Le
cercle luciférien du pouvoir du Judéo-Occident, ou, les effets
de l’intoxication du pouvoir et ses conséquences.
Troisième
partie :
Mise
en évidence de la structure psychique cloisonnée humaine
établie depuis la transformation de la société humaine
communautaire égalitaire en société cloisonnée inégalitaire,
à la période dite historique, il y a environ 10 000 ans, lors
de la formation des cités, et de la corrélation parfaite entre
structure psychique et structure sociale, ou pourquoi toute
possibilité d’évolution se trouve bloquée, aussi bien au
niveau socio-politique que psychique, tant que la structure
sociale restera inégalitaire cloisonnée.
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Communication
de Michel Dakar, Villequier le 17 mars 2023
Seconde
partie
Dissociation
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Première
partie
Généralité
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Le fait crucial est le suivant, que
personne n’ait fait la corrélation entre structure psychique
et structure sociale.
Or, ce qui caractérise la
société inégalitaire telle qu’elle s’est formée à
l’époque dite historique il y a environ 10 000 ans est son
cloisonnement, en classes, en strates, en compartiments, en un
ensemble d’espaces sociaux clos, séparés les uns des autres,
sans réelles communications entre eux, chaque enclos ignorant la
réalité intérieure des autres enclos, et donc au final, la
réalité globale sociale, et au-delà, universelle.
C’est
exactement ce qu’ont pressenti une série d’observateurs,
dont le plus connu, Freud, qui a divisé la psyché humaine en
trois espaces distincts, non-communiquants entre eux, ou très
difficilement, l’inconscient, le moi et le surmoi, faisant
d’une infirmité, d’un état morbide qui est la structure
séparative, la norme, la structure saine psychique.
Ronald
Laing, l’un des anti-psychiatre les plus connus, a observé la
division du « moi », cette fois en étant conscient
du caractère morbide de cette division, mais sans se rendre
compte que le principe de la division psychique concerne
l’intégralité des individus dans le type de société fondée
sur la division.
Les cas de dissociations de la
personnalité constatés lorsque des individus ont été soumis à
des stress extrêmes (parents abusifs, pratiques pédocriminelles
afin de dresser des esclaves sexuels, rituels pédosatanistes, il
s’agit toujours d’enfants car l’enfance est le stade du
développement où le psychisme est modelable), ou bien lorsque
certains individus possèdent des capacités psychiques
hors-normes leur permettant de ressentir la structure sociale
profonde, sont des révélateurs de l’état de dissociation
psychique normal présent dans le type de société inégalitaire
divisée en strates hiérarchisées étanches les aunes des
autres.
George Orwell, l’auteur de 1984 a traité du
cloisonnement socio-psychique à sa manière, en décrivant une
société totalitaire, c’est à dire dénuée du moindre espace
d’hétérogénéité, divisée en trois, le parti intérieur,
le partie extérieur et les prolétaires, rappelant le surmoi, le
moi et l’inconscient de Freud, de plus en caractérisant cette
société par l’ignorance (l’un des trois slogans du pouvoir
est « l’ignorance c’est la force »), l’ignorance
étant dû à l’étanchéité existante entre les trois
strates, et le phénomène de la double pensée, qui fait qu’on
peut connaître comme réel un fait, tout en le déniant, ce qui
est caractéristique d’une psyché cloisonnée, et d’une
société cloisonnée. Mais ce qui caractérise le roman
d’Orwell, et d’ailleurs ce qui en a fait son succès, est la
description rachitique de la psychologie de ses personnages, qui
sont réduits à des squelettes psychiques, qui n’ont que la
peau sur leurs os, fondée sur un unique tropisme, la recherche
de la liberté ou celle de sa destruction, alors que cette
recherche , tant sociale que psychique, devrait être celle de se
« ressocier », soit de passer d’un état dissocié
à un état associé, soit de la désintégration à la
réintégration, à l’intégrité.
Cette
réintégration doit être de façon liée, concomitante, ce qui
est la condition suffisante et nécessaire, sociale soit
collective et politique, et individuelle, ce qui implique une
avancée dans la connaissance thérapeutique.
Les
actuels pseudo soins et pseudo soignants en psychologie,
psychiatrie et psychanalyse (cette dernière étant carrément à
classer dans le registre escroquerie, charlatanisme), sont
eux-mêmes atteints de dissociation, ce dont ils sont ignorants,
inconscients, et ils prétendent guérir des malheureux qui eux
ont au moins conscience que leur problème est en rapport avec
l’état dissocié, à la fois individuel et collectif, ce qui
signifie que les malades mentaux sont les personnes les plus
saines de la société, et que les pseudo soignants sont sans
doute les plus détraqués, et que les gens dits normaux sont eux
atteints d’une pathologie moyenne.
Le pilier de tout
ce système est l’ignorance de l’état morbide de
dissociation socio-politique et psychique, d’où l’intuition
d’Orwell qui est restée à l’état de lumière intuitive
« l’ignorance c’est la force », la source
d’énergie du système, cette énergie qui le fait tenir, et
briser cette ignorance est détruire le système, ce qui fait que
dès qu’un individu entrouvre la porte des consciences, le
système réagit machinalement, par réflexe, pour l’exclure.
Il
manque un quatrième slogan aux trois énoncés par
Orwell :
L’ignorance c’est la force
La
liberté c’est l’esclavage
La vérité c’est le
mensonge
La conscience c’est l’inconscience
On
peut définir à la fois l’état de chaque individu dans ce
type de société dissociée inégalitaire, et celui de la
société elle-même, comme l’état d’inconscience.
Pour
imager, à chaque fois que vous croisez un individu appartenant à
ce type de société, vous croisez une non-conscience, soit une
chose animée, un non-être, un robot, ce qui se matérialise à
présent, et ce qui est la marque que l’évolution de cette
société fondée sur la dissociation parvient à son
apogée.
L’effet de l’état normal de dissociation
peut se constater par le regard, c’est celui des humains
adultes normaux, soit de quasiment tous les humains en vie.
A
contrario, l’état de non-dissociation se vérifie par le
regards des très jeunes enfants, qui ne sont pas entièrement
dissociés par le conditionnement familial et social, qui ne
devient parfait qu’au environ de 5 ans, et dans le regard des
animaux, qui eux restent intègres, quelque soit le
conditionnement ou dressage opéré sur eux par les humains
normaux dissociés.
Illustration :
Regards
d’enfants (film Les 400 coups de François Truffaut scène du
Guignol au Tuileries)
https://archive.org/details/les-quatre-cents-coups-1959_202109
:
http://the-key-and-the-bridge.net/child-s-eye-view.pdf
Regard d’un animal :
http://the-key-and-the-bridge.net/animal-gaze.pdf
Dans une société comme celle actuelle humaine,
dissociée inégalitaire, les seuls êtres vivant sont les très
jeunes enfants et les animaux, tous les autres sont des non-êtres
baignant dans l’ignorance de leur état de non-être et qui
rêvent leur vie.
Quatrième
partie
Part four
Le labyrinthe, structure fondée
sur le cloisonnement et le secret, ou l’avancée dans le
complexe psychique humain de type dissocié, complexe dont le
modèle est l’organisation des polices politiques secrètes,
des services secrets. Le cas exemplaire de la STASI (police
secrète politique de l’ex-RDA), et de son département
psychologique de « destruction de la personnalité »
basée sur la « décomposition de l’âme ».
Les
films en documentations :
Un papillon sur l’épaule,
1978 de Jacques Deray
https://ok.ru/video/1358695565849
Espion lèves-toi, 1982 d’Yves
Boisset
https://ok.ru/video/4370369481358
http://the-key-and-the-bridge.net/the-western-luciferian-circle-part-four.html
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