Un
				peuple de morts pour une langue morte 
A dead people for a
				dead
				langage 
 
http://the-key-and-the-bridge.net/un-peuple-de-morts-pour-une-langue-morte.html
				 
 
 
Il est un sujet qui a très étrangement
				échappé à tous ceux qui sont concerné par
				l’« antisémitisme », c’est l’usage de l’hébreu
				par les juifs israéliens, l’hébreu étant la langue
				officielle de l’état d’Israël, l’état d’Israël étant
				l’état des juifs, la langue des juifs étant donc
				l’hébreu. 
 
Or, l’hébreu est une langue morte,
				depuis au moins l’apparition dans l’histoire du personnage du
				christ (lire les deux articles du
				Figaro et de l’Encyclopedia universalis en annexe), soit au
				moins depuis environ 2000 ans. A l’époque du dénommé christ,
				l’hébreu n’était plus la langue vivante employée par la
				population juive, qui parlait l’araméen. L’hébreu étant
				encore utilisée dans la liturgie, comme l’était le latin il y
				a encore peu dans la religion catholique, et encore maintenant
				chez les intégristes catholiques. 
 
Le latin comme
				l’hébreu, comme le grec ancien sont des langues mortes, avec
				cette particularité que l’hébreu a été imposé à une
				population contemporaine, comme si en Italie, on avait imposé le
				latin aux italiens contemporains. 
 
Nous avons donc pour
				la première fois dans l’histoire humaine, une population en
				vie qui s’exprime dans une langue morte. 
 
Or, qui
				peut donc s’exprimer dans une langue morte, sinon des morts
				? 
 
Cela est en cohérence avec la détermination
				fatale, morbide de cette population et du sionisme, depuis
				l’invention du génocide nazi avec les chambres à gaz
				impossibles et imaginaires, jusqu’à l’actuel génocide réel
				celui-là de la population authentique et vivante de Palestine,
				que ces morts animés veulent détruire pour prendre sa place,
				comme si ils espéraient devenir réels en employant une langue
				morte depuis au moins 2000 ans et en se substituant aux habitants
				en chair et en os de Palestine, réels ceux-là. 
 
Tout
				cela est bien étrange. 
 
En ce qui me concerne, moi qui
				apprécie la langue arabe sans hélas la parler, j’ai toujours
				été interloqué par la sonorité de l’hébreu, qui me faisait
				penser à de l’arabe dévitalisé. 
 
Et les juifs ne
				s’en rendent même pas compte. 
 
Autant l’arabe est
				explosif de vie, percutant de force, parfois trop au point que
				certains peuvent s’en plaindre, il peut arriver à casser les
				oreilles, autant l’hébreu est laid, mou, il lui manque la
				gutturalité, du claquement
				et de la grâce parfois même maniérée, comme au Liban et en
				Syrie, de l’arabe vivant. L’hébreu est une bouillasse
				d’arabe. 
 
On croirait en entendant l’hébreu, à
				une
				langue
				parlée entre eux par des morts ensevelis dans un cimetière,
				avec plein de terre dans la bouche. 
 
A l’inverse de
				ce qui sous-tend le film Suspiria de Dario Argento, 1977, les
				morts ne commanderont pas aux
				vivants. 
https://ok.ru/video/2097701128805
				 
 
Les juifs sont une population complètement
				artificielle, créée de toutes pièces, même la langue écrite
				la plus répandue en Palestine de l’époque du christ n’était
				pas l’hébreu, mais le grec comme on peut le lire dans
				l’article en annexe. Il s’agit de l’unique création d’une
				population ex-nihilo (à partir de rien d’existant) d’une
				population entièrement façonnée à l’origine même par une
				idéologie, et qui a été soumise à cette idéologie au profit
				de ceux qui tenaient les rênes de cette population, anciennement
				les chefs religieux, puis les financiers associés aux chefs
				religieux, puis les idéologues sionistes associés aux chefs
				religieux et
				aux financiers. 
 
Cela fait penser à la création de la
				Scientologie par Ron Hubbard. Il faut lire l’excellent livre Le
				Gourou démasqué de Russel Miller, 1993, qui renseigne au fond
				sur le judaïsme, Scientologie qui d’ailleurs s’inspire des
				grandes religions dites du livre, dont la première est le
				judaïsme.  
 
Deux des principales réflexions d’Hubbard
				qui ont été rapportées dans ce livre sont (en substance) : si
				vous voulez devenir riche et puissant très vite, créez une
				religion, et je n’ai pas eu à me fatiguer, les grandes
				religions avaient déjà fait
				tout le travail à ma place. 
 
Documentation : 
Livre
				Le Gourou démasqué, livre en
				PDF 
http://scientologie.fraude.free.fr/01/gourou-demasque.pdf
				 
 
http://aredam.net/introduction-le-gourou-demasque-ron-hubbard.pdf
				 
 
Ron Hubbard avait même tenté de créer un espace
				extra-territorial, similaire à l’état d’Israël. 
 
Ce
				n’est pas un hasard si c’est Tom Cruise, l’ambassadeur de
				la Scientologie, qui a été désigné pour être la vedette de
				la cérémonie de clôture des jeux olympique 2024 à
				Paris. 
 
Scientologie et judaïsme sont deux frères
				siamois. 
 
Il serait d’ailleurs intéressant de
				creuser les liens secrets
				qui
				existent entre
				l’organisation mondiale juive, Israël et
				la Scientologie, et de connaître la position de la Scientologie
				sur l’actuel génocide des palestiniens, comme de connaître la
				position de la Scientologie sur la guerre en Ukraine. 
 
Comme
				pour l’état d’Israël, la Scientologie impose un langage
				artificiel à ses adeptes, qui sont en fait des esclaves qu’elle
				exploite. 
 
Pour finir, les malheureux dénommés juifs
				ayant intégrés l’état d’Israël, y ont perdu leurs vraies
				langues et leurs vraies cultures, pour les dits juifs dits
				sépharades d’Afrique du Nord, l’arabe et sa culture, pour
				les dits juifs d’Europe de l’Est, le yiddish, un mélange
				d’ancien allemand, de slave et autres langues européennes,
				additionné de mots hébreux tirés du glossaire liturgique.
				 
 
Nous sommes donc en présence en réalité d’un
				groupe humain déculturé et déraciné, hors-sol, hors le réel,
				donc perméable à toutes les manipulations psychiques de
				masse. 
 
A ce stade, les dits juifs qui manipulent les
				juifs deviennent eux-mêmes leur propre objet de manipulation, et
				ne contrôlent rien, il s’agit de la création d’un système
				manipulatoire qui échappe à tout contrôle et à toute
				rationalité, une chose agissante étrangère à la vie et à
				l’espèce humaine. 
 
C’est un danger mortel pour
				toute l’espèce humaine, une sorte de golem que personne ne
				dirige. 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Golem
				 
 
Film Le Golem, 1967, de Jean Kerchbron, d’après
				l’oeuvre de Gustav Meyrink, adapté par Louis Pauwels et Jean
				Kerchbron 
https://vk.com/video145495832_168748185
				 
 
Le Golem, 1920, de Paul
				Wegener 
https://archive.org/details/TheGolem_893
				 
 
 
 
Annexe : 2 articles 
 
1 – Le
				Figaro, Quelles langues parlait le christ ? 
2 –
				Encyclopedia Universalis, L’araméen 
 
 
1 -
				https://www.lefigaro.fr/langue-francaise/expressions-francaises/quelle-langue-jesus-parlait-il-20230528
				 
 
Quelle langue Jésus parlait-il? 
				Par Dorian
				Grelier Publié le 28/05/2023 
				 
				Né
				dans une famille juive de Galilée, le Christ voulait être
				compris des foules qui venaient écouter ses enseignements. Dans
				quelle langue s’exprimait-il? 
				«Allez
				dans le monde entier. Proclamez la Bonne Nouvelle à toute la
				création» (Marc
				16.15-18), dit Jésus
				à ses disciples après les avoir quittés et promis de leur
				transmettre la force de l’Esprit-Saint. Quand vint l’arrivée
				sur Terre de l’esprit de Dieu - ce que célèbre la Pentecôte
				-, les douze apôtres purent, à Jérusalem, témoigner
				publiquement de Jésus dans différentes langues. Mais quelle
				langue parlaient-ils avec le Christ? 
				Né
				dans une famille juive de Galilée (au nord d’Israël), Jésus
				a été élevé dans la religion juive. Une religion qui repose
				sur les écrits de la Bible
				hébraïque (l’Ancien Testament pour les chrétiens), rédigée
				en hébreu. Ainsi que l’explique Jean Sellier dans Une
				histoire des langues et des peuples qui les parlent
				(La
				Découverte), cette langue appartient au groupe sémitique, qui
				date de la seconde moitié du troisième millénaire avant J.-C. 
				Parlée
				par les Hébreux de la région de Canaan (réunissant Israël, la
				Palestine, l’ouest de la Jordanie, le Liban et l’ouest de la
				Syrie), elle fut en usage jusqu’à l’exil à Babylone de
				l’élite juive de Jérusalem et du royaume de Juda (586-538 av.
				JC). Le roi néobabylonien Nabuchodonosor
				II fit alors de Judée une province vassale de son empire. Ce
				jusqu’à la prise de Babylone par les Perses, qui autorisèrent
				les Juifs («membres de la tribu de Juda») à rentrer dans leur
				pays d’origine. 
				Christ
				polyglotte
				À
				l’époque de Jésus, les Juifs ont définitivement adopté
				l’araméen, autre langue sémitique née à l’aube de l’âge
				de fer - dont le nom désigne à l’origine un peuple du désert
				de l’actuelle Syrie, selon le Trésor
				de la langue française .
				Dans la Judée d’alors, on parle donc l’araméen. Les
				Evangiles le montrent. Rédigées en grec (devenu la langue
				écrite à partir de la conquête de l’Empire perse par
				Alexandre le Grand, en 334 avant J.-C.), les récits bibliques
				citent le Christ dans sa langue. Dans le récit de la Passion,
				raconté dans l’Évangile de Matthieu, on peut lire: «Eloï,
				Eloï, lama sabachthani?» (27.46).
				Autrement dit: «Mon
				Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné?»,
				comme le criait Jésus depuis sa croix. De même, «talitha
				koum» («petite
				fille, lève-toi!»)
				a-t-il un jour dit à la fille de Jaïre avant de lui rendre la
				vie. 
				Parce
				que le Christ voulait être compris des foules, notamment celles
				qui venaient écouter ses enseignements, ce dernier s’exprimait
				en araméen, parlé par un nombre important de peuples du
				Moyen-Orient. Toutefois, l’hébreu ayant subsisté dans la
				liturgie, il parlait également cette langue. On le vit ainsi
				lire et commenter le texte du livre d’Esaïe dans la synagogue
				de Nazareth (Luc 4.16-17). 
				De
				nos jours, l’araméen est une langue encore utilisée dans les
				liturgies de plusieurs communautés chrétiennes du Moyen-Orient,
				comme les Chaldéens, les Syriaques miaphysites, les Syriaques
				catholiques et les Maronites. 
 
 
 
2 -
				https://www.universalis.fr/encyclopedie/arameens/2-ecriture-et-langue/ 
 
L’araméen 
 
L'
				araméen est un langage sémitique, proche parent de l'hébreu et
				du phénicien. Mais qui comporte quelques traits communs avec
				l'arabe. Il utilise l'alphabet
				phénicien. Le premier spécimen d'écriture
				araméenne connu remonte au xe
				ou
				au ixe siècle
				avant J.-C. et a été recueilli sur un autel à Tell Halaf. Il
				en existe de nombreux autres spécimens venant de Syrie et datant
				du ixe
				ou
				du viiie siècle,
				époque où l'araméen était utilisé à des fins religieuses ou
				politiques. Ces inscriptions montrent que l'araméen devenait
				déjà une langue littéraire. Au viiie siècle,
				il avait donné naissance à des dialectes divers, mais les gens
				instruits possédaient une langue commune assez répandue (II
				Rois,
				XVIII, 26-28). Les Assyriens eux-mêmes l'acceptaient comme
				seconde langue officielle. La déportation en masse du peuple
				araméen par les Assyriens et l'utilisation de cette langue en
				guise de sabir
				par
				les négociants babyloniens contribuèrent à la répandre.
				Pendant la période néo-babylonienne, elle était d'usage
				courant en Mésopotamie. Sous l'Empire perse (539-323 av. J.-C.),
				l'« araméen impérial » fut la langue officielle, de
				l'Égypte à l'Inde. Après les conquêtes d'Alexandre
				le Grand, le grec le remplaça dans cette fonction en Orient
				sur toute l'étendue de l'ancien Empire perse, mais les dialectes
				araméens survécurent jusqu'à l'époque romaine, et l'on
				retrouve dans les manuscrits certaines formes auxquelles on a
				donné les noms de palmyréen, de nabatéen, de samaritain et de
				syriaque. Certains fragments de l'Ancien Testament, par exemple
				ceux que l'on trouve dans Daniel et dans Esdras, ont été
				rédigés en araméen. Le Talmud
				de Babylone a été, dans sa plus grande partie, écrit en un
				dialecte araméen et le Talmud de Jérusalem
				en un autre. En Palestine
				l'araméen était le langage quotidien du peuple, l'hébreu étant
				réservé au clergé, aux fonctionnaires, aux membres de la
				classe supérieure. Jésus
				et les Apôtres parlaient l'araméen ; en même temps que la
				Bible
				en hébreu ont circulé des traductions en araméen (Targums).
				L'araméen populaire n'a subsisté au cœur des temps modernes
				que dans quelques villages isolés près de Damas, dans les
				collines de Tūr-Abdin (Turquie du Sud-Est), enfin sur la rive
				orientale du lac Urmia (Iran, province d'Azerbaïdjan). Mais les
				communautés chrétiennes n'ont cessé de le pratiquer en Syrie
				orientale. On le retrouve dans la liturgie juive. 
				 
				 
 
				 
				 
				 
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