestine par l’élite des
				déportés de Palestine à l’occasion de la conquête de
				Babylone par les perses, et le retour en Palestine de cette
				élite. 
 
On passe d’une caste de prêtres à une
				population caste, le fameux dieu unique n’étant qu’une
				reprise du dieu unique mazdéen, l’idéologie de domination
				mondiale par les juifs une reprise de l’idéologie de l’Empire
				monde de Cyrus, roi des perse, la rupture entre la caste des
				mages et le reste de la société perse, étant reportée dans la
				rupture entre le peuple caste des juifs et les hors-castes
				non-juifs, similaires aux hors-castes de l’hindouisme, les
				intouchables, les
				dalits. 
https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-322/empire-achemenide/
				 
 
Comme dans la caste des brahmanes hindouistes, le
				juif pratiquant orthodoxe doit se livrer à une foule de rituels
				de purification à chaque moment de son existence, car tout
				contact avec le non-juif est une souillure, toute transgression
				de la rupture, du franchissement de la limite avec le monde
				non-juif est une faute qui peut être châtiée.  
 
La
				notion de péché, de faute, est liée à l’idée de
				franchissement de la limite existentielle qui existe entre juif
				et non-juif. Elle n’a rien à voir avec le dit péché originel
				de l’ancien testament ou torah, ces livres dits sacrés,
				n’étant qu’une compilation de textes servant volontairement
				à dissimuler la réalité et l’essence du judaïsme, qui doit
				rester cachée aux regards des non-juifs, et qui ne concerne que
				les juifs seuls. 
 
Le mental juif est structuré par un
				axe unique qui est la rupture, la séparation, cet axe lui
				servant de fondation. 
 
L’association du principe
				existentiel de rupture, d’Empire monde et de peuple caste, a
				formé une idéologie unique et extrêmement dangereuse,
				l’idéologie juive, qui ne peut avoir pour but que la conquête
				du monde et l’élimination des non-juifs. 
 
Comme les
				tenants de cette idéologie ne peuvent avancer à visage
				découvert, cette idéologie a secrété un autre principe, celui
				du mensonge, de la dissimulation radical, dont l’expression la
				plus connue est l’inversion accusatoire, l’agresseur se
				faisant passer pour l’agressé, le criminel pour la
				victime. 
 
L’idéologie juive doit se travestir
				derrière de nouvelles idéologies, au fur et à mesure des
				changement d’époques et de civilisations. 
 
Il y eu
				le travestissement du christianisme et de sa prise du pouvoir de
				l’Empire romain au 4ème siècle
				(https://www.herodote.net/almanach-ID-2087.php). 
 
Le
				transhumanisme est la second grand travestissement du
				judaïsme. 
 
Dates principales dans l’existence du
				judaïsme : 
 
Védas indiens il y a environ 4000
				ans 
 
Mazdéisme perse il y a environ 2600
				ans 
 
Formation du judaïsme en perse il y a environ
				2500 ans 
 
Avatar du judaïsme dénommé christianisme,
				il y a 2025 ans en Palestine 
 
Prise du pouvoir du
				christianisme dans l’Empire romain il y a environ 1600
				ans 
 
Intermède bref du bolchevisme mais constituant en
				quelques décennies un record absolu de massacres historique de
				masse, avatar temporaire du judaïsme, 1917 à 1991 : 
Article
				: Les bolcheviks juifs et les massacres Karl
				Nemmersdorf 30 juin 2025
				 
https://www-unz-com.translate.goog/article/jewish-bolsheviks-and-mass-murder/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc
				 
Film : Le Tchékiste (Чекист, Tchekist), film en
				russe réalisé par Alexandre Rogojkine, sorti en 1992,
				sous-titré en anglais 
https://ok.ru/video/4625204725
				 
 
Avatar du judaïsme dénommé transhumanisme, courant
				20ème siècle, inspiré du golem juif : 
Page
				Wikipedia, relative au « golem », extrait : 
« Un
				golem
				(hébreu :
				גולם,
				« embryon », « informe » ou « inachevé »)
				est, dans la mystique puis la mythologie juive, un être
				artificiel, généralement humanoïde,
				fait d’argile,
				incapable de parole et dépourvu de libre-arbitre, façonné afin
				d’assister ou défendre son créateur. » 
 
On
				peut dire que puisque le transhumanisme étant repris par toutes
				les civilisations humaines actuellement, que le judaïsme a fini
				de s’imposer à l’espèce humaine entière et définitivement,
				c’est à dire que l’état de rupture va très bientôt être
				l’unique état connu de l’espèce
				humaine. 
https://deconstructionhomme.com/tag/talmud-la-legende-du-golem/
				 
https://sciences-critiques.fr/aux-origines-du-transhumanisme/?cn-reloaded=1
				 
 
 
 
 
 
6 - Rupture et symbiose, le
				judaïsme et le taoïsme 
 
La société indienne divisée
				en castes n’est qu’un exemple connu et très documenté de
				l’instauration d’une mentalité de rupture chez l’être
				humain. 
 
Le judaïsme n’est qu’une sorte de fluide
				porteur de cette idéologie, qu’il n’a pas créé, qui
				existait avant sa formation. 
 
Alors d’où vient
				l’idéologie de rupture ? 
 
Toutes les
				productions de l’espèce humaine avant le néolithique
				démontrent que l’être humain vivait en symbiose avec
				l’Univers, et particulièrement les peintures rupestres
				européenne, dont celles magnifiques de Lascaux ou
				Chauvet. 
https://www.hominides.com/musees-et-sites/
				 
https://www.hominides.com/musees-et-sites/grotte-chauvet/
				 
https://www.hominides.com/musees-et-sites/grotte-de-lascaux/ 
 
On
				retrouve cette même symbiose avec la nature, l’Univers, dans
				le taoïsme. 
 
Il semble que le taoïsme soit un retour
				à cette symbiose originelle. 
 
L’idéologie de
				rupture est apparue avec la prise du pouvoir de l’espèce
				humaine sur la nature, soit à l’époque du néolithique, qui a
				précédé de peu l’enfermement des humains dans les villes,
				les premiers ghettos, non-juifs, mais humains les coupant de
				l’Univers. 
 
Le taoïsme est une réaction face à cet
				enfermement, un retour à la source, le taoïsme est l’expression
				de ce qui a dû être immédiatement ressenti par les humains les
				plus ouverts, sensibles et intelligents du danger de
				l’enfermement croissant et du pouvoir croissant des humains par
				rapport à la nature, soit l’Univers. 
 
 
 
 
7
				- Le but concret et extrêmement simple à énoncer du
				transhumanisme 
 
Au-delà de toute la technologie
				foisonnante qui tourne autour du transhumanisme, et qui n’est
				relayée que d’une façon insignifiante auprès du grand
				public, incluant les pseudo résistants occidentaux, le but
				unique du transhumanisme est la prise de contrôle total de
				la
				conscience de chaque individu et de
				l’espèce
				humaine dans sa totalité. 
 
Ce but n’est pas
				utopique, c’est en cours de réalisation, et déjà très
				avancé. 
 
Les très rares qui lisent mon texte sont
				soit déjà au courant de cette réalité, soit doivent faire
				l’effort eux-mêmes de se documenter, j’éprouve un ennui
				insurmontable à faire de la vulgarisation, heureusement,
				d’autres le font très bien. 
 
Je conseille pour
				commencer ces
				comptes
				Facebook et
				Tiktok : 
 
https://m.facebook.com/sebastien.gimenez.5661/
				 
 
https://www.tiktok.com/@recherchesdocumentaires
				 
 
https://www.tiktok.com/@fiso679
				 
 
https://odysee.com/@mpowertranslations:e
				 
 
Ce que signifie prendre le contrôle de la conscience
				est simple, c’est détruire la conscience. 
 
Pourquoi
				détruire la conscience, par ce que c’est l’unique façon de
				maintenir la rupture d’avec l’Univers, on voit très bien que
				depuis l’instauration de la rupture comme manière d’être de
				l’espèce humaine, le combat se livre sans cesse entre
				l’instance de rupture et la conscience, et qu’il est
				impossible de maintenir l’état de rupture tant que la
				conscience subsiste, car la conscience est la communication avec
				l’Univers, qui est lui état de conscience, et qu’il est
				impossible de détruire l’Univers, donc le système infernal
				qui s’est développé en est réduit à détruire la conscience
				humaine individuelle et collective. C’est une mécanique qui ne
				s’arrêtera pas, et qui ira jusqu’à la disparition totale de
				la conscience. 
 
 
 
 
 
8 -
				Conclusion 
 
Nous vivons actuellement les tout derniers
				moments d’état de conscience, nous allons très bientôt être
				totalement des mécaniques, sans pensées, sans âmes, sans
				conscience, des objets animées. 
 
On peut déjà
				prévoir ce qui se passera, cela sera comme pour l’entité
				juive installée dans son ghetto en Palestine, l’espèce
				s’auto-détruira. 
 
Toute cette affaire renvoie à la
				manière d’être, l’humain doit retrouver la manière d’être
				naturelle qui est celle que partagent toutes les formes de vie
				dans l’Univers et l’Univers lui-même, qui est être, c’est
				à l’opposé de la manière d’être juive qui est rupture, la
				seule manière d’être possible est l’harmonie, la symbiose
				au sein de l’Univers, c’est ce que les anciens chinois
				avaient dénommé la voie, le
				tao. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
				 
				 
				 
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