Exposé sur le Judaïsme et son influence sur les affaires planétaires
en cours
Presentation on Judaism and its influence on current global affairs

Partie 1 - Le Judaïsme
Partie 2 - Conséquences de l’influence du Judaïsme
sur le cours des évènements planétaires.

Communication de Michel Dakar, le 17 octobre 2025 à Villequier en France

http://the-key-and-the-bridge.net/presentation-on-Judaism-and-its-influence-on-current-global-affairs.html

http://the-key-and-the-bridge.net/presentation-on-Judaism-and-its-influence-on-current-global-affairs.pdf


1 – Élément documentaire :

Livre d’Israël Shahak, Histoire juive religion juive, le poids de trois millénaires, 1994.
https://aredam.net/SHAHrelig.pdf
http://the-key-and-the-bridge.net/SHAHrelig.pdf

Extrait du
livre de Shahak, haut de la page 27 :
«Le principal est que personne, homme ou femme, ne se trouvesans un gardien, placé au-dessus de lui, et que personne ne s'habitue à agir de sa propre initiative, au sérieux ou pour rire. En paix comme en guerre, l'on doit vivre toujours sous les yeux de son gardien […] Bref, l'on doit former son esprit à ne même pas envisager comment agir en individu ou savoir comment cela se fait ... »

2 – Élément
documentaire 2 : Attendre, Waiting

http://the-key-and-the-bridge.net/waiting.html
http://the-key-and-the-bridge.net/waiting.pdf





Partie 1 : Le Judaïsme

Le Judaïsme apparaît enfin au jour pour ce qu’il est, le génocide de Gaza en cours de perpétration accélérée depuis le 7 octobre 2023 révèle sa véritable nature, et dévoile aux yeux de toute l’espèce humaine ce que 2500 ans de dissimulation virtuose avait réussi à occulter, faisant même passer cette secte terrifiante
pour une victime innocente et pure de persécutions injustes et incompréhensibles.



Remarques préliminaires :

Le premier rappel important est à faire immédiatement, est que le chiffre des victimes du génocide des Palestiniens
est minoré par toutes les parties, évidemment en Occident, mais aussi dans le Hors-Occident. Le chiffre énoncé à la fois en Occident et dans le Hors-Occident est d’environ 63 000 morts alors que le journal médical The Lancet, de renommé mondiale avance le chiffre de 680 000 morts :
https://the-key-and-the-bridge.net/bilan-genocide-gaza-octobre-2025-680000-morts.pdf

La minimisation par toutes les puissances planétaires on le verra plus loin dans cet exposé n’est pas étonnante, car toutes les parties, aussi bien celle sous influence directe juive (l’Occident) que celles qui lui échappe en partie encore (le Hors-Occident, même si la Russie apparaît comme étant déjà
sous son influence), craignent les Juifs, c’est la raison de la minimisation générale de la réalité du génocide.

Le seconde rappel à faire immédiatement, est que quel que soit le chiffre des victimes, le peuple de Palestine est soumis à un génocide depuis le début de plan sioniste d’installation des Juifs en Palestine.

La réelle définition du génocide selon l’inventeur de la
notion de génocide, le juriste juif polonais émigré en 1942 aux USA Raphaël Lemkin, qui a provoqué la création du corpus juridique international de répression du génocide, est non pas la destruction physique brutale et rapide d’un peuple, mais celle de sa destruction par son éviction de son espace vital, de sa culture, de son histoire, de ses moyens de reproduction, de ses moyens de subsistance, se garder en bonne santé etc ... Raphaël Lemkin donnait comme exemple caractéristique de génocide la colonisation de peuplement et citait pour l’illustrer le cas de l’Irlande victime des anglais (https://archive.org/details/axisruleinoccupi0000lemk).

Extrait des statuts de l’association CODEIG (Compréhension et dépassement de l’idée de génocide), statuts déposés à la Préfecture de police de Paris en 2005, association immédiatement poursuivie par le Parquet sur demande du Préfet pour la faire dissoudre, association
reconnue légale par la 1ère chambre civile du TGI de Paris le 14/09/2005 (N° RG : 05/09704), président Jacques Gondran de Robert et par la 1ère chambre civile – section A de la Cour d’appel de Paris le 21/11/2006 (Numéro d’inscription au répertoire général : 05/19027), président Claude Grellier, association illégalement interdite de parution au Journal Officiel dont les statuts ne sont toujours pas parus à ce jour, alors que la justice française l’a déclarée légale et que son jugement est définitif (pas de pourvoi en cassation).
Voir les documents judiciaires relatifs à la procédure CODEIG :
http://the-key-and-the-bridge.net/documents-judiciaires-CODEIG.html

Deux tracts concernant les "Rencontres pacifiques" pour "Un seul état pour tous"
https://aredam.net/rencontre-28-octobre-2006.html

29 novembre 2006, Photographies des "Rencontres pacifiques" qui ont lieu tous les derniers samedis de chaque mois, Place de la Fontaine des Innocents aux Halles.
"Halte au génocide des Palestiniens", "Palestine, un seul Etat pour tous", et "Le sionisme n'est pas une opinion, c'est un crime" (à venir).

https://aredam.net/halte-au-genocide-des-palestiniens.html

Photographie de la manifestation du samedi 2 décembre 2006, Place de la République à Paris :
https://aredam.net/shoah-peuple-palestinien.html

Voir le livret fascicule publié en juillet 2007 :

https://www.aredam.net/un-genocide-programme-celui-des-palestiniens.html

Vue de Gaza en octobre 2025
http://the-key-and-the-bridge.net/vue-gaza-destruction-octobre-2025.mp4


L’association CODEIG est comme les Palestiniens, effacée
:

« Le concept de génocide a été défini par son créateur, Raphaël Lemkin, un juriste juif polonais réfugié aux USA, en 1944, comme la disparition programmée d'une population, par la destruction de son identité en tant que peuple, destruction qui n'est pas forcément physique, mais de ses structures économiques et culturelles, de ses institutions sociales et politiques, de sa mémoire historique, de son langage, de la sécurité personnelle, de la liberté, de la santé, de la dignité, et même des vies des individus qui le composent, ce qui est la situation vécue par le peuple de la Palestine occupée par les envahisseurs colonisateurs juifs sionistes. Raphaël Lemkin prenait d'ailleurs comme exemple type, la colonisation de peuplement. »

Toute colonisation de peuplement est un acte de génocide. Par extension, la colonisation de peuplement d’Algérie par les français était un acte de génocide, comme celle d’Afrique du Sud. Le plus connu des génocides
est celui des amérindiens d’Amérique du Nord, par les colons européens. Les populations qui occupent l’espace vital par la force des populations indigènes sont par essence des populations génocidaires. L’incrimination d’auteur de génocide s’étend donc à chaque civil même sans aucune responsabilité hiérarchique qui participe à la colonie de peuplement, c’est à dire à l’intégralité des colons.
Il est fait référence plus bas dans cet exposé à Israël Shahak, cité comme source documentaire d’exception sur la vraie nature du Judaïsme, Israël Shahak, qui habitait Israël était donc lui-même un auteur de génocide.

Il faut pour finir ajouter que tous ceux qui soutiennent une colonie de peuplement sans eux-mêmes y participer personnellement, sont complices
du génocide, et encourent les mêmes peines pénales que ceux qui commettent directement le génocide.

Cette notion de génocide se porte logiquement sur les enfants nés de parents génocidaires sur l’espace vital dont ont été chassés les indigènes. C’est l’unique crime qui se transmet de génération en génération, et c’est la responsabilité des parents génocidaires de faire naître des humains porteurs
à la naissance et même à la conception de cette incrimination qui relève des crimes contre l’humanité.

Cela va si loin, que l’église catholique à son plus haut niveau, elle-même coupable de maintes collusions dans son histoire avec des auteurs d’actes de génocide, s’est même mise en avant pour à sa manière hypocrite, renvoyer dos à dos les génocideurs et les génocidés, mettant sur le même plan le Hamas et Israël, et ainsi dénier l’acte de génocide, car mettre sur le même niveau victime et criminel revient vicieusement à effacer le crime
 :
http://the-key-and-the-bridge.net/vatican-genocide-gaza.pdf

Cet article est tiré du site dirigé par Thierry Meyssan. Cet article porte en titre que le Vatican dénonce le massacre de Gaza. Ce titre est en soi une désinformation tendant à faire croire que le Vatican s’oppose au génocide des Palestiniens, alors que quand on le lit, on s’aperçoit que le Hamas est mis sur un plan d’égalité avec Israël (environ 1000 morts équivalent à 680 000 morts), que de plus de plus en plus d’informations font état que l’opération du Hamas du 7 octobre 2023 a été commandée et organisée en sous-main par Israël, que tout le monde sait que le Hamas est une création d’Israël, et que le Hamas est amené à jouer et joue déjà un rôle clé dans la finalisation du génocide des Palestiniens, et l’après génocide et la transformation de Gaza en une zone spéculative immobilière internationale ainsi en une exploitation gazière par des multinationales de sa zone maritime, une sorte de repas
de charognards avec le Hamas comme caution, Hamas qui n’est qu’un agent caché israélien.
Thierry Meyssan apparaît là pour ce qu’il est réellement, c’est à dire un agent israélien, ce qu’il a sans doute toujours été. Que cet article omette le terme juridique spécifique de génocide pour y substituer celui appartenant au vocabulaire général de massacre, est une manière grossière de dénier la réalité du génocide et de faire oublier ses conséquences juridiques, dont la plus importante,
son imprescriptibilité.

Documentation subsidiaire :

Le 7 octobre 2023 était un attentat sous faux drapeau
Un soldat israélien témoigne SOUS SERMENT que le 7 octobre était un FAUX DRAPEAU et qu'il a reçu l'ordre de NE PAS INTERVENIR entre 5 h 20 et 9 h le jour de l'attaque. Vous risquez jusqu'à 5 ans de prison pour avoir partagé cette vidéo en Israël.
https://x.com/AdameMedia/status/1975500161905459315

http://the-key-and-the-bridge.net/pretexte-invente-pour-mener-le-genocide-palestinien.mp4

Reprise de l’exposé :

Le judaïsme a
été inventé de toute pièce il y a environ 2500 ans en Perse, dans la Babylone occupée par Cyrus qui conquit le dernier empire babylonien, à partir de l’ensemble des idéologies de puissance et de domination du Moyen-Orient, réunissant en une synthèse unique les meilleurs mécanismes de ces idéologies. Il en résulta un extraordinaire outil de domination et de conquête encore inégalé, dont il fallait en premier et à tout prix dissimuler la réalité aux yeux de tous les peuples, élevant le mensonge au rang de l’art suprême, afin que ces peuples ne se doutent pas de l’existence et du danger mortel pour eux représenté par la machine qui s’était mise en branle pour les assujettir il y a 2500 ans.

En Extrême-Orient il y eut Sun Tzu et son Art de la guerre en Chine il y a 2500 ans conçu à l’époque des royaumes combattants, au Proche-Orient il y eut le judaïsme, au regard duquel l’Art de la guerre est un manuel pour écoliers du niveau de l’apprentissage de la lecture, de l’écriture et du calcul.

Il est vrai que ce qu’on nomme « civilisation » avait commencé avec environ 3000 années d’avance au Proche-Orient, et que la position géographique du Proche-Orient était unique, c’est le lieu incontournable
dans la progression de la conquête de la planète terre par l’espèce humaine, commencée en Afrique du Sud-Est, puis remontant vers le Nord et devant, avant de s’étendre sur toute la planète, emprunter ce carrefour des trois continents, Eurasie, Asie et Afrique, pour ensuite atteindre par le Nord de l’Eurasie, l’Amérique de Nord puis du Sud, et par le Sud de l’Asie, l’Océanie jusqu’à joindre l’Amérique du Sud.

Ce carrefour du Proche-Orient était de plus idéal pour l’accroissement de la population humaine, sa concentration
et ses possibilités d’échanges et de voyages, en raison de plusieurs fleuves importants permettant d’irriguer des riches terres fertilisées à cause de leurs alluvions, et utilisables comme voies de transport et de circulation, ainsi qu’en raison de la mer méditerranée, un bassin fermé offrant ses rives aux implantations humaines, facile à emprunter grâce au cabotage, générant un développement humain sans comparaison.

La concentration sur un espace réduit de populations humaines et des pôles de pouvoirs pour les assujettir, mena immédiatement à un état permanent de conflit pour la prédominance et aux incessantes guerres de conquête, avec comme corollaire l’invention des idéologies de domination dénommées religions, domination
sur les propres populations de chaque pouvoir, et de conditionnement de ces populations à faire la guerre pour dominer les populations voisines et détruire les pouvoirs concurrents.

Le judaïsme est qu’un plagiat synchrétique des idéologies de domination égyptienne, mésopotamienne, sumérienne, mazdéenne, hittite et autres, dont de la pensée de Platon, comme on peut le découvrir dans la seconde partie de cet exposé.

La forme prise par cette idéologie synchrétique est celle de la secte, la secte étant l’organisation sociale la plus efficiente de prise de pouvoir. L’organisation en forme de secte a dû naître dès la mise en place de l’organisation religieuse, en tant que processus de noyautage de l’organisation religieuse dominante. La secte ne peut exister qu’au sein d’une organisation globale non-sectaire. Le cas d’Israël comme Etat-secte est trompeur, car Israël est englobé dans l’ensemble dénommé Occident, et ne pourrait exister sans cet ensemble. L’autre forme organisationnelle de prise de pouvoir similaire à la secte est la mafia, qui ne peut former une entité autonome, mais doit pour exister se loger au sein d’une société constituée. Mafia et secte sont des
formes de parasitisme politiques. Si on veut comprendre le judaïsme et les juifs il faut se référer aux travaux d’étude sur les sectes. Il faut relever que le judaïsme n’est pas classé parmi les sectes par les organisations qui luttent contre les sectes. Cela est dû à la puissance de la secte juive, puissance qui pèse sur ces organisations.

La secte juive a maintenant réussi à prendre le pouvoir sur la partie de l’humanité dénommée Occident, le pouvoir occidental n’est que la marionnette de la secte juive, son golem selon la légende juive. Elle se confronte directement avec les puissances du Hors-Occident en une lutte à mort, qui ne se terminera que par un Armageddon. Cet Armageddon est déjà inscrit dans l’histoire à venir, toute stratégie lucide consiste à s’y préparer. Cette confrontation directe - si on ose dire
clairement qui dirige réellement l’Occident - est pour le moment soigneusement occultée, à la fois en Occident et dans le Hors-Occident. On est dans une phase étrange de cette confrontation, où il est jugé préférable par toutes les parties de ne pas nommer l’un des adversaires, et l’adversaire le plus dangereux de tous. Ce n’est pas étonnant, même le Hors-Occident redoute plus que tout la secte juive et cherche à la ménager, et en Occident, à part de très rares publicistes sans aucune influence qui font un travail de recherche pure et sans espoir que ce travail change quoique ce soit, travail dont on peut se poser la question au profit de qui et de quoi, ceux qui sont autorisés à s’exprimer au grand public sont tous sous la coupe de la secte juive, laquelle interdit qu’on la désigne comme le maître de l’Occident.

L’un des mensonges les plus évidents de la secte juive est de se qualifier de sémite, ainsi ceux qui s’opposent à la secte juive sont des antisémites. Or, seuls les arabes sont des sémites, sans prendre en compte particulièrement ceux de la Palestine envahie par les juifs, Palestiniens
qui de plus sont les descendants de anciens occupants de la Palestine antique. Les dits juifs actuels sont le fruit des adhésions à la secte juive au cours des siècles, car comme toute secte, celle-ci survit grâce aux adhésions. Les dits juifs n’ont aucun lien généalogique avec les occupants historiques de la Palestine antique.

La terminologie de sémite est apparue au 19ème siècle inventée par les linguistes orientalistes
européens conditionnés par leur culture biblique (Sem fils de Noé). Elle concerne uniquement la langue, on parle du groupe des langues sémitiques. Les linguistes européens du 19ème siècle parlent de langues pour celles qui possèdent des racines sémites, les différenciant des autres groupes de langues qui possèdent d’autres types de racines comme par exemple les langues indo-européennes. Les peuples sémites sont donc qualifiés comme tel uniquement par rapport à leur langue. L’hébreu qui est une langue sémite était dans la Palestine antique, donc pour les juifs réels antiques, une langue sacerdotale, comme le latin des catholiques, c’est à dire une langue qui était déjà morte dans l’antiquité, et que seuls parlaient les prêtres. La langue parlée par la population juive, la langue vivante de l’époque était l’araméen, une langue sémite, parlée encore aujourd’hui en Syrie dans la région de Lattaquié. On dit que l’araméen était la langue du Christ. L’hébreu a été artificiellement ressuscité comme langue vivante récemment pour être parlé par les envahisseurs occupants de la Palestine et devenir la langue officielle de l’État d’Israël. Ce qui frappe quand on entend l’hébreu, c’est que cela rappelle la langue arabe mais sans la force, la rudesse, la violence et la beauté de l’arabe, on croirait entendre une sorte d’arabe dévitalisé, haché, ramolli, déstructurée, ayant perdu son flux nerveux, un arabe parlé par des gens de culture occidentale incapables de prononcer les lettres gutturales et de chanter les envolées propres aux langues sémites. Il faut oser le dire, l’hébreu est laid à entendre.

Les réels juifs antiques se sont convertis au christianisme et à l’islam, et sont devenus les Palestiniens actuellement exterminés par les faux juifs de la secte juive.

Fausse dénomination de sémite, fausse langue artificielle, fausse origine, tout est faux dans la secte juive. Ce qu’on dénomme les juifs forment un groupe humain totalement déconnecté de la réalité, dont les racines sont entièrement imaginaires.

L’intérêt de s’intéresser au groupe juif est qu’il s’agit d’une caricature du groupe humain global, ce groupe juif concentre et agrandi tous les traits de caractères du groupe humain global. Un autre groupe humain permet d’en comprendre un autre plus général, il s’agit de la mafia, particulièrement celle de Sicile, qui permet de comprendre le fonctionnement des groupes plus généraux, les groupes de pouvoir, tels les États. Enfin, étudier les sectes permet de comprendre ce qu’on nomme les organisations religieuses tel le Vatican, le système protestant et autres. Dans tous ces cas, un groupe restreint exacerbe les caractéristiques d’un groupe plus large, comme un microcosme renvoie
au macrocosme.

Au-delà de ce travail de ressourcement historique, le travail vital des quelques très rares chercheurs sur le sujet de cette secte dite juive est de faire prendre conscience de ce sentiment refoulé qui occupe l’esprit de
l’espèce humaine, ce sentiment refoulé est un sentiment de terreur et d’horreur vis à vis de cette secte, tant intenses qu’on s’interdit qu’il affleure à la conscience. Cette terreur et cette horreur influent comme un maître caché sur toutes les pensées et les décisions de l’espèce humaine actuellement. La manifestation de ce sentiment de terreur et d’horreur entraîne l’incapacité à ce que le groupe humain global force à faire cesser le génocide des Palestiniens perpétué sur les authentiques descendants des juifs antiques par les faux sémites de la secte juive.

La machine à mentir qu’est le judaïsme exhale
ses derniers mensonges pour semer la confusion jusqu’au bout, ainsi le sionisme n’est pas le judaïsme, il y a des juifs qui ne sont pas sionistes et opposés au génocide, etc etc … Comme dans toutes les sectes, il y a des membres de la secte ignorant la véritable nature de leur secte et ce à quoi ils obéissent. En fait, dans toute secte, hormis les membres du pôle dirigeant, tous les membres inférieurs ne sont que des exécutants inconscients, et maintenus dans la servilité par la peur de ce qui est extérieur à la secte, tout ce qui n’est pas la secte étant vu comme hostile et représentant un danger mortel pour eux, d’où la vie entre soi du ghetto et l’état israélien dit l’état juif. La peur est soigneusement entretenue et constamment amplifiée par les dirigeants, c’est un processus vital pour la survie de la secte. Le contrepoint de la peur - on dirait le plaisir après la douleur dans un va et vient circulaire sans fin sadomasochiste - est la valorisation, une valorisation extrême dont le niveau d’intensité est égal à celui de la peur, autrement nommée élection, tous les membres des sectes sont convaincus qu’ils sont des êtres supérieurs, choisis personnellement par une entité suprême surnaturelle qui commande l’Univers et qui s’intéresse à chaque cas, autrement dit, chaque membre d’une secte a été persuadé que ce qu’on nomme dieu l’a séparé de la masse humaine et en a fait un être à part au-dessus des humains normaux, c’est la méthode banale du flatteur, dont Jean de La Fontaine dit qu’il vit au dépend de celui qui l’écoute.

Seuls seront sauvés les choisis, les élus, eux seuls
survivront, car pour toutes les sectes, l’un des points du conditionnement le plus crucial, le point d’orgue, est celui de la fin des temps, ce qui se traduit par une extermination totale de l’humanité. Ce point de conditionnement existe évidemment dans la secte juive, et le déclenchement d’une guerre mondiale nucléaire est souhaité par ses dirigeants, qui sont persuadés que seuls les juifs survivront.

La secte juive ne se différencie en rien de la plus banale et triviale
des sectes actuelles comme la Scientologie (dont la secte juive est d’ailleurs très proche), Raël et autres, elle a simplement 2500 ans d’avance et ses créateurs étaient inspirés aux meilleures sources qui soient. Elle est apparue tard par rapport à la création des premières religions, environ 2000 ans plus tôt, et les recettes pour fabriquer une secte étaient déjà élaborée et peaufinées sans doute aussi depuis 2000 ans, car la secte a dû apparaître en même temps que l’appareil religieux dominant. L’une de ces recettes religio-sectaire les plus anciennes est celle du guide surhumain, sous les appellations de messie, homme providentiel, prophète et autres, qu’on trouve déjà dans le récit sumérien de Gilgamesh d’il y a environ 5000 ans.

On pourrait penser au vu des conquêtes et des déplacements forcés de populations au Proche-Orient, que la secte juive a été un avatar d’une secte mazdéenne ancienne interne à l’empire perse, transplantée en Palestine avec pour premiers dirigeants des perses qui se sont servis dans leur recherche de pouvoir de la population sémite de la rive de la méditerranée asservie et
déportée dans l’ancien empire dit néo-babylonien.

La différence entre la secte juive et les sectes courantes est que sa tête est collective alors que les sectes courantes sont dirigées par un potentat, un guru, sinon la psychologie est la même concernant les dirigeants et les adeptes, et aussi en ce qui concerne le point crucial, celui de l’émancipation, du
déconditionnement des adeptes, ce qui est déjà extrêmement difficile dans les sectes classiques, mais quasi impossible dans la secte juive (les très rares qui se sont émancipés, le payent par leur mort symbolique, comme Israël Shahak, voir en partie 2 de cet exposé, Shahak ayant été déclaré mort par le Washington Post du temps de son vivant, et n’a pu obtenir la publication d’un rectificatif alors qu’il s’est présenté physiquement au bureau du journal).
Il faut bien prendre en compte que le Hors-Occident se trouve devant une menace très concrète, celle de voir la secte juive finir comme la secte Waco, ou celle du Temple solaire, ou celle de Guyana, par un suicide collectif, dans le cas de la secte juive, ce suicide sera celui de déclencher une conflagration nucléaire mondiale entraînant la disparition de l’espèce humaine et de la plupart des formes de vie sur terre. C’est cette perspective qu’ont
à assumer les principaux dirigeants du Hors-Occident, ils sont face à un système d’enfermement mental absolu, dont l’évolution et la sortie sont impossibles, et fondé sur le tout ou rien. Le problème posé par la secte juive peut paraître insoluble, mais il doit être quand même résolu. C’est la tâche des dirigeants du Hors-Occident, ceux de la Russie, de la Chine, de l’Iran et autres secondaires.

La différence entre le développement humain en Chine et au Proche-Orient réside dans le fait que la guerre qui débuta en Chine lors de royaumes combattants, soit il y a
2500 ans, avait pour but non-pas l’écrasement des pouvoirs et des populations adverses, mais l’unification en un même peuple sous un même pouvoir, pour en finir avec les rivalités constantes et leurs cortèges de malheurs, de régressions et de désolations.

Dès l’unification environ 300 ans plus tard, ce fut en effet le commencement de la floraison dans tous les domaines de l’existence humaine.

De plus, il n’y eut pas élimination des anciennes philosophies et sensibilités mystiques, même les plus anciennes, elles furent sauvegardées et incorporées aux actuelles, comme il y eut une floraison dans les différentes manières de concevoir l’existence et l’organisation sociale, qui toutes, quoique parfois très différentes, cohabitèrent, se complétèrent, s’hybridèrent.

Tout ceci est à l’exact opposé de ce qui s’est passé au Proche-Orient puis sur tout l’Occident, avec le judaïsme sectaire, qui tend à éliminer tout ce qui n’est pas lui, et ses excroissances postérieures, dénommées christianisme et islam.

La symbolique du dieu unique, qui est présentée
par les assujettis à ces trois idéologies qui au fond n’en sont qu’une, comme un ultime progrès, est pourtant révélateur, c’est l’élimination physique de tout autre que soi.

Le culte du mensonge qui fait partie du judaïsme s’est propagé avec le christianisme, religion dite d’amour, qui détient sans aucun doute la médaille planétaire toutes catégories et pour tous les temps, dans les domaines de l’intolérance, des atrocités, des persécutions, des massacres de masse, de l’hypocrisie, avec des bûchers par centaines
de milliers au cours de son histoire, dans la science de la torture et de la manipulation mentale, dans sa cruauté sans limite, son Saint Office ou Inquisition ayant servi de modèle aux appareils de la police politique moderne les plus implacables et féroces (il faut dire que les protestants et autres réformés n’ont rien à envier aux catholiques, et que la fameuse guerre de 30 ans européenne, 1618-1648 rend parfaitement égaux les diverticules chrétiens dans l’abomination).

Quant à l’islam, son intitulé résume son programme, islam signifiant soumission, parfaitement illustré par la forme que prend son rite de la prière, à genoux puis allongé face contre terre
devant le pouvoir, et son pèlerinage annuel qui dissout sans conflit dans une même masse tournoyante, des potentats dont la richesse est quasi infinie et des miséreux à qui on a dû payer le billet d’avion et qui gîtent dans des dortoirs aux lits superposés tandis que les premiers sont installés dans des suites des milles et une nuits. On pourrait dire que l’islam est une sorte de fin de course du judaïsme, parvenant tant à une perfection indépassable dans la soumission que les peuples qui en sont atteints en ont arrêté leur évolution.



Partie 2 : Conséquences de l’influence du judaïsme sur le cours des évènements planétaires,

tels le Nouvel ordre mondial, le Great reset, l’Agenda 2030, le programme de dépopulation, les villes dites 15 minutes, le gouvernement unique mondial, l’identité numérique unique, la monnaie numérique programmable des banques centrales, la numérisation de toute activité sur terre, le transhumanisme, les épandages par voie aérienne de nanorobots et autres, la pseudo vaccination forcée et généralisée, la prise en main totale du psychisme des individus et des masses, et autres (énumération non-exhaustive).

Élément documentaire :

Livre d’Israël Shahak, Histoire juive religion juive, le poids de trois millénaires, 1994.
https://aredam.net/SHAHrelig.pdf
http://the-key-and-the-bridge.net/SHAHrelig.pdf

Extrait du
livre de Shahak, haut de la page 27 :
«Le principal est que personne, homme ou femme, ne se trouvesans un gardien, placé au-dessus de lui, et que personne ne s'habitue à agir de sa propre initiative, au sérieux ou pour rire. En paix comme en guerre, l'on doit vivre toujours sous les yeux de son gardien […] Bref, l'on doit former son esprit à ne même pas envisager comment agir en individu ou savoir comment cela se fait ... »


Ce qui est en train d’arriver, et à grand pas, est l’aboutissement du processus de perfection dans la domination au sein de l’espèce humaine.

Cet aboutissement est l’étouffement de la vie dans l’espèce humaine, d’où la clarification de l’acte de domination, qui est l’étouffement de la vie dans l’être dominé.

Il reste très peu de temps, par exemple pour écrire, diffuser et lire ce genre de texte.

Fin 2025 et en 2026, l’instauration de la monnaie numérique de banque centrale fera qu’on sera pris dans un filet sans trou pour y échapper, qui enlacera le plus infime aspect de l’existence.

De 2025 à 2030 l’installation de la 5G puis 6G devra être finalisée.

Le réseau d’ondes déjà en place et qui va très vite s’amplifier est destiné outre au contrôle total de la vie de chacun et collective, à mettre en place un enfermement numérique qui fera ressembler la vie de tous à ces insectes emmaillotés par les araignées.

Les procédés technologiques déjà en place et déjà opérant permettent de contrôler les pensées et la volonté, ainsi que les émotions et les sentiments, le ligotage sera à la fois extérieur et intérieur.

C’est donc les derniers instants où on a le contrôle de sa pensée et de sa volonté.

L’espèce humaine va se transformer en chose, ou plutôt est déjà en cours de transformation.

On peut dire que cette espèce est entrée dans sa phase d’extinction.

On ne peut que constater la prédominance des Juifs dans cette orientation, pour ne citer que les plus médiatisés, Ray Kurz, Yuval Noah Harari, Jacques Attali,
Alexander Caedmon Karp (Palantir).

Ce qui se passe en Palestine est le signe avant coureur (comme le canari dans la mine) de ce qui est en train de s’étendre à l’ensemble de l’espèce humaine.

Et hélas, le Hors-Occident suit, et participe même activement et avec enthousiasme à l’extinction.

Une chose commence à être certaine, sur la planète terre, le 22ème siècle ne verra pas la présence de l’espèce humaine.